La Révolution française: 1789-1815Leroux, 1880 - Broj stranica: 198 |
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10 août 18 fructidor Assemblée Auguste Comte Bonaparte Camille Desmoulins civile Cloots club club des Cordeliers coalition Comité de Salut comte de Fersen Convention nationale Cordeliers coup d'État culte d'après Danton décret défense démocratique dictature Diderot Directoire doctrine Dr Robinet Edgar Quinet émigrés enfin eût Fabre Fabre d'Églantine force funeste générale Girondins Gouvernement révolutionnaire guerre Hébertistes Histoire Hoche homme indispensable inévitable institutions Jacobins l'an l'ancien régime l'armée l'Assemblée constituante l'État l'Europe l'Humanité l'in légalité légitime liberté lois Louis XVI lution M. P. LAFFITTE Marat ment militaire monarchie morale municipales Napoléon Napoléon III nation nécessité nement patrie patriotes peuple philosophie positive politique populaire Positivisme pouvoir pré prépondérance principal principes propagande armée publique réellement réformes Répu républicain République reste rétrogradation Révo Révolution française Robert Lindet Robespierre royalistes royauté Salut public sentiments septembre 1792 seule situation social souveraineté surtout Système de philosophie tendances théorie tion tique tribunal Turgot universel vention XVIIIe siècle
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Stranica 142 - Sans pouvoir obliger personne à les croire, il peut bannir de l'État quiconque ne les croit pas ; il peut le bannir non comme impie, mais comme insociable, comme incapable d'aimer sincèrement les lois, la justice, et d'immoler au besoin sa vie à son devoir.
Stranica 173 - I", notre Empereur ? R. — Les chrétiens doivent aux princes qui les gouvernent, et nous devons en particulier à Napoléon I", notre Empereur, l'amour, le respect, l'obéissance, la fidélité, le service militaire, les tributs ordonnés pour la conservation et la défense de l'Empire et de son trône; nous lui devons encore des prières ferventes pour son salut et pour la prospérité spirituelle et temporelle de l'État.
Stranica 142 - Il ya donc une profession de foi purement civile dont il appartient au souverain de fixer les articles, non pas précisément comme dogmes de religion, mais comme sentiments de sociabilité sans lesquels il est impossible d'être bon citoyen ni sujet fidèle.
Stranica 53 - La Fayette qui doit servir à cette dernière attaque. Voilà le résultat du conseil d'hier; il est bon de connaître ce projet pour se tenir sur ses gardes et prendre toutes les mesures convenables. Selon toutes les apparences, cela se fera promptement 1.
Stranica 143 - Robespierre sur les rapports des idées religieuses et morales avec les principes républicains et sur les fêtes nationales, lu dans la séance du 18 floréal an II.
Stranica 41 - ... de la monarchie. Je viens de m'adresser à l'empereur, à l'impératrice de Russie, aux rois d'Espagne et de Suède, et je leur présente l'idée d'un congrès des principales puissances de l'Europe, appuyé d'une force armée.
Stranica 143 - Les dogmes de la religion civile doivent être simples, en petit nombre, énoncés avec précision, sans explications ni commentaires. L'existence de la Divinité puissante, intelligente, bienfaisante, prévoyante et pourvoyante, la vie à venir, le bonheur des justes, le châtiment des méchants, la sainteté du contrat social et des lois...
Stranica 49 - canon que vous entendez, dit-il, n'est point le canon d'alarme; c'est » le pas de charge sur nos ennemis. Pour les vaincre, pour les atterrer, » que faut-il? De l'audace, encore de l'audace, et toujours de l'audace.
Stranica 182 - ... de Bonaparte avait été vraiment éminent, ce chef ne se serait point abandonné à son aversion trop exclusive envers la grande crise républicaine, où il ne savait voir, à la suite des plus vulgaires déclamateurs rétrogrades, que la facile démonstration de l'impuissance organique propre à la seule philosophie qui avait pu y présider : il n'y aurait pas entièrement méconnu d'énergiques tendances vers une régénération fondamentale , dont les conditions nécessaires s'y étaient...
Stranica 80 - Faisons ce que n'a pas fait l'Assemblée législative : soyons terribles pour dispenser le peuple de l'être ; organisons un tribunal, non pas bien, cela est impossible, mais le moins mal qu'il se pourra, afin que le glaive de la loi pèse sur la tête de tous ses ennemis.