Essai philosophique sur la formation de la langue françaiseFranck, 1852 - Broj stranica: 447 |
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adjectifs affixes allemand armoricain assez avaient Benois celtique changement Chanson de Roland Chanson de saint Chronique rimée citerons conjugaison conservé consonnes core corruptions d'abord dérivé désinences dialectes différents disait doute estre étymologie exemple exprimer flexions forme gaël Gaules Gaulois génitif germaniques goth grammaire grammaticale grec Grégoire de Tours Ibidem idées idiomes kymri l'all l'arm l'isl l'origine langage langue langues germaniques latin lettres lingua littéraire littéralement Livres des Rois ment modifier monuments postérieurs mots naturelle normand origine patois peuple peut-être philologues phrase Plaute ples pluriel poëme préposition primitive probablement pronom prononciation provençal quae quelquefois Quintilien quod racine radical reste Romans de Brut Romans de Renart Romans de Rou saint Alexis sanscrit semble sens seulement sign signification souvent substantif sunt syllabe terminaison teutoniques tion traduction trouve verbe vieux-français vocabulaire voyelle XIIe siècle
Popularni odlomci
Stranica 29 - Tu sçauras dextrement choisir et approprier à ton œuvre les vocables plus significatifs des dialectes de nostre France, quand ceux de ta nation ne seront assez propres ni...
Stranica 97 - Et porce que lengue franceise cort parmi le monde et est la plus delitable a lire et a oi'r que nule autre...
Stranica 13 - ... jour d'ieu persone qui saiche escrire, anteir ne prononcieir en une meismes semblant menieire ; mais escript, ante et prononce li uns en une guise et li aultre en une aultre.
Stranica 384 - Ils croiraient s'abaisser, dans leurs vers monstrueux, S'ils pensaient ce qu'un autre a pu penser comme eux.
Stranica 205 - Guagonis, nepotem meum vestrumque proqinquum, et cum eo duos alias puerulos nobiles et quandoque, si Deus vult, nostro monasterio suo servitio profuturos propter Germanicae linguae nanciscendam scientiam vestrae sanctitati mittere cupio, qui tres duobus tantummodo paedagogis contenti sint.
Stranica 202 - Prœcepit namque cuidam viro de gente saxonum qui apud suos non ignobilis vates habebatur, ut vêtus ac novum testamentum in germanicam linguam poetice transferre studeret....
Stranica 29 - je ne sai quoi du ramage de ceux qui « en furent copistes ; je veux dire de leur «* picard, normand, champenois, qui sont * choses ausquelles le lecteur doit avoir « égard , premier que dy interposer son
Stranica 26 - ... et lou deffault d'entendement de maint et plusour, qui plus souvent forment lour mos et lour parleir a lour volenteit et a lour guise que a veriteit et au commun entendement. Et pour ceu que nulz ne tient en son parleir ne rigle certenne, mesure ne raison, est laingue romance si corrumpue qu'a poinne li uns entent...
Stranica 108 - Franciœ nationes , non jam ab his locis quae olim Romani invaserant, sed a propriis ex origine suis sedibus, atque ab ultimis...
Stranica 27 - Paris ; Mais me raporte et me compère Au parler que m'aprist ma mère, A Meun, quant je l'alaitoie, Dont mes parlers ne s'en desvoie ; Ne n'ay nul parler plus habile Que cellui qui keurt à no ville.