...difficile à pénétrer des domaines de l'Ame, est assez particulière chez le cardinal : « II avait une sensibilité larmoyante, toute de surface, qui pouvait au premier abord tromper les Ames tendres, dominées d'ailleurs par la force de son espril; mais le fond de son cœur était froid....

...avait une tendresse larmoyante, toute de surface, qui pouvait, au premier abord, tromper lésâmes tendres, dominées d'ailleurs par la force de son...l'écarta de la ligne que ses calculs lui avaient tracée. Beaucoup l'aimèrent. Il aima peu. Il n'eut jamais qu'une passion, l'ambition. Les autres sentimens...

...avait une tendresse larmoyante, toute de surface, qui pouvait, au premier abord, tromper lésâmes tendres, dominées d'ailleurs par la force de son...de son cœur était froid. Jamais un sentiment ne l'écaita de la ligne que ses calculs lui avaient tracée. Beaucoup l'aimèrent. Il aima peu. Il n'eut...

...à laquelle l'évêque de Luçon écrit aux capucins de Fontenay. Correspondance (\, p. 21). H avait une sensibilité larmoyante , toute de surface, qui...l'écarta de la ligne que ses calculs lui avaient tracée. Beaucoup l'aimèrent. Il aima peu. Il n'eut jamais qu'une passion, celle du commandement. Tous les...

...de toute votre vie? L'homme est de ceux qui forcent l'admiration et n'attachent pas la tendresse. « Le fond de son cœur était froid. Jamais un < sentiment ne l'écarta de la ligne qne ses calculs lui avaient tracée. « Beaucoup l'aimèrent, il aima peu. Il n'eut jamais qu'une passion,...

...de toute votre vie? L'homme est de ceux qui forcent l'admiration et n'attachent pas la tendresse. « Le fond de son cœur était froid. Jamais un sentiment...l'écarta de la ligne que ses calculs lui avaient tracée. Beaucoup l'aimèrent, il aima peu. Il n'eut jamais qu'une passion, celle du commandement. » — Les...