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Religion, Législation, Statistique.

Synchronismes, etc.

leur proposa cette conversion au taux de 75 francs. Conversion rendue attrayante par une clause qui défend à la caisse d'amortissement de racheter des

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rentes à 5 p. 0/0, tant que leur cours sera supé- France. - École normale de géométrie applirieur au pair.

Il en résulta une compensation pour le trésor. Cette loi est un argument très-fort contre le socialisme; elle consacre l'inviolabilité des propriétés. Malheureusement elle fut aussi l'apothéose de la conduite de ceux qui s'enfuirent de la patrie et placèrent l'honneur sur la terre étrangère.

Une sorte de défaveur a toujours pesé sur les biens nationaux sous le directoire ils n'avaient

que 1/8 de leur valeur réelle; après le consulat, 1/5; sous l'empire, 1/3, et pendant la restauration, en vertu des engagements de la charte, ils valaient à peu près la moitié des autres propriétés.

Cette loi, la plus irritante, la plus décisive, la plus coûteuse des lois portées sous la restauration, fut apportée le 27 avril, après une discussion âcre, passionnée, qui révéla toute la profondeur de l'antagonisme qui subsistait entre les deux classes de la société auxquelles la révolution avait fait une part si inégale.

quée aux arts.

-Lafayette reçoit des États-Unis, pour ses anciens services, 200,000 dollars et beaucoup de terres.

1825. Le nombre des actionnaires étant reconnu suffisant, Brunel pousse avec activité les travaux du fameux tunnel à trois cent cinquante-un pieds au-dessous de la Tamise.

Un ouragan porte la désolation sur les plaines de la Frise; les digues sont démolies, et le bassin maritime, déversant ses nappes d'eaux furieuses, emporte en un clin d'œil les habitations, les hommes, les troupeaux.

L'eau est l'éternelle ennemie de la Hollande

et tend à reconquérir ses domaines. Il a fallu des digues contre les mers, il faut des canaux pour sécher les terres marécageuses. Des capitaux énormes sont annuellement consommés dans ce but. La Zélande, la Frise, Groningue, se trouvent au-dessous du niveau de la mer dans une proportion démesurée. Depuis DunBudget général de l'État fixé en dépenses à de sable forment une chaîne, tantôt élevée de kerque jusqu'au Texel, des collines ou dunes 920,508,755 francs.

- Un bill rétablissant les catholiques d'Irlande dans l'exercice de tous les droits politiques, admis par la Chambre des communes d'Angleterre, est rejeté par la Chambre des lords à une majorité de quarante-huit voix.

-La publication des délibérations de la diète polonaise est interdite par un décret impérial du 13 février.

quatorze toises, tantôt de trente. Mais le reste des côtes n'est protégé que par des travaux énormes qui dévorent des sommes prodigieuses et emploient une administration considérable.

- Navigation du bateau à vapeur l'Entreprise, de Falmouth au cap de Bonne-Espérance, en cinquante-sept jours. La nécessité d'économiser le charbon avait fait perdre

(29 août.) Le roi de Portugal cède et trans-vingt jours, au rapport du capitaine Johnson. fère l'empire indépendant du Brésil à l'empereur - Le produit de la fonte de fer en France, don Pèdre; mais ce traité ne fait nulle mention de est, cette année (1825), de cent quatre-vingtla succession au trône de Portugal et de la réunion douze millions de kilogrammes, dont cinq millions par la fusion, à l'aide du coke ou charéventuelle des deux couronnes. bon de terre épuré. Environ cent mille individus sont employés dans les usines de ce pays. L'entreprise d'une route à ornières de fer, entre Lyon et Saint-Étienne, est adjugée. C'est la première communication en ce genre établie en France. Cette année la compagnie formée en Angleterre pour l'établissement des

1825 (novembre). Désastres du commerce en Angleterre. L'esprit d'aventure et d'entreprise naturel aux Anglais s'était accru depuis la paix, par la liberté du commerce et l'indépendance de l'Amérique espagnole : des compagnies exploitaient les mines du Nouveau-Monde et y ensevelissaient

19 Siècle.

Événements politiques.

Dates. 1826 (février)

(mai)

28 novembre

1827 (29 avril)

(24 juin)

(6 juillet)

(août)

(3-10 sept.)

(20 octobre)

M. de Peyronnet propose aux deux chambres de rétablir le DROIT D'AÎNESSE par une loi. Cette proposition est rejetée en partie. L'article 3, qui rétablissait la substitution, est le seul qui obtient la majorité.

- On pose à Paris la première pierre du monument consacré à la mémoire de Louis XVI.

Le général For meurt d'un anévrisme au cœur, provoqué sans doute par les fatigues et les irritations de la vie parlementaire; ses funérailles sont nationales. Une souscription ouverte pour assurer le sort de ses enfants produisit plus de deux millions.

Dans une revue de la garde nationale passée par le roi, des cris: A bas les ministres se font entendre. Des pétitions sont présentées au bout des baïonnettes; mais le ministre de Villèle fait licencier la milice citoyenne, le lendemain 30 avril.

- Le gouvernement français rappelle de Madrid la garde suisse, et cherche, ainsi que l'Angleterre, à maintenir la paix entre l'Espagne et le Portugal. L'Angleterre demande que le gouvernement de l'Espagne soit rétabli sur le même pied qu'au 30 septembre 1823. La France demande seulement une amnistie générale. Rétablissement de la censure par une ordonnance royale contresignée de Villèle, Corbière et de Peyronnet. Ordonnance du même jour, qui établit à Paris, au

près du ministère de l'intérieur, un bureau composé de six censeurs.

Traité entre la France, la Russie et l'Angleterre. Pressés de mettre un terme à la lutte sanglante entre le sultan et les Grecs, lutte qui entrave le commerce des États de l'Europe, les rois de France et de la Grande-Bretagne et l'empereur de Russie conviennent d'offrir leur médiation à la Sublime-Porte, et de proposer, tant à elle qu'à la Grèce, un armistice nécessaire à l'ouverture des négociations. -Mort de MANUEL, surnommé le grand député des mauvais jours.

Les amiraux anglais et français sont informés par leurs ambassadeurs respectifs à Constantinople que, la Porte ayant signifié son refus officiel d'accéder à aucun arrangement favorable aux Grecs, ils aient à agir suivant leurs instructions. L'amiral russe Haydn vient réunir sa flotte à celles des Anglais et des Français. Le vice-roi d'Égypte avait fait cingler quatre-vingt-douze voiles pour le port de Navarin, où son fils avait reçu avec joie ce formidable renfort, destiné à une expédition contre Hydra. Les amiraux commandant les escadres des trois puissances signataires du traité de Londres avaient fait consentir Ibrahim-Pacha à une suspension d'armes; mais le farouche Egyptien avait violé sa parole, et s'était remis à dévaster la Morée. Les trois amiraux écrivent à Ibrahim pour lui faire entrevoir la conséquence immédiate de sa mauvaise foi. Cette lettre leur est renvoyée sans réponse. Dans la nécessité d'agir et d'empêcher la flotte ennemie de sortir de Navarin, on s'arrêta au parti proposé par M. de Rigny, d'entrer à Navarin pour prendre position et signifier aux vaisseaux turcs et égyptiens de se séparer immédiatement.

COMBAT DE NAVARIN. Le 20 octobre, les amiraux barrent le passage à la flotte ennemie, et se rangent en bataille devant elle. Cette flotte était commandée par Taher-Pacha, vice-amiral ottoman. Elle s'embosse sur une triple ligne, en forme de croissant, autour de la baie, avec six brûlots qui veillent à l'entrée du port, vers les extrémités de ce fer à cheval. Les forces des Égyptiens allaient à trois vaisseaux de ligne, un vaisseau rasé, seize frégates, vingt-sept grandes corvettes et autant-de

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d'énormes richesses, avant d'en retirer celles qu'elles espéraient y trouver. Déjà 17 millions sterling en espèces avaient été prêtés à ces nouveaux États; deux cent soixante-treize compagnies pour la pêche, la navigation, la culture, les entreprises agricoles, les établissements d'industrie, les constructions de canaux, d'étangs, de routes, et la distribution de gaz, d'eau et de lait aux grandes villes de l'Angleterre, avaient dévoré dans leurs associations nationales près de 174 millions sterling. Le numéraire épuisé avait amené après soi une émission prodigieuse de papiers. Dès qu'on s'aperçut de la rareté effrayante de l'argent, on eut peur, et cette peur le fit disparaître tout à fait.

De ce moment, les denrées s'avilissent, la maind'œuvre se déprécie, la banque réduit ses comptes, les fonds publics baissent à chaque heure; les effets ne se payent plus entre particuliers: les faillites s'entraînent les unes les autres; les manufactures se ferment, et une crise terrible semble menacer

l'Angleterre. Cette énorme dette nationale, cette misère publique entravent les sages projets du ministre Canning. Il cherche néanmoins à combattre la disette en achetant les grains étrangers, malgré l'opposition de l'aristocratie.

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1825 (1er décembre). L'empereur Alexandre meurt sur les bords de la mer d'Azof, après

une courte maladie, attribuée, par les médecins, à un travail trop assidu, à des affections morales, à la crainte et à l'inquiétude. Il jeta avant d'expirer un œil hagard sur son médecin, et s'écria: O épouvantable action! Il venait d'apprendre qu'un complot était dirigé contre sa vie, que l'un des conspirateurs avait trahi ce secret qui avait produit un effet terrible sur l'imagination de l'empereur. Le grand duc Constantin, héritier du trône, persévère dans la renonciation qu'il avait faite de tous

ses droits, dès le 14 janvier 1822; son frère NICOLAS est proclamé empereur.- Une révolte éclate à Pétersbourg, le 26 décembre. Le gouverneur est tué, les environs du palais sont jonchés de morts et de blessés; de nombreuses arrestations ont lieu dans toutes les parties de la Russie. Sur cent vingt-six prévenus, les uns sont condamnés à mort, et les autres à être pendus, ou aux travaux forcés à perpétuité.

1823. E. GRIOLET, premier filateur de laine en France. Cet habile manufacturier a fait faire d'immenses progrès à cette industrie, surtout au filage de laine peignée, pour la fabrique des mérinos, la mousseline laine, etc.

CHARBONNERIE FRANÇAISE. Cette société secrète commença en 1821. Le 1er mai de cette année, trois jeunes gens, MM. Bazard, Flotard et Buchez en établirent les statuts. Deux membres de la loge maçonnique ou des amis de la vérité réfugiés à Naples, après l'avortement de la conspiration militaire du 19 août 1820, avaient rapporté de l'Italie la connaissance des pratiques de la charbonnerie italienne. Les sept membres du conseil administratif de la loge des amis de la vérité résolurent de fonder sur les mêmes bases la charbonnerie française. Quant aux moditications, on choisit Bazard, Flotard et Buchez pour les préparer. Les considerants qu'ils rédigèrent étaient un peu vagues et se réduisaient à ceci : « Attendu que force n'est pas droit, et que les Bourbons ont été ramenés par l'é-à-dire au moins deux cent cinquante balles tranger, les charbonniers s'associent pour rendre à la nation française le libre exercice du droit qu'elle a de choisir le gouvernement qui lui convient. «Il fut convenu qu'autour d'une association

1825-1826. La vapeur est employée en An

gleterre pour le service de l'artillerie; il fut constaté qu'un fusil à vapeur lançait autant de balles que deux cent cinquante décharges de fusil ordinaire dans le même temps, c'est

par minute ou quinze mille par heure, avec une économie immense de matière inflammable. Au moyen de ce procédé, dix canons à vapeur sur un champ de bataille en rem

19€ Siècle.

Dates. 1827

Événements politiques.

bricks, plusieurs bâtiments de transport et six brûlots. Les escadres alliées, dont le commandement en chef avait été déféré à sir Edward Codrington, le plus ancien des trois amiraux, comprenaient dix vaisseaux de ligne, dix frégates, une corvette et quelques bâtiments légers. Elles s'étaient avancées en deux colonnes composées d'abord des escadres anglaise et française, et ensuite de l'escadre russe. Sous un ciel magnifique et doux et dans un grand silence, elles avaient pris chacune leur poste, dans un arc correspondant à celui des ennemis. L'Asia, vaisseau amiral de l'escadre anglaise, avait osé dépasser les batteries de Navarin et mouiller dans les eaux du port devant le vaisseau amiral ottoman. La Syrène, décorée du pavillon du contre-amiral de France, s'était embossée avec une hardiesse admirée par tous les marins dans un vide laissé entre elles par trois frégates égyptiennes. L'Azow, qui portait le pavillon du vice-amiral russe, était placé de façon à affronter le feu de cinq bâtiments ennemis.

Un coup de fusil, parti d'un brûlot turc, tue à bord d'un canot un officier anglais envoyé en parlementaire. Un bâtiment britannique riposte par un feu de mousqueterie. Au même instant, un coup de canon est tiré d'un vaisseau égyptien sur la Syrène, celle-ci répond avec des foudres vengeresses; d'autres tonnerres s'allument et retentissent toute la baie de Navarin n'est plus que bruit et fumée. Le vaisseau français le Scipion, engagé par un brùlot enflammé, éteint quatre fois le feu à son bord sans cesser de combattre, tirant à la fois des deux flancs sur la ligne ennemie et sur les forts de Navarin. La Syrène, menacée par l'incendie de plusieurs brûlots qui la pressaient, vomit flamme contre flamme, et donne à quelques vaisseaux britanniques le temps de la sauver; l'Asia soutient à la fois le feu des vaisseaux amiraux de la Porte et de l'Égypte, et remporte la gloire de les mettre tous les deux hors de combat. L'Azow, bien que tout criblé de boulets et pouvant à peine porter ses voiles, achève de foudroyer le vaisseau amiral égyptien, l'enveloppe de flamme et le fait sauter en l'air. Bientôt les explosions se succèdent avec un tumulte épouvantable le bassin de Navarin ressemblait à un cratère vomissant, au lieu de lave, des canons, des mâts et des cordages de fer; avant le coucher du soleil, tous les gros vaisseaux ennemis étaient coulés ou incendiés. Le reste s'en allait à la côte, où ils se brûlaient eux-mêmes; six mille Turcs ou Égyptiens furent tués; mille furent blessés. Ainsi s'accomplit la menace faite à Ibrahim, que « si un seul coup de canon était tiré sur le pavillon de l'alliance, c'en était fait de sa flotte entière. » Cette victoire, remportée le même jour que celle de Salamine, et qui, à vingt-trois siècles d'intervalle, sauva encore une fois l'Hellade du joug des barbares, fut appelée en France un événement glorieux; au parlement d'Angleterre, on l'a traité de malheureux. Il faut reconnaître avant tout que, dans les circonstances où les amiraux anglais et français étaient placés, il leur fut impossible d'agir autrement qu'ils l'ont fait, mais poi..t de doute que ce combat n'ait dépassé le but et les intentions du traité de Londres.

Ce combat était un acte de guerre des flottes plutôt que des cabinets; mais cet acte a sauvé la Grèce. La marine des Turcs y fut anéantie, et ils se virent contraints d'évacuer le Péloponèse, qui fut aussitôt occupé par les Français. Quelque temps après, la Porte accéda au traité de paix proposé par les vainqueurs. La Grèce fut déclarée libre.

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-

Au mois de

placeront, dit-on, avec avantage, deux cents
de système ordinaire; un vaisseau armé de
six de ces canons tiendra facilement contre un
vaisseau de soixante-quatorze.
juillet 1828, le gouvernement français a fait
faire à Vincennes l'essai du procédé de la
vapeur appliquée au service de l'artillerie.

1826 (1er janvier). L'Angleterre reconnaît les républiques de Colombie, du Mexique et de Buenos-Ayres comme Etats indépendants. Le fort Saint-Jean-d'Ulloa, dernière place du

par capitulation.

(23 janvier). Callao, près de Lima, la seule forteresse où le drapeau de l'Espagne fût encore arboré sur le continent de l'Amérique, tombe au pouvoir des Indépendants. Le Pérou est entièrement affranchi et forme une nouvelle république qui prend le nom de Bolivia. Les peuples reconnaissants nomment BOLIVAR leur président perpétuel.

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mère, appelée la haute vente, on formerait, sous le nom de ventes centrales, d'autres associations, au-dessous desquelles agiraient des ventes particulières. Le nombre des membres fut fixé à vingt par association, pour échapper au code pénal. La haute vente fut composée de sept fondateurs de la charbonnerie: Bazard, Flotard, Bluchard, Dugied, Cariol, Joubert et Limperani. Elle se recrutait d'elle-même. Pour former les ventes centrales, on adopta le mode suivant : deux membres de la haute vente s'adjoignaient un tiers, sans lui faire Mexique au pouvoir des Espagnols, se rend confidence de leur qualité, et ils le nommaient président de la vente future, en y prenant euxmêmes, l'un le titre de député, l'autre celui de censeur. La mission du député était de correspondre avec l'association secondaire, et celle de censeur de contrôler la marche de l'association secondaire. La haute vente devenait par ce moyen comme le cerveau de chacune des ventes qu'elle créait, tout en restant, vis-à-vis d'elles, maîtresse de son secret et de ses actes. Ces ventes particulières n'étaient qu'une subdivision administrative ayant pour but d'éviter la complication que les progrès de la charbonnerie pouvaient amener dans les rapports entre la haute vente et les ventes centrales. Les ventes agissaient en commun sans cependant se connaître les unes les autres. Tout charbonnier appartenant à une vente ne pouvait chercher, sous peine de mort, à s'introduire dans une autre. Les fondateurs avaient compté sur l'appui des troupes. De là l'organisation double donnée à la charbonnerie. Chaque vente fut soumise à une hiérarchie militaire, parallèle à la hiérarchie civile. A côté de la charbonnerie, de la haute vente, des ventes centrales, des ventes particulières, il y eut la légion, les cohortes, les centuries, les manipules. Quand la charbonnerie agissait civilement, la hiérarchie militaire était comme non avenue; quand elle agissait militairement, au contraire, la hiérarchie civile disparaissait. Les

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devoirs du charbonnier étaient d'avoir un fusil et cinquante cartouches, d'être prêt à se dévouer, d'obéir aveuglément aux ordres de chefs inconnus. Ainsi constituée, la charbonnerie s'étendit en fort peu de temps dans tous les quartiers de la

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(Mars). Le corps d'armée envoyé par le pacha d'Egypte s'empare de plusieurs fortifications qui couvraient Missolonghi.

(9 mars). Mort de Jean VI, roi de Portugal. Son règne est marqué par l'acceptation. forcée d'une charte qu'il a été obligé de détruire, et par la promesse d'en publier une, qu'il a été contraint de ne jamais donner. La régence décide la question douteuse de succession en faveur de don Pedro, déjà empereur du Brésil. Don Miguel écrit de Vienne (6 avril 1826) qu'il désaprouve d'avance tout ce qui contrarierait le décret par lequel son père a créé une junte pour régir ses trois royaumes, jusqu'à ce que son légitime héritier et successeur, leur bien-aimé frère, l'empereur du Brésil, ait pris la résolution que lui conseillera sa haute sagesse.

-(2 avril.) Défaite du général espagnol Oloneta dans le haut Pérou; dissolution de l'armée espagnole. Divers corps passent par capitulation au service des nouvelles répи

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