Collection des mémoires relatifs à la révolution française ...Saint Albin Berville, François Barrière Baudouin frères, 1828 |
Iz unutrašnjosti knjige
Rezultati 1 - 5 od 23.
Stranica 21
... particulier ont jusqu'ici montré assez de pa- tience . On s'en est joué . Le jour de la justice et de la co- lère est venu . ( On applaudit . ) D Législateurs , l'immense rassemblement des citoyens réunis hier et ce matin sur la place ...
... particulier ont jusqu'ici montré assez de pa- tience . On s'en est joué . Le jour de la justice et de la co- lère est venu . ( On applaudit . ) D Législateurs , l'immense rassemblement des citoyens réunis hier et ce matin sur la place ...
Stranica 51
... particulier à la ville de Paris vous fit violer votre serment . Avez - vous pu , sans attenter aux droits du souverain , réduire les assemblées du peuple et en prescrire la durée ? Non ; et vous l'avez vous - mêmes reconnu dans un autre ...
... particulier à la ville de Paris vous fit violer votre serment . Avez - vous pu , sans attenter aux droits du souverain , réduire les assemblées du peuple et en prescrire la durée ? Non ; et vous l'avez vous - mêmes reconnu dans un autre ...
Stranica 56
... particulier pour trahir la patrie est bien vil et criminel . » Je ne connais pas l'auteur de la pétition qui vient de vous être présentée , mais je déclare qu'elle est entièrement puisée dans les arrêtés fédéralistes et contre ...
... particulier pour trahir la patrie est bien vil et criminel . » Je ne connais pas l'auteur de la pétition qui vient de vous être présentée , mais je déclare qu'elle est entièrement puisée dans les arrêtés fédéralistes et contre ...
Stranica 78
... particulier à vous faire sur les colonies . » Je ne parlerai donc point des vues commerciales qui conviennent à la république ; je ne veux parler du commerce que dans son rapport avec la crise où nous sommes . >> Beaucoup de denrées ...
... particulier à vous faire sur les colonies . » Je ne parlerai donc point des vues commerciales qui conviennent à la république ; je ne veux parler du commerce que dans son rapport avec la crise où nous sommes . >> Beaucoup de denrées ...
Stranica 112
... maison d'Autriche , nous l'avons déjà expliqué : comme deux brigands , qui se battaient pour partager les dépouilles ... particulier en lui laissant autant qu'il est possible tout # le poids de la guerre . D'un autre côté 112 CONVENTION ...
... maison d'Autriche , nous l'avons déjà expliqué : comme deux brigands , qui se battaient pour partager les dépouilles ... particulier en lui laissant autant qu'il est possible tout # le poids de la guerre . D'un autre côté 112 CONVENTION ...
Uobičajeni izrazi i fraze
accusés agents armées arrêté assemblées avaient avez Barrère Billaud Billaud-Varennes bons citoyens Bourdon de l'Oise Brissot calomnie Camille Desmoulins Chabot chargé collègues comité de salut comité de sûreté commission commission des vingt-un complices conjurés conspirait conspirateurs constitution contre-révolution convention nationale coupables courage Couthon crime criminelles Danton déclare décret défenseurs demande dénoncer députés despotisme doit Dumouriez ennemis Fabre Fabre d'Eglantine factions force fripons gouvernement révolutionnaire guerre hommes intrigues j'ai Jacobins justice l'aristocratie l'arrestation l'assemblée l'ordre du jour Legendre législation Léonard Bourdon liberté lois long-temps membres ment mesures nation parcequ'il parceque parler patrie patriotes perfides Philippeaux politique présent président prévenus principes projet proposition publique punir rapport représentants du peuple représentation nationale républicains république révolution Robespierre rois Ronsin Saint-Just salut public sauver scélérats séance sections sent sera seront seul sûreté générale terreur tion tisme toyens traîtres tribunal révolutionnaire tribune tyrans vention vérité vertu Vifs applaudissements voix voulait
Popularni odlomci
Stranica 324 - La Convention nationale, après avoir entendu le rapport du comité de salut public, déclare qu'appuyée sur les vertus du peuple français elle fera triompher la République démocratique , et punira sans pitié tous ses ennemis.
Stranica 367 - La loi donne pour défenseurs aux patriotes calomniés des jurés patriotes : elle n'en accorde point aux conspirateurs.
Stranica 398 - Ils m'appellent tyran ! Si je l'étais, ils ramperaient à mes pieds, je les gorgerais d'or, je leur assurerais le droit de commettre tous les crimes, et ils seraient reconnaissants. Si je l'étais, les rois que nous avons vaincus, loin de me dénoncer (quel tendre intérêt ils prennent à notre liberté!), me prêteraient leur coupable appui, je transigerais avec eux.
Stranica 357 - La vie des scélérats est ici mise en balance avec celle du peuple : ici, toute lenteur affectée est coupable, toute formalité indulgente ou superflue est un danger public. Le délai pour punir les ennemis de la patrie ne doit être que le temps de les reconnaître : il s'agit moins de les punir que de les anéantir.
Stranica 201 - État libre ; les propriétés des patriotes sont sacrées, mais les biens des conspirateurs sont là pour tous les malheureux. Les malheureux sont les puissances de la terre ; ils ont le droit de parler en maîtres aux gouvernements qui les négligent.
Stranica 352 - Il met au premier rang de ses devoirs de détester la mauvaise foi et la tyrannie, desunir les tyrans et les traîtres , de secourir les malheureux , de respecter les faibles , de défendre les opprimés, de faire aux autres tout le bien qu'on peut, et de n'être injuste envers personne.
Stranica 425 - Je n'ai pas voulu récriminer; mais j'ai vu hier la séance des Jacobins; j'ai frémi pour la Patrie; j'ai vu se former l'armée du nouveau Cromwell et je me suis armé d'un poignard pour lui percer le sein si la Convention nationale n'avait pas le courage de le décréter d'accusation.
Stranica 256 - Mauvais citoyen , tu as conspiré ; faux ami , tu disais il ya deux jours du mal de Desmoulins , instrument que tu as perdu , et tu lui prêtais des vices honteux ; méchant homme , tu as comparé l'opinion publique à une femme de mauvaise vie ; tu as dit que l'honneur était ridicule ; que la gloire et la postérité étaient une sottise : ces maximes devaient te concilier l'aristocratie ; elles étaient celles de Catilina. Si Fabre est innocent , si d'Orléans , si Dumourier furent innocens ,...
Stranica 346 - C'est vous qui avez dit aux rois : ' Vous êtes les images de Dieu sur la terre ; c'est de lui seul que vous tenez votre puissance ; ' et les rois vous ont répondu : ' Oui, vous êtes vraiment les envoyés de Dieu ; unissons-nous pour partager les dépouilles et les adorations des mortels.
Stranica 254 - ... toi. A la tribune, quand ton silence était accusé, tu leur donnais des avis salutaires pour qu'ils dissimulassent davantage; tu les menaçais sans indignation , mais avec une bonté paternelle , et tu leur donnais plutôt des conseils pour corrompre la liberté, pou r se sauver, pour mieu,x nous tromper , que tu n'en donnais au parti républicain pour les perdre. La haine , disais-tu, est insupportable à mon cœur, et tu nous avais dit: je n'aime point Marat.