Collection des mémoires relatifs à la révolution française ...Saint Albin Berville, François Barrière Baudouin frères, 1828 |
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Stranica 7
... chose qu'un vaste camp . Les maisons nationales , les maisons invendues d'é- migrés seront converties en casernes ; les places publiques en ateliers ; le sol des caves servira à préparer la foudre des armées . Le salpêtre manque : il y ...
... chose qu'un vaste camp . Les maisons nationales , les maisons invendues d'é- migrés seront converties en casernes ; les places publiques en ateliers ; le sol des caves servira à préparer la foudre des armées . Le salpêtre manque : il y ...
Stranica 27
... chose vous décrétiez le principe des mesures proposées dans la péti- tion de la commune de Paris , et que vous décrétiez à l'in- stant que la délivrance dés passe - ports sera arrêtée provi- soirement . >> Bazire . « On prépare à Paris ...
... chose vous décrétiez le principe des mesures proposées dans la péti- tion de la commune de Paris , et que vous décrétiez à l'in- stant que la délivrance dés passe - ports sera arrêtée provi- soirement . >> Bazire . « On prépare à Paris ...
Stranica 29
... chose la plus sacrée parmi nous ; qu'on perde plutôt la vie que son fusil . ( On applaudit . ) Je demande que vous décrétiez au moins cent millions pour faire des armes de toute nature ; car si nous avions eu des armes , nous aurions ...
... chose la plus sacrée parmi nous ; qu'on perde plutôt la vie que son fusil . ( On applaudit . ) Je demande que vous décrétiez au moins cent millions pour faire des armes de toute nature ; car si nous avions eu des armes , nous aurions ...
Stranica 52
... chose . Réussira - t - elle ? Non . Le peuple est éclairé . Il déjouera ses complots . » Citoyens , rappelez - vous dans quel état était Paris quand vous avez prononcé le décret salutaire dont on de- mande aujourd'hui le rapport : Les ...
... chose . Réussira - t - elle ? Non . Le peuple est éclairé . Il déjouera ses complots . » Citoyens , rappelez - vous dans quel état était Paris quand vous avez prononcé le décret salutaire dont on de- mande aujourd'hui le rapport : Les ...
Stranica 63
... chose publique ; et si on me le conteste , je rappellerai combien est per- fide , combien est étendu le système de nous avilir et de nous dissoudre , combien les étrangers et les ennemis de l'intérieur ont d'agents payés à cet effet ...
... chose publique ; et si on me le conteste , je rappellerai combien est per- fide , combien est étendu le système de nous avilir et de nous dissoudre , combien les étrangers et les ennemis de l'intérieur ont d'agents payés à cet effet ...
Uobièajeni izrazi i fraze
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Popularni odlomci
Stranica 324 - La Convention nationale, après avoir entendu le rapport du comité de salut public, déclare qu'appuyée sur les vertus du peuple français elle fera triompher la République démocratique , et punira sans pitié tous ses ennemis.
Stranica 367 - La loi donne pour défenseurs aux patriotes calomniés des jurés patriotes : elle n'en accorde point aux conspirateurs.
Stranica 398 - Ils m'appellent tyran ! Si je l'étais, ils ramperaient à mes pieds, je les gorgerais d'or, je leur assurerais le droit de commettre tous les crimes, et ils seraient reconnaissants. Si je l'étais, les rois que nous avons vaincus, loin de me dénoncer (quel tendre intérêt ils prennent à notre liberté!), me prêteraient leur coupable appui, je transigerais avec eux.
Stranica 357 - La vie des scélérats est ici mise en balance avec celle du peuple : ici, toute lenteur affectée est coupable, toute formalité indulgente ou superflue est un danger public. Le délai pour punir les ennemis de la patrie ne doit être que le temps de les reconnaître : il s'agit moins de les punir que de les anéantir.
Stranica 201 - État libre ; les propriétés des patriotes sont sacrées, mais les biens des conspirateurs sont là pour tous les malheureux. Les malheureux sont les puissances de la terre ; ils ont le droit de parler en maîtres aux gouvernements qui les négligent.
Stranica 352 - Il met au premier rang de ses devoirs de détester la mauvaise foi et la tyrannie, desunir les tyrans et les traîtres , de secourir les malheureux , de respecter les faibles , de défendre les opprimés, de faire aux autres tout le bien qu'on peut, et de n'être injuste envers personne.
Stranica 425 - Je n'ai pas voulu récriminer; mais j'ai vu hier la séance des Jacobins; j'ai frémi pour la Patrie; j'ai vu se former l'armée du nouveau Cromwell et je me suis armé d'un poignard pour lui percer le sein si la Convention nationale n'avait pas le courage de le décréter d'accusation.
Stranica 256 - Mauvais citoyen , tu as conspiré ; faux ami , tu disais il ya deux jours du mal de Desmoulins , instrument que tu as perdu , et tu lui prêtais des vices honteux ; méchant homme , tu as comparé l'opinion publique à une femme de mauvaise vie ; tu as dit que l'honneur était ridicule ; que la gloire et la postérité étaient une sottise : ces maximes devaient te concilier l'aristocratie ; elles étaient celles de Catilina. Si Fabre est innocent , si d'Orléans , si Dumourier furent innocens ,...
Stranica 346 - C'est vous qui avez dit aux rois : ' Vous êtes les images de Dieu sur la terre ; c'est de lui seul que vous tenez votre puissance ; ' et les rois vous ont répondu : ' Oui, vous êtes vraiment les envoyés de Dieu ; unissons-nous pour partager les dépouilles et les adorations des mortels.
Stranica 254 - ... toi. A la tribune, quand ton silence était accusé, tu leur donnais des avis salutaires pour qu'ils dissimulassent davantage; tu les menaçais sans indignation , mais avec une bonté paternelle , et tu leur donnais plutôt des conseils pour corrompre la liberté, pou r se sauver, pour mieu,x nous tromper , que tu n'en donnais au parti républicain pour les perdre. La haine , disais-tu, est insupportable à mon cœur, et tu nous avais dit: je n'aime point Marat.