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agents-voyers, etc. Paris, le même, 1858, in-8 de 26 f., avec 12 planch. (7 fr.). IV. Manuel des aspirants au grade d'ingénieur des ponts et chaussées. Guide du conducteur des ponts et chaussées, de l'agentvoyer, du garde du génie et de l'artillerie, rédigé d'après le nouvean programme officiel. Paris, Mallet-Bachelier, 1854-55, 1858, 4 vol. in-8, avec un atlas de 100 pl. (24 fr.). Cet ouvrage est divisé en deux parties que l'on peut se procurer séparément la première, est la partie théorique, formant 2 vol. avec 44 planches. et la seconde la partie pratique, avec 56 planches. (Prix de chacune d'elles, 12 fr.) V. En société, M. J.-J. Regnault est le rédacteur des Annales des chemins vicinaux, Recueil de mémoires, documents et actes officiels concernant le service vicinal. Paris, Dupont, janv. 1856, in-8 avec planches. Recueil mensuel qui parait par cahiers d'environ trois feuilles, avec des planches pour l'intelligence du texte. (Le prix de l'abonnement annuel est de 10 fr.) M. J.-J. Regnault est chargé de la rédaction de la première partie de ce recueil qui traite des travaux d'art, mémoires et documents depuis l'année 1845 jusqu'en 1858; ce recueil se continue. VI. Annales des conducteurs des ponts et chaussées, recueil de mémoires, documents et actes officiels concernant le service des conduct. de ponts et chaussées. Paris, Dupont, 1857-58, in-8 avec planches. Autre publication mensuelle, qui forme à la fin de chaque année deux gros volumes in-8, l'un pour la partie technique, l'autre pour la partie administrative; chacun est suivi d'une table alphabétique. (Prix de l'abonnement annuel: 10 fr.) +REGNAULT (Amable), d'abord bibliothécaire, et plus tard archiviste du Conseil d'Etat, né à Versailles le 18 octobre 1798. L'on doit à M. Regnault, qui depuis trente ans a beaucoup voyagé, sans se poser en voyageur: I. La duchesse de Praslin, poëme élégiaque. Paris, de l'impr. de F. Didot, 1847, in-8 de 16 pag. II. Histoire du Conseil d'État depuis son origine jusqu'à ce jour, contenant sa composition, s

son

organisation intérieure, ses attributions, etc., avec des Notices biographiques, et ornée de costumes et d'autographes. Paris, Vaton, 1851, in-8 de 32 feuilles et un quart, plus 4 lithographies et 23 fac-simile (7 fr. 50 c.). III. Voyage en Orient. Turquie, Egypte, Paris, P. Bertrand, 1855, in-8 de 32 feuil. et demie (7 fr. 50 c.). IV. Esquisses historiques sur Moscou et SaintPétersbourg, à l'époque du couronnement de l'empereur Alexanbre II. Paris, le même, 1837, in-8 de 312 pag. (5 fr.). Ce qu'a publié M. A. Regnault (1) n'est rien en comparaison de ce qu'il a écrit, car on cite de lui pour paraître successivement 1° «Biographies des conseillers d'État de l'Empire sous Napoléon, la Restauration et Sous Louis-Philippe»,au nombre de vingt-cinq; 2° «<le Voyage en Orient> de l'auteur, trad. en anglais par l'auteur lui-même; 30 « un Voyage en Allemagne» en 1848; 40 « Coupd'œil rétrospectif sur les Indes anglaises (1858); 5° une traduction en vers français, la première, des Chefs-d'œuvre de lord Byron », comprenant Childe - Harold, le Giaour, le Corsaire, Lara, la Fiancée d'Abydos et Beppo; 5° «La Suisse pittoresque et poétique», 7,000 vers, 2 vol. in-8; 6° «Ta«bleaux poétiques de l'Europe pittoresque», 1 vol. in-8. REGNAULT (Hippolyte). Histoire d'un prince des régions boréales. (En vers.) Lille, de l'impr. de Lefebvre-Ducrocq, 1852, in-8 de 24 pag. REGNAULT, maire de la Ruscade, éditeur du Recueil des proclamations, manifestes et discours du prince Louis-Napoléon Bonaparte, président de la république»... (Bordeaux, 1852, in-16). REGNAULT (Frédéric), médecin; né à Provins, en 1824, mort dans les premiers jours de mai 1856. On a de lui un Rapport sur la crêche de Provins et le Compte-rendu de la Société d'agriculture de cette ville. Il existe des Notices biographiques sur Fréd. Regnault par MM. E. Bourquelot et A. G., insérées dans les journaux de Provins, impr. à

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part. Provins, de l'impr. de Lebeau, 1856, in-8 de 12 pag. REGNAULT (le P. Louis-Eugène), évêque de Chartres. Statuta synodi diæœcesanæ ab ill. et rev. in Christo habitæ anno Domini M. D. CCC. LIV. Chartres, de l'impr. de Garnier, 1855, in-8 de 96 pag. REGNAULT (Charles), directeur de

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l'Étoile, société d'assurances contre la grêle. Observations présentées par..., en réponse au projet d'une caisse générale des assurances agricoles. (A MM. les membres du Conseil d'Etat.) Paris, de l'impr. de Guyot et Scribe, 1857, in-4 de 24 pag.

TREGNAULT DE BEAUCARON (JacquesEdme), juge au tribunal d'Ervy avant la Révolution, député de l'Aude à l'Assemblée législative,en 1791; magistrat de sûreté à Nogent-sur-Seine, sous le gouvernement impérial; plus tard, président du tribunal de première instance de la même ville; né à Chaource (Aube), en 1759, mort à Nogentsur-Seine, en 1827. Regnault de Beaucaron versifiait facilement et abondamment. Il est auteur de quelques poëmes estimés, dit M. Letillois de Mezières, dans sa

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Biographie générale des Champenois célèbres,morts et vivants», et l'on trouve un grand nombre dé poésies fugitives de lui, insérées dans les différents recueils poétiques des XVIIIe et XIXe siècles. Nous connaissons de lui, imprimé particulièrement les Fleurs, poëme. Paris, Delaunay, 1818, in-12 de 86 pag. On trouve une courte Notice sur Regnault de Beaucaron dans le volume intitulé: « Troyes et le département de l'Aube pendant les soixante dernières années », par M. Al. Guénin (Troyes, 1856, in-8).

REGNAULT DE PRÉMARAY (JulesMartial), l'un des auteurs dramatiques actuels les plus aimés du public et l'un des rédacteurs, depuis 1848, du journal « la Patrie >> pour la partie littéraire, après en avoir été pendant quelque temps le rédacteur en chef; né le 11 juin 1819 à Pont-d'Armes, commune d'Assérac (Loire-Inférieure). Fils d'un officier supérieur de cavalerie, il se trouva, dès l'âge de seize

ans, en opposition ouverte avec sa famille, qui le voyait, à regret, songer à la carrière des lettres. Il persista néanmoins, mais il eut la douleur de perdre son père et sa mère avant de leur avoir prouvé, par le succès, que sa vocation était réelle. Cependant M. Jules de Prémaray (plus connu sous ce nom en littérature) poursuivait courageusement sa route de travailleur, frappant en vain à la porte des directeurs, qui tous se refusaient à le lire. On sait qu'au théâtre il en est ainsi pour les jeunes gens sans nom, et qu'il faut, pour rompre la terrible barrière qui les sépare du public, ou un miracle, ou de grandes protections, ou la sordide bienveillance des collaborateurs. Ce fut un miracle qui sauva M. Jules de Prémaray. M.DelestrePoirson, alors directeur du Gymnase, venait d'entrer en guerre ouverte avec l'Association des auteurs dramatiques; il n'avait, pour soutenir son entreprise, que M. Narcisse Fournier, auteur de mérite; c'était assez pour le talent, trop peu pour la force. Dès la nouvelle de la mise en interdit du Gymnase, près de deux centsjeunes gens se présentèrent, et un seul fut accepté M. Jules de Prémaray, qui, selon la pittoresque expression de M. J. Janin (feuilleton du «Journal des Débats» du 23 octobre 1842), entra dès lors, « toute comédie déployée », dans ce charmant théâtre, où son premier pas fut un succès. Le plus curieux, c'est que M. Jules de Prémaray avait eu auparavant huit pièces refusées au Gymnase. Lors de l'interdiction de ce théâtre par les auteurs, M. Delestre-Poirson se souvint que ce jeune homme, à qui il refusait la première de ces huit pièces, lui avait dit : « Monsieur, « dussiez-vous vivre soixante ans, « tous les mois je vous apporterai << un vaudeville, jusqu'à ce que << j'aie réussi à en faire accep« ter». M. Delestre-Poirson vint lui demander sa neuvième pièce, qui fut jouée sous le titre du Docteur Robin. - Un incident comique est venu égayer les premiers pas de M. Jules de Prémaray dans la carrière dramatique; presque toute

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la presse nia positivement son existence pendant six mois. Le jeune auteur publia, à ce sujet, dans les journaux, une lettre, avec cette épigraphe; « Je suis vivant, bien vivant, très-vivant», qui mit les rieurs de son côté, et força les plus incrédules à croire désormais son acte de naissance valable (1). M. J. de Prémaray fut nommé chevalier de la Légion d'honneur, le 1er janvier 1853, et voici en quels termes M. Edouard Thierry parla de cette nomination, dans « l'Assemblée nationale », n° du 17 du même mois : « En décorant J. de Prémaray, le gouvernement a bien mis la récompense sur le mérite; mais pourquoi ne pas laisser à l'écrivain ses titres tels qu'ils sont? pourquoi les dimi«nuer sous le prétexte de les accroitre? Non, J. de Prémaray n'est pas l'auteur d'un grand « nombre d'ouvrages dramatiques (2). A son âge, et sans qu'il y eût lacune à la suite de son début, le temps lui avait manqué pour les produire. Non, M. J. de Prémaray n'est pas même expressément auteur dramati

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e. Il le sera du jour où il aura réellement, sérieusement traavaillé en vue de la scène. Mais à l'égard du théâtre, il ne recommence pas: il sépare son passé ⚫ de son avenir, et je dis qu'il ⚫ commence. Sa véritable renom«mée est dans les lettres; c'est

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là que, jeune, il l'a su porter à ⚫ un assez haut point. Publiciste « laborieux, critique judicieux et doux, conteur aimable, piquant, spirituel, railleur à la façon de Sterne, plus véritablement ému et plus sincère, esprit facile et gracieux, plume qui court, veine abondante et limpide, n'est-ce ⚫ donc pas assez pour justifier a une distinction glorieuse? Du double talent de Prémaray, le • meilleur jusqu'ici, le plus mûr dans sa précocité, c'est celui du a feuilletonniste. On rappelle à « regret le feuilletonniste; on ne

(1) Felix Delbasse, Annuaire dramatique pour

1845.

(2) Le décret imprimé au « Moniteur qualifait M.J. de Prémaray d'auteur d'un grand nombre d'ouvrages dramatiques.

« lui rend pas tout ce qui lui est « dû. C'est pour lui que la décora«tion est une récompense; elle << est un encouragement pour l'au«teur dramatique». «Nous connaissons de M. Jules de Prémaray les Ouvrages qui suivent: I. Les Cendres de Napoléon, ode à Mgr le prince de Joinville. Paris, Charpentier, au P. R., 1840, in-8 de 16 pages. II Avec M. Léon Paillet: Le Cabaret de la veuve, vaudev. en un acte. Représ. sur le théâtre StMarcel, le 20 avril 1841, et depuis à la Porte Saint-Antoine, Paris, rue du Petit-Carreau, n. 32, 1841, in-8 (30 cent.), pièce jouée avec succès. Ces deux pièces seules portent le premier nom de l'auteur; dès 1842, il ne prit plus que son second, vraisemblablement pour que l'on ne le confondit pas avec M. Potron, autre auteur dramatique, qui écrit sous le pseudonyme de Regnault. Cette détermination était d'autant plus nécessaire, que nous-même, dans nos « Supercheries littéraires », article Regnault, avons attribué, par erreur, à M. Potron, le Cabaret de la veuve, de M. de Prémaray. III. Le docteur Robin, com.-vaud, en un acte. Représ. sur le théâtre du GymnaseDramatique, le 21 oct. 1842. Paris, Tresse, 1842, gr. in-8 à deux col. (60 cent.). Faisant partie de la «France dramatique au XIXe siècle ». Cette pièce, admirablement jouée par Bouffé et Mme Volnys, eut cent représentations: elle fut reprise plus tard au Palais-Royal, par M. Réné Luguet. IV. La Marquise de Rantzau, ou la Nouvelle Mariée, com. en trois actes, mêlée de couplets. Représ. sur le même théâtre, le 13 déc. 1841. Paris, le même, 1843, gr. in-8 à 2 col. (30 c.) Faisant partie de la même collection. Cette pièce fit la réputation de Me Rose Chéri. V. Bertrand l'horloger, ou le Père Job, coméd.vaudeville en deux actes. Représentée sur le même théâtre, le 2 mars 1843. Paris, le même, 1843, grand in-8 à deux col. (60 c.). Faisant partie de la même collection. « Bertrand l'horloger» fut traduit en allemand et représenté dans toutes les grandes villes d'Allemagne, avec le même succès qu'à

Paris. VI. Les deux Favorites, ou l'Auneau du roi, com.-vaud. en deux actes. Repr. sur le même théâtre, le 18 avril 1843. Paris, le même, 1843, gr. in-8 à 2 col. (60 c.). Faisant partie de la même collect. C'est une des 8 pièces refusées précédemment par M. Delestre-Poirson. Mile Rose Chéri acheva de se mettre en vogue par cette pièce. VII. Julienne. Souvenir du 11 juillet 1843. Paris, Tresse, 1843, in-8 de 32 pag. (1 fr.). Pièce de vers, précédée de quelques mots sur Mlle Julienne, actrice du Gymnase. VIII. Le capitaine Lambert, coméd.vaud. en deux actes. Représ. sur le théâtre du Gymnase-Dramatique le 23 octobre 1843. Le second acte de cette pièce, composée pour Bouffé, fut vertement sifflé, et l'ouvrage joué tout au plus une douzaine de fois; il n'a point été imprimé. M. Jules de Prémaray ne se découragea pas; il prit une éclatante revanche en donnant la pièce suivante : IX. Manon, ou un Episode de la Fronde, com.-vaud. en deux actes. Représ. sur le même théâtre, le 24 novemb. 1843. Paris, Tresse, 1843, gr. in-8 à 2 col. (60 c.). Faisant partie de la

France dramatique au XIXe siècle ». Le succès de cette pièce fut complet. X. Part à deux, comédie en un acte, mêlée de chants. Repr. sur le théâtre de Beaumarchais, le 15 mai 1844. Paris, Gallet, 1844, in-8 (30 c.). XI. Sarah Walter, com.vaud. en deux actes. Représ. sur le théât. du Gymnase-Dramatique, le 12 juin 1844, pour les débuts dé Mlle Fargueil. La pièce sifflée ne fournit qu'une courte carrière et n'a pas été imprimée. Feu après la représentation de cette dernière pièce, M. Montigny, qui prit la direction du Gymnase, s'empressa de fermer ses portes au jeune de Prémaray, pour se rapatrier avec la Société des auteurs dramatiques. Il lui rendit une com. en 5 actes, et lui joua, à titre d'indemnité, un vaud. en un acte en collaboration avec M. Narcisse Fournier, intitulé: XII. Simplice. Paris, Tresse, 1844, gr. in-8 à 2 col. (60 c.). M. J. de Prémaray était mis hors la loi-duGymnase II se décida à entrer dans le giron des auteurs qui prononcèrent

son admission bien haut et conspirèrent tout bas sa ruine, en imposant aux directeurs de lui fermer les théâtres, sous peine de leur retirer leurs répertoires. C'est une erreur de croire que les grands auteurs protégent les petits. Le théâtre a toujours servi à la conspiration des vieux contre les jeunes (1). Cela explique pourquoi M.J. de Prémaray a été longtemps sans avoir de collaborateurs. Après son évincement du Gymnase, M. J. de Prémaray se fit jouer un peu partout, même sur les théâtres de troisième ordre. XIII. Le Tailleur de la Place Royale, drame en trois actes, précédé d'un prologue intitulé la Taverne du Pas de la Mule. Représ. sur le théâtre Beaumarchais, le 11 juillet 1844. Paris, rue d'Enghien, n. 26; Tresse, 1844, in-8 (50 c.). Part à deux et le Tailleur furent composés pour le théâtre Beaumarchais, qui venait de rouvrir, et y obtinrent un grand succès. XIV. Une Femme laide, com. en deux actes mêlée de chant. Représ. sur le théâtre du PalaisRoyal, le 16 décembre 1845. Paris, Tresse,1846, gr. in-8 à 2 cól. (60 c.). Faisant partie de la « France dramatique au XIXe siècle ». XV. La Comtesse de Moranges, dram. -vaud. en trois actes. Représ. sur le théâtre Beaumarchais, le 7 novembre 1845. Paris, Beck; Tresse, 1846, in-8 (60 c.). XVI. Avec M.Varner le Chevalier de Saint - Remy, drame en cinq actes. Représ. sur le théâtre de la Gaîté, le 22 juin 1847. Paris, Beck; Tresse, 1847, in-8 (60 c.). XVII, L'Ordonnance du médecin, com.-vaud. en un acte, représ. sur le théâtre du PalaisRoyal, le 29 octobre 1847. Paris, Mich. Levy frères, 1847, in-18, gr. raisin. (50 c.) XVIII. Le Drapeau de la République. Chanson (en 4 couplets) dédiée au peuple français. Paris, de l'impr. de Delanchy, 1848, in-8 de 2 pages. XIX. Les Proverbes menteurs. Charmants proverbes dramatiques. L'auteur en a successivement publié six de 1850 à 1853, dans le feuilleton du journal la Patrie », et qui sont: 10 L'Amour et l'Habitude; 2° Du côté

(1) Commerson, Binettes contemporaines ».

de la barbe est la toute-puissance, en cinq feuilletons (mars 1850); 3° Ce qui est différé n'est pas perdu, en six feuilletons (nos des 12, 14, 16, 19 et 20 août 1851); 4o Les morts ne reviennent pas, en deux actes, six feuilletons (nos des 1015 février 1852); 50 On ne prête qu'aux riches, en deux actes, six feuilletons (nos des 20 à 25 septembre 1852); 6° le Chemin des Ecoliers, en deux actes (nos du 29 avril au 6 mai 1853). Il est surprenant que M. Jules de Prémaray n'ait pas réuni ses proverbes en volumes; vraisemblablement il compte en donner davantage. XX. Le Jour de charité, vaud. en un acte. Repr. sur le théâtre des DélassementsComiques, le 7 juin 1850. Paris, Beck, Tresse, 1850, in-8 de 16 pages (50 c.). XXI. Avec M. Varin: La Peau de mon oncle, vaud. en un acte. Représ. sur le théâtre Montansier, le 20 août 1850. Paris, Giraud et Dagneau, 1850, in-18, format anglais (60 c.). XXII. Avec M. Siraudin: L'Amant de cœur, vaud. en un acte. Repr. sur le même théâtre, le 17 juillet 1851. Paris, les mêmes, 1851, in-18 angl. (60 c.). XXIII. Promenades sentimentales dans Londres et le Palais de cristal. Paris, les mêmes, 1851, in-18 angl. (3 fr.). C'est la réunion des « Lettres sur Londres ». , que l'auteur avait fournie à « la Patrie » dans le premier semestre de la même année. XXIV. Les Droits de l'Homme, com. en deux actes et en prose. Représ. sur le théâtre de l'Odéon, le 6 novembre 1851 (et reprise à la Comédie-Française). Paris, Michel Lévy frères, 1851, 1852, 1854, in-18 angl. (60 c.). Charmante comédie de mœurs, qui n'obtint pas moins de succès à la lecture qu'au théâtre, ainsi que le prouve la seconde édition dès l'année suivante. XXV. Avec M. Eug. Nyon: Monsieur le Vicomte, com.-vaud, en deux actes. Représ. sur le théâtre des Variétés, le 10 janv. 1853. Paris, les mêmes, 1853, in-18 angl. (60 c.). XXVI. Le Chemin des écoliers, roman en trois actes. Paris, Eug. Didier, 1853, in-52 (fr.). L'un des proverbes dramatiques de l'auteur porte exactement le même titre. XXVII. Avec M. Léon Laya: Les

Cœurs d'or, comédie en trois actes, mêlée de chants. Représ. sur le théâtre du Gymnase, le 15 juillet 1854. Paris, Mich. Lévy frères, 1854, in-18 angl. (60 c.). Pièce qui obtint cent représentations; c'est son plus bel éloge. XXVIII. Donnez aux pauvres, coméd. en deux actes en prose. Représ. sur le théâtre imp. de l'Odéon, le 1er févr. 1855. Paris, les mêmes, 1855, in-18 angl. (60 c.). XXIX. La Boulangère a des écus, drame en cinq actes. Représ. sur le théâtre de la Porte SaintMartin, le 24 novemb. 1855. Paris, les mêmes, 1856, in-18 angl. (1 fr. 50 c.). M. Jules de Prémaray est auteur de quelques autres pièces de théâtre qui ont été représentées, mais non inpr. Par exemple, au théât. de la P.-St-Antoine: Marquises et Mousquetaires, l'Homme dangereux. Ainsi que nous l'avons dit, M. J. de Prémaray écrit dans le journal la Patrie», où, indépendamment du feuilleton du lundi, qu'il rédige avec un talent réel, il a fourni des études spéciales, comme les « Proverbes menteurs» et les « Lettres de Londres», cités précédemment. Terminons en disant que le nom de M. Jules de Prémaray se lit sur les frontispicesde la « Nouv. Galerie des artistes dramatiques vivants » parmi ceux des corédacteurs de cet ouvr. - Biographies de J. Régnault de Prémaray.-M. J. de Prémaray a une Notice dans la Galerie de la Presse», 3e série (1848). M. Nadar [Tournachon] ayant compris le portrait de cet écrivain sur son Panthéon, M. Commerson a été conduit à faire dans le t. 1er de ses « Binettes contemporaines » (1855) une charge-biographie du même auteur. REGNAULT DE SAINT-JEAN-D'ANGELY (la comtesse), née de Bonneuil. Quelques Opuscules. Paris, de l'imp. de Mme Delacombe, 1854, in-8. Trois pièces intitulées: «La France est constante» (nov. 1853),—«Napoléon » (déc. 1851),—« L'Empire>> (16 oct. 1852). REGNAULT-WARIN (J.-B.-Jos.-Inn,Phil.). Voy. la «France littéraire», t. VII, pag. 501. Ajoutez à cet article mort en 1844, et à la liste de ses ouvrages les opuscules suivants: I. Romances royales, en mu

а

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