Morden machte immer eine Hinrichtung zehn neue nothwendig, man hätte ganz Frankreich zur Einöde machen müssen, bis eines Robespierre Tugend und eines St. Füst aus Rousseau entlehnten Naturstand möglich gewesen wäre, Danton hatte daher mit vielem Rechte voraussagen können, daß in kurzer Zeit seine Feinde und der Couvent selbst würden in Stücke gerissen werden. Um gegen die furchtbare Parthey der Frevler, die er durch die Hinrichtung von Chaumette, Hébert und Danton, und der feurigen Republikaner, die er durch den Mord von Phe lippeaux und Camille Desmoulins unversöhnlich beleidigt hatte, unter den rechtlichen Leuten Stüße zu finden, annexes No. XLVI. p. 214.): Nous avons ranimé l'action d'une justice républicaine, c'est à dire prompte et terrible comme la volonté du peuple: elle doit frapper les traitres comme la foudre et ne laisser que des cendres. En détruisant une cité infame et rebelle, on consolide toutes les autres; en faisant périr les scélérats, on assure toutes les générations des hommes libres, voila nos principes! Nous démolissons à coups de canon et avec explosion de la mine, autant qu'il est possible; mais tu sens bien qu'au milieu d'une population de cent cinquante mille individus ces moyens trouvent beaucoup d'obstacles. La hache populaire faisoit tomber vingt têtes de conspirateurs chaque jour et ils n'en étoient pas effrayés - - Soixante quatre de ces conspirateurs ont été fusillés hier au méme endroit où ils faisoient feu sur les patriotes; deux cent trente vont tomber aujourd'hui etc. No. XLIX. Achard à Gravier, encore des têtes et chaque jour des têtes tombent. Quelle delice tu aurois gouté, si tu eusses vu avant hier cette justice nationale de 209 scélérats. Quelle majesté, quel ton imposant! tout édifioit. Combien de grands coquins ont ce jour mordu la poussière dans l'arène des Brotteaux! quel ciment pour la république! En voilà cependant déja plus de cinq cens encore deux fois autant y passeront sans doute et puis ça-ira. suchte nun Robespierre den Glauben an Gott in sein Spiel zu ziehen, that es aber auf eine so lächerliche und abgeschmackte Weise, daß er sich gerade dadurch selbst stürzte. Schon das Decret über das Daseyn Gottes war lächerlich, noch lächerlicher die Reihe von Festen, die man anordnen wollte; die Art, wie Robespierre beym Feste des höchsten Wesens erschien, stolz und kläglich x), und seine Rede erbärmlich. Mit allen bedeutenden Männern seiner eignen Parthey stand er damals nicht mehr gut. Der geschickteste Redner im Convent, Tallien, war, bis er nach Bordeaux als Mordcommissär geschickt worden, Freund der Tyrannen, er trennte sich aber gerade damals von ihnen, weil er mit der Tochter des Directors der Bank von Madrid, die mit dem Herrn von Fontenay war vermählt gewesen, in Verbindung kam y). Fréron, der sich der Freundschaft Marats stets rühmte, auch oft für diesen am Volksfreund gearbeitet hatte, dessen Volksredner (l'orateur du peuple) nun aber bald einen ganz andern Ton annehmen sollte, war x) Hist. de la conj. de M. Robespierre pag. 194: Robespierre vètu d'un habit bleu, parut dans le champ de Mars, sur le sommet d'une espèce de petit rocher, bâti avec du plâtre. C'est de là qu'agitant d'une main un bouquet, de l'autre son chapeau il invoqua l'être suprême. y) Die Fontenay - Cabarrus, eine jener Weiber, die Schönheit und Geist, aber keine zarte Weiblichkeit besaßen, darum sagt hernach der Facobiner Dühem, wie ihr Reich zerstört wird und der Clubb geschlossen am 21ten Brümaire (An. IV.): Tout cela a été combiné dans les boudoirs de Madame Cabarrus dont le père a etabli la banque de St. Charles et voudroit regir nos finances, c'est ce qui fait attaquer les meilleurs patriotes par Tallien. des Mordens auch satt, Legendre, Dantons Freund, suchte nur eine Gelegenheit, loszubrechen, und diesem war aus vielen Ursachen nicht beyzukommen. Fouché, Carnot, Bourdon, Merlin waren erbittert über die Rolle, die ein Mensch spielte, der weit unter ihnen stand z); z) Carnot faßt die Sache freylich anders, nimmt man aber von seinen eignen Worten nur die apologetische Wendung weg, so bleibt das im Text Angegebene zurück. Exposé de la conduite politique de M. le Lieutenant général Carnot depuis le 1. Juillet 1814. Paris 1815. pag. 32-33. in der Note Tout cela n'annonce pas qu'on me regardât en France comme complice de Robespierre. Toute la Convention savait au contraire, que c'était mon plus mortel ennemi et que la cause de cette haine profonde était précisément que je ne voulais point partager ses fureurs. On savait qu'il avait promis de faire tomber ma tête aussitôt qu'on croirait n'avoir plus besoin de moi, mais il se pressa trop de demander l'acte d'accusation de ses ennemis et ce fut la sienne qui tomba avec celles de Saint-Just et de Couthon que j'avais hautement désignés depuis longtems sous le nom de triumvirat. Je dirai même à cette occasion que Saint-Just proposa un jour en ma présence au comité mon expulsion, comme on avait proposé quelque tems auparavant celle de Hérault de Séchelles, ce qui l'avait aussitôt mené à l'échaffaud. Je répondis froidement à Saint-Just qu'il sortirait du comité avant moi ainsi que tout le triumvirat et le comité frappé de stupeur, garda le silence. D'autres personnes, auxquels il faut absolument des coupables, ont dit que cette inimitié personnelle de Robespierre contre moi n'était que l'effet d'une rivalité de domination qu'il craignait de ma part. Mais si Robespierre avait quelque rival à craindre sous ce rapport ce n'était certainement pas moi. Chacun sait que dans ces tems orageux il fallait pour se mettre à la tête d'une faction ne pas quitter les tribunes des sociétés populaires; or, je n'ai jamais mis le pied, au moins à Paris, dans aucune société populaire; je n'ai jamais occupé les tribunes des assemblées nationales que quand je n'ai pu faire autrement; et les discours Barère, Collot d'Herbois, Billaud Varennes harrten ängstlich und lauerten, woher der Wind käme, damit sie ihre Seegel anders spannen könnten. Alles dies entging den Triumviren nicht, weil sie jeden bedeutenden Mann mit Spionen umgeben hatten, sie beschlossen also noch eine Anzahl ihrer Collegen dem Tode zu weihen und nur den feigen und schwachen Haufen zu behalten. Wohl erkannten sie bald, daß sie es dies Mal mit Leuten zu thun hatten, die ihnen an Dreistigkeit und Frevel gleich, an List und Beredsamkeit überlegen waren. Fouché gab Tallien einen Wink a), sie verständigten sich mit Carnot und Barère, und bald erhoben sich Jacobiner gegen Jacobiner. Dies erfodert eine nähere Erklärung. Der Wohlfahrtsausschus war seit längerer Zeit in drey sevères que j'y ai toujours tenus étaient loin de tendre à démoraliser le peuple. a) Dies macht späterhin Tallien, als man Fouché als Genossen des Triumvirats verhaften will, zu seinen Gunsten geltend. Moniteur An. III. du 22. Thermidor (9. August 1795) No. 327. pag. 1317. Fouché étoit proscrit par Robespierre parcequ'il avoit contrarié à Lyon les mesures prises par Collot, Fouché démasqua Robespierre avec courage et déclara, que dût sa tête tomber, il feroit connoître ce dictateur au peuple. Chaque jour Fouché venoit nous rendre compte de ce qui se passoit au comité de salut public et la veille du 9. Thermidor il nous dit: la division dans le comité est complette, demain il faut frapper. Le lendemain le tyran n'étoit plus. Fouché dans le même tems écrivit à sa soeur: Dans peu le tyran sera puni, Robespierre n'a plus que quelques jours a regner. Cette lettre a été interceptée par Bô, qui l'envoya a Robespierre. So empfehlungswürdig sonst Toulongeon ist, so darf man hier dem tom. IV. p. 313. nur mit großer Vorsicht folgen, warum? das zeigt die Fahrszahl der Erschei nung des Bandes. 1 Theile getheilt, an der Spike des Einen stand Robespierre, seine Leidenschaft war Herrschsucht; an der Spike des Andern Carnot, ihn leitete Widerwillen gegen das alte Unwesen und ehrgeiziger Stolz, den Dritten bildeten Barère, Collot d'Herbois und Billaud Varenne, furchtsame oder habsüchtige Seelen und niedrigen Leidenschaften ergeben b). Was erst Theilung war ward bald Partheyung, und Fouché und Tallien vereinigten Legendre und andre Freunde Dantons und Bewundrer Marats mit sich. Sobald sie sicher waren, daß bey einem Angriffe das Decemvirat nicht gegen sie zusam -- Ba b) Der Dantonist Frèron, also einer der Collegen des schleichenden Barère, macht die hier folgende Schilderung von der Nolle, die er in der Schreckenszeit spielte. Freylich ist die Stelle aus einem Journal des Partheygeistes, die Schilderung hat aber so viel innere Wahrheit, daß Keiner den Mann in diesem Bilde verkennen wird. Orateur du peuple du 15 Brumaire No. XXVI. pag. 205. rère avoit cédé cette virtuose à Dupin et Dupin à Barère la Demahy, courtisanne logée dans un superbe hôtel rue de Richelieu. Ces deux belles, avec une autre plus belle et plus jeune étoient les trois graces qui embellissoient de leurs attraits les charmilles délicieuses à l'ombre desquels les premiers legislateurs du monde dressoient leurs listes de proscription pag. 206. Tous les matins l'antichambre de Barère étoit rempli de solliciteurs, avec des pétitions à la main attendant l'heure de son heureux réveil. Il se présentoit enveloppé de la robe d'un Sybarite, recueilloit avec les manières et les graces d'un ministre petit-maitre les placets qu'on lui présentoit, commençant par les femmes et distribuant des galanteries aux plus jolies. Il prodiguoit les promesses et les protestations; puis rentrant gaiement dans son cabinet à l'exemple du honteux cardinal Dubois, il jettoit au feu la poignée de papiers, qu'il venoit de recueillir. Voila ma correspondance faite. J'ai vu cette horreur ..... étoit il seul? 1 1 |