 ... de Valence , seigneur de Luxen, Benizzano et Pal ma. Ce n'étoient pas des fiefs ou des richesses qui pouvoient faire oublier à Procida la mort tragique de Manfred et de Conradin , le malheur de sa patrie, et l'oppression de ses concitoyens. Les...  Histoire des républiques italiennes du moyen âge - Stranica 456napisao/la Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - 1818Potpun prikaz - O ovoj knjizi
 | 1823 - Broj stranica: 596
...concitoyens. Les correspondances qu'il avait conservées dans les deux royaumes ne l'entretenaient que des vexations des Français, de leur injustice, de leur cruauté', et surtout du mépris qu'ils affectaient pour les Italiens : elles nourrissaient sa haine et son désir de vengeance. Il instruisit... | |
 | Joseph Fr. Michaud, Louis Gabriel Michaud - 1823 - Broj stranica: 590
...concitoyens. Les correspondances qu'il avait conservées dans les deux royaumes ne l'entretenaient que des vexations des Français , de leur injustice , de leur cruauté, et surtout du me'pris qu'ils affectaient pour les Italiens : elles nourrissaient sa haine et son désir de vengeance.... | |
 | Jean-Charles-Léonard Simonde Sismondi - 1826 - Broj stranica: 516
...Procida , dans le royaume de YaCH.\P. xxtr. ce qu'il avoit perdu , l'avoit créé baron du 1281. royaume de Valence, seigneur de Luxen , Benizzano et Pal ma...., de leur cruauté , et surtout du mépris qu'ils afiectoient de montrer pour une nation que cependant ils n'avoient point conquise , mais qui s'étoit... | |
 | Jean-Charles-Léonard Simonde de Sismondi - 1818 - Broj stranica: 526
...Giovanni de Procida , qui étoit déjà très-âgé , pour se faire guérir d'une maladie. ou*. s™, avoit perdu, l'avoit créé baron du royaume 1281....plaintes des Siciliens, qui, plus éloignés de Charles , éloient abandonnés à ses vicaires , et vexés d'une manière plus cruelle que les Appuliens. II... | |
 | Louis Gabriel Michaud - 1842 - Broj stranica: 696
...concitoyens. Les correspondances qu'il avait conservées dans les deux royaumes ne l'entretenaient que des vexations des Français, de leur injustice, de leur cruauté, et surtout du mépris qu'ils affectaient pour les Italiens ; elles nourrissaient sa haine et son désir de vengeance. Il instruisit... | |
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