Encyclopédie méthodique, ou, par ordre de matièresPanckoucke, 1788 |
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Uobičajeni izrazi i fraze
accufé affez ainfi Anglois auffi avoient avoit c'eft c'eſt c'étoit Caftille cardinal caufe célèbre Charlemagne Charles chofes comte confeil conferver confidérable couronne devoit Dieu diftingué efprit enfuite époufa étoient étoit f. m. Hift facré fage faifoit faint fans favant fecond fecours fecret fecte feigneurs felon femme fentiment feroit fervir fes états fes fujets feul fiècle fiège foin foit foldats fon fils fon frère fon père font fous fouvent fouverain François François Ier fucceffeur fuccès fuivant fur le trône fur-tout guerre Henri Henri III Henri IV Hiftoire homme Jean Jofeph jufqu'à jufte Juifs l'an l'églife l'empereur l'empire l'hiftoire laiffa Leovigilde Litt loix lorfqu'il lorfque Lotaire Louis Louis XIV Lycurgue Mahomet maifon miniftre mort mourut n'avoit n'eft paffer pape Perfe perfonne peuple philofophie plufieurs Pologne Portugal pouvoit préfent prefque prince puiffance refpect refte règne reine religion rois Rome royaume Sparte Suéde trève vouloit
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Stranica 247 - Toutefois , je l'avoue , en ce comble de gloire , Du Dieu que j'ai quitté l'importune mémoire Jette encore en mon âme un reste de terreur; Et c'est ce qui redouble et nourrit ma fureur. Heureux si, sur son temple achevant ma vengeance, Je puis convaincre enfin sa haine d'impuissance, Et parmi le débris , le ravage et les morts , A force d'attentats perdre tous mes remords!
Stranica 194 - Dieu ne veut plus qu'on vienne à ses solennités : Temple, renverse-toi ; cèdres, jetez des flammes. Jérusalem, objet de ma douleur, Quelle main en un jour t'a ravi tous tes charmes ? Qui changera mes yeux en deux sources de larmes, Pour pleurer ton malheur...
Stranica 360 - Lut h avec ce qui lui avoit été enlevé. Celui-ci continua de demeurer à Sodome , jufqu'à ce que les crimes de cette ville infime étant montés à leur comble , Dieu réfo'.ut de la détruire avec les quatre villes voifines.
Stranica 301 - ... toucha le cœur d'une villageoise de quarante ans, qui, sans avoir eu commerce avec son mari, se trouva enceinte par la vertu vivifiante du ciel et de la terre. Sa grossesse dura quatrevingts ans, au bout desquels elle mit au monde un fils qui avait les cheveux et les sourcils blancs comme la neige : quand il fut en âge, il s'appliqua à l'étude des sciences, de l'histoire et des usages de son pays. Il composa un livre intitulé Tau-Tsé, qui contient cinquante mille sentences de morale. Ce...
Stranica 212 - Lombardie , y donnèrent aux négocians des lettres fur ceux à qui ils «voient confié) leurs effets en partant , & ces lettres furent acquittées. L'invention admirable des lettres de change fortit du fein du défefpoir ; & pour lors feulement le commerce put éluder la violence, & fe maintenir par tout le monde.
Stranica 115 - L'imbécille Ibrahim , fans craindre fa naiflance , Traîne , exempt de péril , une éternelle enfance. Indigne également de vivre & de mourir , On l'abandonne aux mains qui daignent le nourrir.
Stranica 16 - Ils sont prévenans envers les étrangers de quelque nation qu'ils soient ; ils ne parlent point devant eux de leur religion , mais ils ne condamnent personne ; leur maxime étant de bien vivre avec tout le monde et de n'offenser qui que ce soit.
Stranica 204 - C'eft dans cette occafion furtout qu'il employa le capucin Jofeph. du Tremblay , homme en l'on genre auffi fingulier que Richelieu même , entoufiafte & artificieux , tantôt fanatique , tantôt fourbe , voulant à la fois établir une croifade contre le Turc , fonder les religieufes du Calvaire , faire des vers, négocier dans toutes les cours, & s'élever à la pourpre & au miniitère.
Stranica 223 - Lorsqu'ils font quelque voyage , ils . ne portent autre chose que des armes pour se défendre des voleurs. Ils ont dans chaque ville quelqu'un d'eux pour recevoir et loger ceux de leur secte qui y viennent , et leur donner des habits et les autres choses dont ils peuvent avoir besoin.
Stranica 217 - Zadoc , l'un des fes difciples , qui ne pût ni abandonner tout-à-fait fon maître , ni goûter fa théologie myftique , donna un autre fens à fa maxime , & conclut de-là qu'il n'y avoit ni peines , ni récompenfes après la mort.