Discours parlementaires de M. Thiers: 1848-1850Calmann Lévy, 1880 |
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Stranica 33
... président du co- mité a rempli une mission ; quant à moi , c'est comme membre de ce comité , souvent attaqué ici , que je prends la parole , ce n'est pas en son nom . Je dois commencer par quelques explications , que je tâcherai de ...
... président du co- mité a rempli une mission ; quant à moi , c'est comme membre de ce comité , souvent attaqué ici , que je prends la parole , ce n'est pas en son nom . Je dois commencer par quelques explications , que je tâcherai de ...
Stranica 37
... PRÉSIDENT . N'interrompez pas ; demandez- moi la parole , je vous l'accorderai ; mais n'interrompez pas l'orateur . - M. THIERS . Si vous étiez conséquents , vous pro- poseriez d'autres impôts sur les capitaux mobiliers , et vous n'y ...
... PRÉSIDENT . N'interrompez pas ; demandez- moi la parole , je vous l'accorderai ; mais n'interrompez pas l'orateur . - M. THIERS . Si vous étiez conséquents , vous pro- poseriez d'autres impôts sur les capitaux mobiliers , et vous n'y ...
Stranica 38
... président à l'administration , on n'a songé à imposer le capital mobilier . A quoi a - t - on pensé ? On a pensé à l'impôt sur le revenu ; ce qui est tout autre chose . Si c'était un projet d'impôt sur le revenu qu'on eût la prétention ...
... président à l'administration , on n'a songé à imposer le capital mobilier . A quoi a - t - on pensé ? On a pensé à l'impôt sur le revenu ; ce qui est tout autre chose . Si c'était un projet d'impôt sur le revenu qu'on eût la prétention ...
Stranica 52
... PRÉSIDENT . - N'interrompez pas l'orateur . M. THIERS . Si ce n'est pas la question , je me soumets au jugement de l'Assemblée , et je suis prêt à quitter la tribune . ( Parlez ! Parlez ! ) Comment , Messieurs , on ne serait pas dans la ...
... PRÉSIDENT . - N'interrompez pas l'orateur . M. THIERS . Si ce n'est pas la question , je me soumets au jugement de l'Assemblée , et je suis prêt à quitter la tribune . ( Parlez ! Parlez ! ) Comment , Messieurs , on ne serait pas dans la ...
Stranica 72
... PRÉSIDENT . - Vous contesterez les faits autant que les opinions , mais ce sera à votre tour , et à la tribune . M. THIERS . Voulez - vous la vérité ? ( Oui ! Oui ! ) N'aimez - vous donc que la misère ? Ne voulez - vous que ce triste ...
... PRÉSIDENT . - Vous contesterez les faits autant que les opinions , mais ce sera à votre tour , et à la tribune . M. THIERS . Voulez - vous la vérité ? ( Oui ! Oui ! ) N'aimez - vous donc que la misère ? Ne voulez - vous que ce triste ...
Sadr¾aj
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Ostala izdanja - Prika¾i sve
Discours parlementaires de M. Thiers: Troisième Partie (1848-1850) Adolphe Thiers Potpun prikaz - 1880 |
Uobièajeni izrazi i fraze
allez approbation armée aujourd'hui aurait avez avons banques banques d'Écosse BARTHÉLEMY SAINT-HILAIRE bataille de Novare besoin bienfaisance Brésil Buenos-Ayres c'est-à-dire caisses caisses d'épargne capital chose citoyens classes clergé comité des finances commerce Commission Constitution contester crédit créer demande dire discussion discuter donner économie politique esprits Est-ce établissements êtes FÉLIX PYAT général général Cavaignac gouvernement guerre hommes hypothécaires impôt institutions intérêts Interruption j'ai jours Jules Favre l'Amérique l'armée l'Autriche l'enseignement l'État l'impôt l'intérêt l'ouvrier l'Université laisser Ledru-Rollin législative liberté d'enseignement lois membre à gauche ment Messieurs militaire milliards ministre monde Montevideo moralité motu proprio moyen nations numéraire ouvriers papier papier-monnaie parole passé pays permettez-moi peuple Pie IX Piémont politique pourrait PRÉSIDENT principes projet de loi propriété foncière Proudhon question raison république rien Rires Saint-Jean-d'Ulloa Savez-vous secours serait sérieux seul société soldats sommes système THIERS tion travail tribune vais Vénétie véritable Voilà Voix à gauche voudrais voulez voulu vrai
Popularni odlomci
Stranica 207 - États indépendants de l'Italie étaient envahis; si l'on imposait des limites ou des obstacles à leurs transformations intérieures; si on leur contestait à main armée le droit de s'allier entre eux pour consolider une patrie italienne, la République française se croirait en droit d'armer elle-même pour protéger ces mouvements légitimes de croissance et de nationalité des peuples.
Stranica 57 - ... soit en leur procurant du travail dans les limites de ses ressources, soit en donnant, à défaut de la famille, des secours à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Stranica 367 - ... la profondeur s'est révélé au milieu de nous, alors tous les hommes sages, tous les amis sincères de la patrie ont compris qu'il ne s'agissait plus de savoir par qui et dans quelle mesure précise le bien se ferait, mais qu'il fallait recueillir toutes les forces morales du pays, s'unir intimement les uns aux autres pour combattre et terrasser l'ennemi commun qui, victorieux, ne ferait grâce à personne.
Stranica 3 - L'Assemblée nationale, considérant que la proposition du citoyen Proudhon est une atteinte odieuse aux principes de la morale publique; qu'elle viole la propriété; qu'elle encourage la délation ; qu'elle fait appel aux plus mauvaises passions ; — Considérant en outre que l'orateur a calomnié la révolution de février 1848 en prétendant la rendre complice des théories qu'il a développées, passe à l'ordre du jour.
Stranica 105 - La République doit protéger le citoyen dans sa personne, sa famille, sa religion, sa propriété, son travail, et mettre à la portée de chacun l'instruction indispensable à tous les hommes; elle doit, par une assistance fraternelle, assurer l'existence des citoyens nécessiteux, soit en leur procurant du travail dans les limites de ses ressources, soit en donnant, à défaut de la famille...
Stranica 366 - ... 1° Un certificat de stage constatant qu'il a rempli , pendant cinq ans au moins , les fonctions de professeur ou de surveillant dans un établissement d'instruction secondaire public ou libre : 2°...
Stranica 439 - Mais il importe que cette vertu, quand elle devient de particulière collective, de vertu privée vertu publique, conserve son caractère de vertu, c'est-à-dire reste volontaire, spontanée, libre enfin de faire ou de ne pas faire, car autrement elle cesserait d'être une vertu pour devenir une contrainte, et une contrainte désastreuse. Si, en effet, une classe entière, au lieu de recevoir; pouvait exiger, elle prendrait le rôle du mendiant qui demande le fusil à la main.
Stranica 29 - ... dont les appointements convenus d'avance doivent être intégralement soldés. Art. 2. Toute infraction à cette disposition sera déférée aux tribunaux. Art. 3. Toutes les amendes et retenues infligées depuis le 18 mars, sous prétexte de punition, devront être restituées aux ayants droit, dans un délai de quinze jours à partir de la promulgation du présent décrets.
Stranica 57 - République, disait-il, doit protéger le citoyen dans sa personne, sa famille, sa religion et sa propriété. Elle reconnaît le droit de tous les citoyens à l'instruction, au travail et à l'assistance ». Pendant plusieurs séances, les orateurs argumentèrent.
Stranica 497 - ... pour le moment où il en aurait le plus besoin. On voit alors un double chômage, celui de l'industrie et celui de l'État, et des milliers d'ouvriers se promenant oisifs sur nos places publiques, où ils deviennent les dociles et funestes instruments des factions.