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حرضت على الكثير الكونت ويديفيلي المحتم

في صدأ التحيات. منتهی اخذ ما تحریر کر و سرنا جدا شد و شکم با نما وسرنا

يتعلق بحياة صديقنا الجزال بيجو الخدى بالحقيقة هادر يحاربنا ني الجزائر بكل شجاعة وثبات وظهر منا من مساكم مع سيم و بناه حقوق عند ملاقاتنا في التفنا وعقد المعاهدة المعروف بمعاهدة المتنفذة فتاكدنا جنداقته ولطف اختلاقه و دانه بلند به اندیکوند نا منا عهد امیر عظیمه قد سم من التصاوير بتسلیم سیف اليها بعد نومه مية طويلم في ميادين محروت ، وحث میر نے اور تذکر ما قدرت مجعد د مارتای المشارالیه نام جوکر قبول نكرانه محمد مر أفكر هذا في احدية شان در پی

علم

امضایقه ام عبد القاء الخض

இம்

Fac-simile d'une lettre adressée à M. Henry d'Ideville, par l'Émir Abdel-Kader,

en date de Damas, 8 novembre 1881. (Voir la traduction, tome II, page 6).

LE

MARÉCHAL BUGEAUD,

SA VIE

D'APRÈS DES DOCUMENTS INÉDITS ET SA CORRESPONDANCE INTIME.

CHAPITRE PREMIER.

BOU-MAZA ET LE DAHRA.

Retour à Alger.
Maza.

Premier soulèvement de 1845. — Apparitions de BouCampagne sous la pluie dans l'Ouarensenis en compagnie du duc de Montpensier. Saint-Arnaud et les chérifs. - Pélissier aux grottes du Dahra. - Petite campagne d'été en Kabylie. -- Échange des ratifications du traité avec le Maroc. Départ pour la France le 4 sep

tembre 1845.

Malgré les ovations dont il venait d'être l'objet en France, il tardait au maréchal de retourner en Algérie sur le théâtre de ses exploits. L'œuvre de la conquête et de colonisation était loin d'être achevée, et nul mieux que lui ne savait ce qu'il restait encore à faire. Cette fois, le gouverneur général retournait à son poste, investi de la confiance du souverain et de la nation, et rehaussé par le prestige de la victoire.

T. III.

1

A son arrivée, il publia l'ordre général suivant :

Au quartier général d'Alger, le 29 mars 1845.

Citoyens et soldats de l'Algérie, je suis revenu dans mon gouvernement, heureux de m'associer de nouveau aux destinées de notre conquête.

J'ai vu avec une vive satisfaction qu'en mon absence aucune affaire n'avait périclité. Les progrès en tout genre ont continué, malgré l'hiver extraordinaire que nous avons subi.

Aucun fait militaire de quelque importance n'a signalé cette période de quatre mois, si ce n'est l'attaque de quelques fanatiques contre notre poste de Sidi-bel-Abbès. Ce fait étrange a fourni à nos soldats une nouvelle occasion de prouver leur inébranlable fermeté.

Je n'aurais donc, en revenant parmi vous, que des sujets de joie, sans le douloureux événement de l'explosion de la poudrière du Môle.

Vous apprendrez avec bonheur que notre noble entreprise n'a pas moins de succès en France qu'en Afrique. La presque universalité des citoyens et des hommes politiques y ont foi; le commerce du nord, de l'est et de l'ouest de la métropole s'est ému, à son tour, par l'accroissement extraordinaire de l'exportation de nos tissus dans l'intérieur de l'Afrique, exportation qui ne peut que s'accroître par les nouvelles routes commerciales, que nous comptons ouvrir dans le petit Désert.

Notre cause est donc gagnée dans l'opinion. Elle grandira chaque jour par la valeur et les travaux de l'armée, par l'activité et la courageuse persévérance des colons, et surtout par l'intelligente sollicitude du gouvernement

Maréchal DUC D'ISLY.

« PrethodnaNastavi »