Collection des mémoires relatifs à la révolution française ...Saint Albin Berville, François Barrière Baudouin frères, 1828 |
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Stranica 44
... agents pour qu'il y eût incessamment , dans ce qu'ils appellent la grande ville , un mouvement . Eh bien ! ils l'auront , ce dernier mouvement ... ( Il s'élève de vifs applaudissements . ) Mais ils l'auront organisé , ré- gularisé par ...
... agents pour qu'il y eût incessamment , dans ce qu'ils appellent la grande ville , un mouvement . Eh bien ! ils l'auront , ce dernier mouvement ... ( Il s'élève de vifs applaudissements . ) Mais ils l'auront organisé , ré- gularisé par ...
Stranica 49
... agents d'émigrés qui n'ont pas constamment manifesté leur atta- chement à la révolution ; 6 ° ceux qui ont émigré dans l'in- tervalle du 1er juillet 1789 à la publication de la loi du 8 avril 1792 , quoiqu'ils soient rentrés en France ...
... agents d'émigrés qui n'ont pas constamment manifesté leur atta- chement à la révolution ; 6 ° ceux qui ont émigré dans l'in- tervalle du 1er juillet 1789 à la publication de la loi du 8 avril 1792 , quoiqu'ils soient rentrés en France ...
Stranica 59
... agents de l'aristocratie . Celui qui cherche à avilir , à diviser , à paralyser la convention , est un ennemi de la patrie , soit qu'il siège dans cette en- ceinte , soit qu'il lui soit étranger . ( On applaudit . ) Qu'il agisse par ...
... agents de l'aristocratie . Celui qui cherche à avilir , à diviser , à paralyser la convention , est un ennemi de la patrie , soit qu'il siège dans cette en- ceinte , soit qu'il lui soit étranger . ( On applaudit . ) Qu'il agisse par ...
Stranica 63
... agents payés à cet effet ; je rappellerai que la faction n'est pas morte , qu'elle conspire dans ses cachots , que les serpents des marais ne sont pas encore tous écrasés . >> Les hommes qui déclament perpétuellement , soit ici , soit ...
... agents payés à cet effet ; je rappellerai que la faction n'est pas morte , qu'elle conspire dans ses cachots , que les serpents des marais ne sont pas encore tous écrasés . >> Les hommes qui déclament perpétuellement , soit ici , soit ...
Stranica 64
... de lumière et de capacité , et nous nous féli- citerons , avec un Spartiate , de ce que la république aura trouvé des agents plus habiles . Mais il n'y a pas ici de point au isolé ici le tout est lié à la partie 64 CONVENTION NATIONALE .
... de lumière et de capacité , et nous nous féli- citerons , avec un Spartiate , de ce que la république aura trouvé des agents plus habiles . Mais il n'y a pas ici de point au isolé ici le tout est lié à la partie 64 CONVENTION NATIONALE .
Uobièajeni izrazi i fraze
accusés agents armées arrêté assemblées avaient avez Barrère Billaud Billaud-Varennes bons citoyens Bourdon de l'Oise Brissot calomnie Camille Desmoulins Chabot chargé collègues comité de salut comité de sûreté commission commission des vingt-un complices conjurés conspirait conspirateurs constitution contre-révolution convention nationale coupables courage Couthon crime criminelles Danton déclare décret défenseurs demande dénoncer députés despotisme doit Dumouriez ennemis Fabre Fabre d'Eglantine factions force fripons gouvernement révolutionnaire guerre hommes intrigues j'ai Jacobins justice l'aristocratie l'arrestation l'assemblée l'ordre du jour Legendre législation Léonard Bourdon liberté lois long-temps membres ment mesures nation parcequ'il parceque parler patrie patriotes perfides Philippeaux politique présent président prévenus principes projet proposition publique punir rapport représentants du peuple représentation nationale républicains république révolution Robespierre rois Ronsin Saint-Just salut public sauver scélérats séance sections sent sera seront seul sûreté générale terreur tion tisme toyens traîtres tribunal révolutionnaire tribune tyrans vention vérité vertu Vifs applaudissements voix voulait
Popularni odlomci
Stranica 324 - La Convention nationale, après avoir entendu le rapport du comité de salut public, déclare qu'appuyée sur les vertus du peuple français elle fera triompher la République démocratique , et punira sans pitié tous ses ennemis.
Stranica 367 - La loi donne pour défenseurs aux patriotes calomniés des jurés patriotes : elle n'en accorde point aux conspirateurs.
Stranica 398 - Ils m'appellent tyran ! Si je l'étais, ils ramperaient à mes pieds, je les gorgerais d'or, je leur assurerais le droit de commettre tous les crimes, et ils seraient reconnaissants. Si je l'étais, les rois que nous avons vaincus, loin de me dénoncer (quel tendre intérêt ils prennent à notre liberté!), me prêteraient leur coupable appui, je transigerais avec eux.
Stranica 357 - La vie des scélérats est ici mise en balance avec celle du peuple : ici, toute lenteur affectée est coupable, toute formalité indulgente ou superflue est un danger public. Le délai pour punir les ennemis de la patrie ne doit être que le temps de les reconnaître : il s'agit moins de les punir que de les anéantir.
Stranica 201 - État libre ; les propriétés des patriotes sont sacrées, mais les biens des conspirateurs sont là pour tous les malheureux. Les malheureux sont les puissances de la terre ; ils ont le droit de parler en maîtres aux gouvernements qui les négligent.
Stranica 352 - Il met au premier rang de ses devoirs de détester la mauvaise foi et la tyrannie, desunir les tyrans et les traîtres , de secourir les malheureux , de respecter les faibles , de défendre les opprimés, de faire aux autres tout le bien qu'on peut, et de n'être injuste envers personne.
Stranica 425 - Je n'ai pas voulu récriminer; mais j'ai vu hier la séance des Jacobins; j'ai frémi pour la Patrie; j'ai vu se former l'armée du nouveau Cromwell et je me suis armé d'un poignard pour lui percer le sein si la Convention nationale n'avait pas le courage de le décréter d'accusation.
Stranica 256 - Mauvais citoyen , tu as conspiré ; faux ami , tu disais il ya deux jours du mal de Desmoulins , instrument que tu as perdu , et tu lui prêtais des vices honteux ; méchant homme , tu as comparé l'opinion publique à une femme de mauvaise vie ; tu as dit que l'honneur était ridicule ; que la gloire et la postérité étaient une sottise : ces maximes devaient te concilier l'aristocratie ; elles étaient celles de Catilina. Si Fabre est innocent , si d'Orléans , si Dumourier furent innocens ,...
Stranica 346 - C'est vous qui avez dit aux rois : ' Vous êtes les images de Dieu sur la terre ; c'est de lui seul que vous tenez votre puissance ; ' et les rois vous ont répondu : ' Oui, vous êtes vraiment les envoyés de Dieu ; unissons-nous pour partager les dépouilles et les adorations des mortels.
Stranica 254 - ... toi. A la tribune, quand ton silence était accusé, tu leur donnais des avis salutaires pour qu'ils dissimulassent davantage; tu les menaçais sans indignation , mais avec une bonté paternelle , et tu leur donnais plutôt des conseils pour corrompre la liberté, pou r se sauver, pour mieu,x nous tromper , que tu n'en donnais au parti républicain pour les perdre. La haine , disais-tu, est insupportable à mon cœur, et tu nous avais dit: je n'aime point Marat.