Procès-verbaux du Comité d'instruction publique de la Convention nationale, Opseg 3Imprimerie nationale, 1897 |
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adopté Archives nationales articles Barère Bibliothèque nationale blique Bouquier brumaire Bureau carton chargé ci-devant citoyen Comité arrête Comité d'in Comité d'instruction publique Comité de salut Comité de sûreté commissaires Commission des arts Commission des monuments Commission des poids commune Convention nationale demande département député district donnons aux annexes enfants Extrait du procès-verbal Fabre d'Églantine Fourcroy frimaire an 11 Grégoire imprimé instituteurs Journal des débats l'enseignement l'Imprimerie nationale l'ordre du jour Lavoisier Léonard Bourdon lettre liberté Lindet livres élémentaires Mathieu membre du Comité mention ministre de l'intérieur Moniteur Muséum n'avons pas trouvé nivòse nivôse an 11 nouveau question objets pétition peuple plan pluviôse pluviôse an 11 poids et mesures président projet de décret propose proposition raison rapport registre des procès-verbaux relatif renvoyée au Comité républicaine Romme salut public sciences séance du Comité section sera de nouveau seront Société populaire sourds-muets struction publique sûreté générale Thibaudeau tion toyen travail ventôse
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Stranica 521 - L'instruction est le besoin de tous. La société doit favoriser de tout son pouvoir les progrès de la raison publique, et mettre l'instruction à la portée de tous les citoyens.
Stranica 154 - IL est temps de rét'ablir ce grand principe qu'on semble méconnaître : que les enfants appartiennent à la République avant d'appartenir à leurs parents. Personne plus que moi ne respecte la nature. Mais l'intérêt social exige que là seulement doivent se réunir les affections. Qui me répondra que les enfants, travaillés par l'égoïsme des pères, ne deviennent dangereux pour la République ? Nous avons assez fait pour les affections, nous devons dire aux parents : ' Nous ne vous les arrachons...
Stranica li - Le fédéralisme et la superstition parlent bas-breton; l'émigration et la haine de la République parlent allemand; la contrerévolution parle l'italien, et le fanatisme parle le basque. Cassons ces instruments de dommage et d'erreur.
Stranica 60 - De produire un certificat de civisme et de bonnes mœurs, signé de la moitié des membres du conseil général de la commune, ou de la section du lieu de leur résidence, et par deux membres au moins du comité de surveillance de la section, ou du lieu de leur domicile, ou du lieu qui en est le plus voisin.
Stranica lxxxviii - Instruction sur la manière d'inventorier et de conserver dans toute l'étendue de la République, tous les objets qui peuvent servir aux arts, aux sciences et à l'enseignement, proposée par la Commission temporaire des arts et adoptée par le comité d'instruction publique de la Convention nationale.
Stranica 110 - ... de 172,750 individus qui, embrassant, par une hiérarchie habilement combinée, tous les âges, tous les sexes, toutes les parties de la république, deviendraient infailliblement les régulateurs plénipotentiaires des mœurs, des goûts, des usages et parviendraient facilement par leur influence à se rendre les arbitres de la liberté et des destinées de la nation.
Stranica 351 - Les sociétés populaires sont invitées à propager l'établissement des clubs pour la traduction vocale des décrets et des lois de la République, et à multiplier les moyens de faire connaître la langue française dans les campagnes les plus reculées. Le comité de salut public est chargé de prendre à ce sujet toutes les mesures qu'il croira nécessaire.
Stranica 183 - LA Convention nationale, après avoir entendu le rapport de son Comité d'instruction publique , décrète ce qui suit : ART. i.
Stranica 353 - Les habitants des campagnes n'entendent que le bas-breton ; c'est avec cet instrument barbare de leurs pensées superstitieuses que les prêtres et les intrigants les tiennent sous leur empire, dirigent leurs consciences et empêchent les citoyens de connaître les lois et d'aimer la République. Vos travaux leur sont inconnus, vos efforts pour leur affranchissement sont ignorés. L'éducation publique ne peut s'y établir, la régénération nationale y est impossible. C'est un fédéralisme indestructible...
Stranica xxxiii - L'enseignement libre n'offre aucun de ces abus... Abandonnez tout à l'influence salutaire de la liberté, à l'émulation et à la concurrence, craignez d'étouffer l'essor du génie par les règlements, ou d'en ralentir les progrès en le mettant en tutelle sous la férule d'une corporation de pédagogues à qui vous auriez donné, pour ainsi dire, le privilège exclusif de la pensée, la régie des progrès de l'esprit humain, l'entreprise du perfectionnement de la raison nationale...