Geschichte des achtzehnten jahrhunderts in gedrängter übersicht mit steter beziehung auf die völlige veränderung der denk-und regierungsweise am ende desselben, Opseg 2J. C. B. Mohr, 1823 |
Ostala izdanja - Prika¾i sve
Uobièajeni izrazi i fraze
Ami du peuple Armee autres avoit Barbaroux Barère Beschluß bien Bürger c'est Camille Desmoulins Carnot citoyens Clubb Collot Collot d'Herbois comité Constitution Constitutionellen contre Convent convention Couthon damals Danton Decret demande Deputirten Desterreicher deux drey dritten Standes Dümourier Einfluß endlich ersten été étoient étoit être faire fait Fouché Français Frankreich Franzosen Freunde Freyheit freylich ganze garde général Gesek Gironde Girondisten Guadet Haufen Hébert Heere heftigen heißt hernach Herzog hommes j'ai Jacobiner jekt jour July Juny König Königin konnte l'assemblée Lafayette Leute liberté lich ließ Ludwig XVI machte mais Mann Marat Maßregeln membres Minister Mirabeau Mitglieder Moniteur Mord muß mußte Nation Nationalgarde Nationalversammlung Necker neue Paganel Paris Parlament Parthey Pethion peuple Pichegrü Pöbel qu'elle qu'il qu'on rapport Republikaner république Revolution Robespierre Sache sagt Sectionen sera seyn Sieyes Sikung sollte Spike Tallien Theil Thermidor tout v. u. st verhaften Versammlung Volk ward wieder wollte zwey
Popularni odlomci
Stranica 35 - ... plus efficace. Pourquoi ne renverrait-il pas dans les forêts de la Franconie toutes ces familles qui conservent la folle prétention d'être issues de la race des conquérants et d'avoir succédé à leurs droits ? La nation, alors épurée, pourra se consoler, je pense, d'être réduite à ne se plus croire composée que des descendants des gaulois et des romains.
Stranica 200 - Si le ressort du gouvernement populaire dans la paix est la vertu , le ressort du gouvernement populaire en révolution est à la fois la vertu et la terreur : la vertu , sans laquelle la terreur est funeste ; la terreur , sans laquelle la vertu est impuissante.
Stranica 50 - Il me semble que la nation assemblée n'a pas à recevoir d'ordre. » monsieur, nous avons entendu les intentions qu'on a suggérées au roi ; mais vous, qui ne sauriez être son organe auprès de l'Assemblée nationale, vous qui n'avez ici ni place, ni voix, ni droit de parler, vous n'êtes pas fait pour nous rappeler son discours.
Stranica 108 - Constitution, de n'entreprendre aucune guerre dans la vue de faire des conquêtes, et de n'employer jamais ses forces contre la liberté d'aucun peuple...
Stranica 173 - Ce Comité délibérera en secret. Il sera chargé de surveiller et d'accélérer l'action de l'administration confiée au Conseil exécutif provisoire, dont il pourra même suspendre les arrêtés, lorsqu'il les croira contraires à l'intérêt national, à la charge d'en informer sans délai la Convention.
Stranica 101 - ... nationale constituante, et à faire exécuter les lois. «Puisse cette grande et mémorable époque être celle du rétablissement de la paix, de l'union, et devenir le gage du bonheur du peuple et de la prospérité de l'empire!
Stranica 322 - Venise, qui va en décadence depuis la découverte du cap de BonneEspérance et la naissance de Trieste et d'Ancône, peut difficilement survivre aux coups que nous venons de lui porter ; population inepte , lâche, et nullement faite pour la liberté : sans terre, sans eau, il paraît naturel qu'elle soit laissée à ceux à qui nous donnons le continent.
Stranica 309 - Les sciences qui honorent l'esprit humain, les arts qui embellissent la vie et transmettent les grandes actions à la postérité, doivent être spécialement honorés dans les gouvernements libres. Tous les hommes de génie, tous ceux qui ont obtenu un rang distingué dans la république des lettres, sont Français, quel que soit le pays qui les ait vus naître.
Stranica 211 - Nous ayons ranimé l'action d'une justice républicaine, c'est-à-dire prompte et terrible comme la volonté du peuple. Elle doit frapper les traîtres comme la foudre et ne laisser que des cendres. En détruisant une cité infâme et rebelle, on consolide toutes les autres. En faisant périr les scélérats, on assure la vie de toutes les générations des hommes libres. Voilà nos principes. Nous démolissons à coups de canon et avec l'explosion de la mine autant qu'il est possible....
Stranica 358 - Soldats, je sais que vous êtes profondément affectés des malheurs qui menacent la patrie ; mais la patrie ne peut courir de dangers réels. Les mêmes hommes qui l'ont fait triompher de l'Europe coalisée sont là. Des montagnes nous séparent de la France; vous les franchiriez avec la rapidité de l'aigle, s'il le fallait, pour maintenir la Constitution, défendre la liberté, protéger le Gouvernement et les républicains.