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Religion, Législation, Statistique.

Synchronismes, etc.

capitale; elle envahit toutes les écoles. La Fayette et Manuel entrèrent dans la haute vente, et parmi les collègues de la chambre, les plus hardis les suivirent. Leur intervention fut surtout utile aux progrès de la charbonnerie; munis de lettres de recommandation, plusieurs affiliés allèrent l'organiser dans les provinces. Sur presque toute la surface de la France il y eut des complots et des conspirateurs; cependant les membres de la vente suprême ne songeaient à imposer à la France aucune espèce de gouvernement, les Bourbons eux-mêmes n'étaient pas proscrits d'une manière irrévocable. On adopta les bases de la constitution de l'an III, et les cinq directeurs désignés furent MM. La Fayette, Corcelles père, Koechlin, d'Argenson, Dupont (de l'Eure); c'est-à-dire un homme d'épée, un représentant de la garde nationale, un manufacturier, un administrateur, un magistrat.

On a vu, sous le règne précédent, l'histoire de toutes les tentatives de la charbonnerie pour arriver au résultat. Cette histoire, c'est celle des conspirations de Béfort, de Berton, des sergents de la Rochelle, etc.

La charbonnerie ne fit plus, depuis, que se traîner dans le sang de ses martyrs. Elle s'affaiblit et se décomposa. L'anarchie pénétra la charbonnerie par tous les pores, et à sa suite, s'introduisirent les défiances, les haines, l'égoïsme, l'ambition. La période du dévouement passée, celle de l'intrigue commença.

Philosophie de FOURIER. Fourier, né le 7 avril 1772, à Besançon. Son père était marchand de draps. Un article de Fourier, intitulé Triumvirat continental, parut le 25 frimaire an XII, dans le Bulletin de Lyon. Selon ce jeune économiste, l'équilibre européen reposait sur l'alliance de la France, de la Russie et de l'Autriche. Cet écrit politique, le seul qui soit sorti de la plume de Fourier, fut connu de Napoléon.

En 1829, parut le Nouveau monde industriel et sociétaire, ou invention d'un procédé d'industrie attrayante et naturelle, distribuée en séries passionnées.

La théorie des quatre mouvements eut peu de lecteurs d'abord. L'auteur y avait déployé un luxe

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(14 septembre.) Les Persans, sous la conduite du prince royal Abbas-Mirza, font, sans déclaration de guerre, une invasion sur le territoire russe ; mais ils sont battus par Paskewitch. La guerre continue.

-TALMA (François-Joseph), né à Paris le 15 janvier 1766, d'un dentiste qui bientôt alla se fixer à Londres. Il fit ses études à Paris, retourna près de son père, exerça quelque temps sa profession, revint à Paris, entra, en 1786, à l'école de déclamation sous Larive, Fleury et Molé; débuta, en 1787, dans le rôle de Seïde, de Mahomet; se lia d'amitié en 1790 avec le sous-lieutenant Bonaparte, qui, deven empereur, lui demeura sincèrement attaché; s'éleva, comme acteur tragique, à une hauteur que nul n'a pu atteindre, et mourut le 19 octobre 1826.

1827 (5 mars). Mort de VOLTA (Alexandre),

19 Siècle.

Événements politiques.

Dates.

1828

(29 juillet)

(31 août)

1829

(8-9 août)

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tail à la figure, en lui intimant l'ordre de se retirer de sa présence. Une violation aussi manifeste du droit des gens ne pouvait rester impunie. Le gouvernement, aussitôt qu'il en eut reçu la nouvelle, ordonna qu'une escadre fût armée à Toulon et envoyée sans délai devant Alger, sous le commandement du capitaine Collet.

-Les chambres accordent 80 millions pour une expédition en Morée, destinée à chasser les Égyptiens et à diminuer l'influence anglaise. Cette expédition avait aussi un but scientifique. Elle est composée de treize à quatorze mille hommes, divisés en trois brigades, sous les ordres du lieutenant général Maison, arrivé en Grèce. Ce général éprouve des difficultés sur l'exécution de la convention d'évacuation faite avec le pacha d'Égypte. Mais enfin les troupes françaises prennent possession de toutes les places de la Morée, encore occupées par les Turcs, dans le dessein de les remettre aux Grecs.

La nécessité où l'on avait été de faire camper les troupes entre Coron et Navarin jusqu'à l'embarquement des Égyptiens, sur une plage malsaine et par un temps pluvieux, occasionna dans l'armée des fièvres intermittentes que les précautions sanitaires les plus sages ne purent arrêter, et qui enlevèrent en peu de temps cinq à six cents soldats.

Voyage d'Alsace. Le roi, accompagné de M. le Dauphin, de M. de Martignac et de quelques officiers de sa maison, part de Paris, visite Meaux, Châlons-surMarne, Verdun, Metz, où il reste trois jours, passant des revues, visitant les forts, les établissements militaires qui s'y trouvent; il arrive le 6 à Saverne. Il fut bien accueilli par la population; c'est au milieu de ce cortége de peuple, sur une route couverte de fleurs, que le vieux roi arrive le 7 à Strasbourg. Là s'étaient rendus des princes du corps germanique, le grand-duc régnant, les margraves de Bade, et plusieurs personnages de haute distinction. Des fêtes civiles et militaires retiennent Charles X à Strasbourg pendant trois jours.

- Charles X garda une entière neutralité dans la guerre allumée entre les deux puissances orientales. Le czar reconnaissant, promit, dit-on, au roi de France, que, en cas de guerre européenne, il l'aiderait à reconquérir les provinces situées sur la rive gauche du Rhin.

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M. de Martignac présente à la Chambre deux projets de loi destinés à organiser l'administration communale et l'administration départementale. Ce dernier projet est retiré, et la rupture entre la Chambre et le ministère devient dès lors complète. Création du ministère Polignac. A la tête de ce ministère exagéré sont placés le prince de Polignac et le comte de Labourdonnaye; le prince de Polignac avait eu le bon esprit d'entrevoir qu'un moyen de s'abriter contre la défaveur qui suivait son nom, c'était de s'associer une renommée populaire. Il offrit le portefeuille de la marine à M. le comte de Rigny, illustré par la victoire de Navarin. On ne peut douter que le plan du nouveau cabinet ne fût alors de reconquérir une majorité monarchique par le changement partiel de la constitution. Laisser debout les institutions, et en confier la garde à des royalistes, lui parut d'une merveilleuse politique. Le comte de Rigny refusa de prêter l'éclat de son nom au ministère Polignac. M. Mangin entra à la préfecture de police. Sa nomination significative fut regardée comme la dernière ligne du manifeste par lequel le gouvernement déclarait la guerre au parti libéral.

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physicien, inventeur de la pile voltaïque. Napoléon Ier honorait beaucoup ce savant et le combla d'honneurs et de titres, à l'époque de la formation de l'Institut des sciences et belles-lettres du royaume d'Italie. On dressait en présence de l'empereur la liste alphabétique des candidats, ce prince écrivit en tête d'une feuille de papier Volta, et dit en la rendant: « A présent, comme il vous plaira, pourvu que celui-ci soit le premier. »>

de néologisme qui effraya. Dès le début, il annonce << qu'il apporte une invention qui va délivrer le genre humain du chaos civilisé; » il nous apprend que notre planète, sur laquelle doivent s'opérer encore une suite de créations, aura une « carrière végétante» de quatre-vingt mille ans, divisée en phases inégales d'enfance, de jeunesse, d'âge mûr, de vieillesse, de décrépitude; que pendant la période heureuse qui doit comprendre les 7/8 de la durée totale, et qui va hâter sa découverte, la terre aura son maximum normal de population, trois milliards d'habitants, dont la vie moyenne sera de cent quarante-quatre ans, et la taille de sept pieds. A la place d'armées guerrières dévastant les États, il nous montre ses armées industrielles canalisant les fleuves, replantant les déserts, et finissant par porter la culture jusqu'au pôle boréal, dont les glaces se fondent à la chaleur d'une couronne rayonnante qui doit être le résultat naturel de la «< restauration des climatures » par le mince, et paraissant avoir traversé le feu et

reboisement.

(6 mars.) Mort du marquis de LAPLACE, célèbre mathématicien. C'est à lui qu'est due la détermination précise de l'élévation des marées, phénomène dont Newton avait seulement indiqué la cause.

(3 mai). Chute de plusieurs aérolithes près du Drahe's-Creech, à dix-huit milles de Nashville (Tenessée, aux États-Unis). La plus grosse de ces pierres pesait onze livres et demie. Elles étaient toutes parfaitement semblables, recouvertes d'une croûte vitrée et

la fumée.

-(5 mai.) Mort de Frédéric-Auguste, roi de Saxe. Son frère lui succède sous le nom d'An

-(3 juillet.) L'empereur don Pedro nomme, par un décret, son frère don Miguel lieutenant et régent de Portugal.

-

(8 août.) Le ministre anglais Canning meurt en butte à des haines nombreuses. Lord Goderik lui succède; mais bientôt, incapable de résister aux attaques de l'aristocratie, il cède sa place à Wellington.

Le point de départ de Fourier, c'est l'organisme passionnel de l'homme. L'homme naît avec des goûts, des penchants, des passions, qui dériventtoine Ier. de sa nature même et sont les mobiles premiers de tous nos actes. Selon Fourier, l'individu naît avec des besoins qu'il faut satisfaire; or les besoins le poussent à des actes qui sont bons quand les moyens de se satisfaire, offerts par les circonstances sociales, se combinent avec les intérêts de ses semblables, et qui sont pervers dans le cas opposé. Le même penchant, la même passion excite tantôt des actes de haute vertu, tantôt des actes criminels; ainsi l'amour, l'amitié, l'ambition, la passion religieuse, et en général toutes les passions naturelles à l'homme, produisent, suivant les positions et les circonstances, les résultats les plus différents. Donc le mal n'est nullement dans la nature de l'homme, et n'est que dans les circonstances sociales. Tout le système de Fourier dérive de cette idée. Il en conclut qu'il faut modifier le milieu social de telle sorte qu'il favorise le développement des pas sions. Suivant Fourier, Dieu, qui a créé nos passions, a dû leur assigner un emploi et les destiner à une société dans laquelle elles produiront par

(13 octobre.) Prise d'Erivan par les Russes. Les Persans n'éprouvent que des revers. 1828 (22 février.) Traité de paix de Turkmand-Chaï entre le shah de Perse et le czar. (3 mai.) Don Miguel, régent de Portugal, usurpe la couronne sur dona Maria II, fille de Pedro ler, et opère une contre-révolution.

(7 mai.) Une armée de cent mille Russes, sous les ordres du feld-maréchal comte de Wittgenstein, franchit le Pruth et commence les hostilités contre les Turcs.

(22 novembre.) Le comte de Neiperg meurt à Turin, âgé de cinquante-sept ans. Adam-Albrecht, comte de Neiperg, lieutenant

15 Siècle.

Événements politiques.

Dates. 1829

(5 septemb.)

(11 septemb.)

17 novemb.)

Le gouvernement de Charles X ne marche plus que comme si une sorte de vertige le poussait vers l'abîme. Attaqué dans tous les sens, harcelé sans cesse, voyant de jour en jour l'opinion publique l'abandonner, les rigueurs exercées contre la presse tourner à son détriment et à la plus grande gloire des écrivains, au plus grand avantage de l'opposition, il était fatalement poussé par les ultra-royalistes vers les mesures extrêmes. L'avénement du ministère Polignac fut à la fois un signal de détresse pour la royauté et l'éclosion d'espérances nouvelles pour l'opposition. La lutte était définitivement engagée, il fallait vaincre ou mourir.

L'expédition envoyée en 1828 pour faire évacuer la Morée par l'armée égyptienne ayant accompli ce dessein, on avait jugé prudent de ne pas étendre l'expédition au delà de la Morée, et de ramener en France tout ce qui n'était pas strictement nécessaire à la garde des places qu'on devait remettre aux Grecs. En conséquence, le gouvernement français s'était hâté de rappeler la plus grande partie des troupes qu'il y avait employées. Il n'y resta plus que la brigade du général Schneider, destinée à occuper quelques places fortes.

- Devant Alger, une escadre française tenait, autant que l'intempérie des vents pouvait le permettre, un blocus coûteux (dont les frais étaient évalués à 7 millions par an), et plus dangereux pour elle que nuisible à l'État bloqué. Le gouvernement. français, lassé d'attendre des satisfactions, se décide, avant de commencer la guerre, à faire une dernière démarche. Tout arrangement étant devenu impossible, le vaisseau la Provence appareille le 3 août; mais comme il sort de la baie, à un signal parti du château (la Casauba), qu'occupait le dey lui-même, l'artillerie d'une batterie voisine tire sur le vaisseau parlementaire; tous les autres l'imitent et ne cessent le feu que lorsqu'il est hors de portée, déjà criblé de boulets.

Après une telle violation du droit des gens, après cette injure qui blesse le sentiment de la dignité nationale et justifie les attaques de l'opposition, qui reprochait vivement au ministère de souffrir patiemment les attaques insolentes d'un barbare, toutes communications avec le dey sont rompues. La guerre contre Alger est donc décidée; on en prévient le cabinet de Londres. Nous avions été outragés, nous voulions punir une injure, le droit était incontestable, et on nous laisse faire.

Une ovation populaire décernée au général La Fayette dans la seconde ville du royaume, annonce que la France de 89 a repris les armes. La révolution vivante fut élevée sur le pavois au moment où la royauté de l'ancien régime semblait oublier son âge et ses blessures.

Déjà se forment des projets d'association pour le refus de l'impôt : l'ancienne province de Bretagne, « considérant que si elle avait pu trouver dans la Charte la compensation des garanties que lui assurait son contrat d'union à la France, il était de son devoir et de son intérêt de conserver le reste de ses libertés et de ses franchises, » ouvrait une souscription pour indemniser ceux «< qui refusaient d'acquitter les taxes illégalement imposées, sans le concours libre et régulier du roi et des deux chambres, formés par un système électoral non voté dans les formes constitutionnelles. »

L'exemple de la Bretagne fut imité par d'autres départements.

Le prince de Polignac est nommé président du conseil; le comte de Labourdonnaye donne sa démission. Cette démission ramena au conseil le comte de Peyronnet,

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leur accord une harmonie aussi belle que sont terribles les conflagrations qui résultent de leurs chocs dans nos sociétés mal ordonnées.

Dans le nouvel ordre social que veut établir Fourier, il ne réclame l'abolition d'aucune institution, la renonciation à aucune jouissance. Il ne détruit point les cultes; sa théogonie compose avec eux. Il ne demande pas un nivellement général : selon lui, l'égalité est un poison politique. Il ne touche point au droit de propriété : il ne prêche pas la communauté, mais bien l'association. Il respecte l'hérédité; seulement, il en rend les droits moins exclusifs.

Fourier se berça de l'espoir de trouver un capitaliste qui lui fournît le moyen d'exécuter le colossal devis de son phalanstère. L'essai malheureusement demandait des millions, et le «< candidat» de Fourier ne se présenta pas. Une tentative d'exécution fut pourtant faite de son vivant et sous sa direction, à Condé-sur-Vesgre (Seine-et-Oise). Un député du département, M. Dulary, fournit un domaine au centre duquel on commença l'érection de l'édifice sur le plan général de Fourier; puis survinrent des difficultés qu'on ne put résoudre; puis enfin les fonds manquèrent, et tout fut arrêté. En 1832, Fourier créa le journal le Phalanstère, auquel succéda la Phalange, puis la Démocratie Pacifique. C'est le drapeau autour duquel se rallièrent ses adeptes. Une scission cependant s'opéra dans leur sein. Elle paraît être née de la divergence des opinions sur les conditions matérielles à remplir pour la formation d'un premier établissement.

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– Opinion de Proudhon sur le fouriérisme.— «Tout le monde a entendu parler de la prétendue théorie de Fourier, de la science découverte par Fourier, du système de Fourier; c'est, je le répète, la plus grande mystification de notre époque..... » Ce n'est pas seulement la théorie agricole industrielle, soi-disant enseignée par Fourier et propagée à si grands frais par M. Considérant, dont je révoque en doute l'existence, c'est la valeur scientifique de tous les travaux de Fourier, de quelque façon qu'on les envisage, que je nie. Fourier, comme économiste, métaphysicien, réformateur, inventeur, savant enfin, n'existe pas..... »

général de cavalerie légère hongroise, issu d'une ancienne famille de Wurtemberg qui s'était attachée au service de l'Autriche, fut d'abord employé à la chancellerie du prince Metternich, et donna les mains aux articles du traité d'Orebro, qui détachait Bernadotte de la France. Gentleman accompli, doué de ces manières fluides, de ce langage caressant et de cet attrait inexplicable qui dorent, pour ainsi dire, certains hommes d'État comme des bronzes, il se glissa dans le monde à Stockholm, où il était ministre d'Autriche, avec autant d'adresse que de succès. Il s'y maria même avec une femme dont le premier époux vivait encore en 1814. Ayant quitté la Suède pour Naples, il y fit jouer auprès de Murat tous les ressorts de l'intrigue, et l'entraîna à signer, le 11 janvier 1814, un traité avec les

alliés. Après la chute de ce malheureux prince, Neiperg entra le premier à Naples et en fut même quelque temps gouverneur. Au mois de juillet de la même année, il se trouvait aux environs de Genève, lorsque MarieLouise se rendit aux eaux d'Aix en Savoie. II ne tarda pas à gagner les bonnes grâces de cette princesse. Après la saison des eaux, il l'accompagna en Suisse avec des instructions du prince de Metternich, et, plus tard, il la suivit à Palerme; et cet homme, qui avait

dans ses instructions de pousser les choses

jusqu'où elles pouvaient ailer, mêla la galanterie à ses moyens d'influence. Après la bataille de Waterloo, rien ne s'opposait plus à ce que la vie de l'impératrice rentrât dans les conditions ordinaires de l'existence de toutes les femmes; mais la comtesse Neiperg vivait encore, et le congrès de Vienne avait passé légèrement sur cette difficulté de forme, et il avait été convenu que si Marie-Louise se remariait du vivant de la première comtesse, l'impératrice perdrait son titre de duchesse

de Parme. On ne tenait, du reste, aucun compte de Napoléon. Mais, en 1815, la comtesse Neiperg mourut, après deux jours seulement de maladie. Quand le deuil expira, son mari fut installé à Parme dans ses fonctions de grand chambellan et de secrétaire privé de la duchesse. Le cabinet de Vienne, mis en | demeure par la mort de la comtesse, ne de

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