Collection des mémoires relatifs à la révolution française ...Saint Albin Berville, François Barrière Baudouin frères, 1828 |
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Stranica 33
... tribune ses sophismes liberticides , avec les beaux noms de philosophie et d'humanité dans la bouche , et la trahison dans le cœur . Il faut que nous allions chercher les ennemis dans leurs tanières à peine la nuit et le jour suffiront ...
... tribune ses sophismes liberticides , avec les beaux noms de philosophie et d'humanité dans la bouche , et la trahison dans le cœur . Il faut que nous allions chercher les ennemis dans leurs tanières à peine la nuit et le jour suffiront ...
Stranica 42
... tribune . Il se fait un grand silence , au milieu duquel quelques applaudissements se font en- tendre . " Thuriot . « On ne peut pas être divisé dans la convention sur la question de savoir si les têtes des hommes criminels qui ...
... tribune . Il se fait un grand silence , au milieu duquel quelques applaudissements se font en- tendre . " Thuriot . « On ne peut pas être divisé dans la convention sur la question de savoir si les têtes des hommes criminels qui ...
Stranica 65
... tribune . Sans doute tous les actes de législation doivent être publics , et c'est en cela que les états libres diffèrent du despotisme ; mais les actes du gouvernement doivent être secrets ; autrement vos en- nemis agissant dans le ...
... tribune . Sans doute tous les actes de législation doivent être publics , et c'est en cela que les états libres diffèrent du despotisme ; mais les actes du gouvernement doivent être secrets ; autrement vos en- nemis agissant dans le ...
Stranica 70
... tribune , ont osé proposer froidement d'abandonner le Mont - Blanc aux Piémontais . ( On ap- plaudit . ) » Quant à la proposition de Billaud - Varennes , je n'y attache aucune importance , et je la crois impolitique . Si les cinquante ...
... tribune , ont osé proposer froidement d'abandonner le Mont - Blanc aux Piémontais . ( On ap- plaudit . ) » Quant à la proposition de Billaud - Varennes , je n'y attache aucune importance , et je la crois impolitique . Si les cinquante ...
Stranica 91
... tribune , on sait mourir . » Il est temps , citoyens , que vous reveniez à vous ; il est temps que la vie d'un homme public ne soit plus exposée aux intrigues des malveillants ; il est temps que vous déli- vriez les patriotes de cette ...
... tribune , on sait mourir . » Il est temps , citoyens , que vous reveniez à vous ; il est temps que la vie d'un homme public ne soit plus exposée aux intrigues des malveillants ; il est temps que vous déli- vriez les patriotes de cette ...
Uobièajeni izrazi i fraze
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Popularni odlomci
Stranica 324 - La Convention nationale, après avoir entendu le rapport du comité de salut public, déclare qu'appuyée sur les vertus du peuple français elle fera triompher la République démocratique , et punira sans pitié tous ses ennemis.
Stranica 367 - La loi donne pour défenseurs aux patriotes calomniés des jurés patriotes : elle n'en accorde point aux conspirateurs.
Stranica 398 - Ils m'appellent tyran ! Si je l'étais, ils ramperaient à mes pieds, je les gorgerais d'or, je leur assurerais le droit de commettre tous les crimes, et ils seraient reconnaissants. Si je l'étais, les rois que nous avons vaincus, loin de me dénoncer (quel tendre intérêt ils prennent à notre liberté!), me prêteraient leur coupable appui, je transigerais avec eux.
Stranica 357 - La vie des scélérats est ici mise en balance avec celle du peuple : ici, toute lenteur affectée est coupable, toute formalité indulgente ou superflue est un danger public. Le délai pour punir les ennemis de la patrie ne doit être que le temps de les reconnaître : il s'agit moins de les punir que de les anéantir.
Stranica 201 - État libre ; les propriétés des patriotes sont sacrées, mais les biens des conspirateurs sont là pour tous les malheureux. Les malheureux sont les puissances de la terre ; ils ont le droit de parler en maîtres aux gouvernements qui les négligent.
Stranica 352 - Il met au premier rang de ses devoirs de détester la mauvaise foi et la tyrannie, desunir les tyrans et les traîtres , de secourir les malheureux , de respecter les faibles , de défendre les opprimés, de faire aux autres tout le bien qu'on peut, et de n'être injuste envers personne.
Stranica 425 - Je n'ai pas voulu récriminer; mais j'ai vu hier la séance des Jacobins; j'ai frémi pour la Patrie; j'ai vu se former l'armée du nouveau Cromwell et je me suis armé d'un poignard pour lui percer le sein si la Convention nationale n'avait pas le courage de le décréter d'accusation.
Stranica 256 - Mauvais citoyen , tu as conspiré ; faux ami , tu disais il ya deux jours du mal de Desmoulins , instrument que tu as perdu , et tu lui prêtais des vices honteux ; méchant homme , tu as comparé l'opinion publique à une femme de mauvaise vie ; tu as dit que l'honneur était ridicule ; que la gloire et la postérité étaient une sottise : ces maximes devaient te concilier l'aristocratie ; elles étaient celles de Catilina. Si Fabre est innocent , si d'Orléans , si Dumourier furent innocens ,...
Stranica 346 - C'est vous qui avez dit aux rois : ' Vous êtes les images de Dieu sur la terre ; c'est de lui seul que vous tenez votre puissance ; ' et les rois vous ont répondu : ' Oui, vous êtes vraiment les envoyés de Dieu ; unissons-nous pour partager les dépouilles et les adorations des mortels.
Stranica 254 - ... toi. A la tribune, quand ton silence était accusé, tu leur donnais des avis salutaires pour qu'ils dissimulassent davantage; tu les menaçais sans indignation , mais avec une bonté paternelle , et tu leur donnais plutôt des conseils pour corrompre la liberté, pou r se sauver, pour mieu,x nous tromper , que tu n'en donnais au parti républicain pour les perdre. La haine , disais-tu, est insupportable à mon cœur, et tu nous avais dit: je n'aime point Marat.