La divine comédie, Opseg 3Paulin et le Chevalier, 1855 - Broj stranica: 398 |
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ailes âmes amour anges arrive avant Béatrix belle Boniface VIII bord cercle CHANT XVII char Charles d'Anjou Charles de Valois choses Christ ciel cœur contemplation corps Corso Donati côté damnés Dante Dante Alighieri descend désirs Dieu dis-je dis-moi Divine Comédie douce douleur doux esprit éternel étoiles EZECH femme fils flamme fleuve Florence frappé frère front Gallure Gibelins Guelfes guide Guido Guido Cavalcanti haut homme j'ai j'étais jamais joie jusqu'à l'âme l'amour l'autre l'Enfer l'homme l'un laisse larmes leva Lucques lumière main maître marche ment monde montagne monter montre mort moyen âge noble ombres parler paroles péché pécheurs pensée père peux Phlégéthon Phlégias pieds Pierre pleure poème poète porte premier prières Purgatoire rayons regard répondit reste rocher royaume s'écria saint sais semble sera seul soleil Sordello sort sphère sublime terre tête tombe Toscane tourna tout-à-coup trouve veux Virgile visage voile vois voix volonté yeux
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Stranica 371 - Quand j'étais sur la terre, Vers Rimini je fis long-temps la guerre, Moins, je l'avoue, en héros qu'en fripon. L'art de fourber me fit un grand renom. Mais quand mon chef eut porté poil...
Stranica 1 - Au milieu du chemin de notre vie , je me trouvai dans une forêt obscure, car j'avais perdu la bonne voie.
Stranica 13 - ... leur aspect n'était ni triste, ni joyeux. Le bon maître me dit : — Regarde celui qui marche, une épée à la main, en avant des trois autres, comme un roi. C'est Homère, poète souverain : l'autre qui le suit est Horace le satirique, Ovide est le troiç'crne, et le dernier est Lucain. Comme chacun d'eux partage avec moi le nom qu'a fait retentir la voix unanime, ils me font honneur, et ils font bien.
Stranica 219 - C'est pour me plaire à mon miroir que je me pare, ma sœur, Rachel ne se détourne jamais du sien, mais elle demeure assise devant lui tout le jour. Elle est avide de voir ses beaux yeux, comme moi de me parer avec mes mains. Son bonheur est de contempler et le mien d'agir.
Stranica 212 - ... et autant qu'elle le faisait dans ses membres vivants *. Et comme l'atmosphère, lorsqu'elle est bien chargée de pluie et que des rayons viennent s'y refléter, se montre ornée de couleurs diverses, ainsi l'air qui l'entoure prend cette forme que lui imprime...
Stranica 363 - ... mes prières et je te conjure qu'elles ne soient pas vaines, afin que tu dissipes par les tiennes tous...
Stranica lvi - Le même épi donne à la fois la fleur de farine et le son. Le son est une misérable pâture qu'on jette aux pourceaux, et de la fleur de farine se pétrit un pain d'élite qui est servi sur la table des rois. Sur une même tige naissent la rose et l'épine. La rose est une noble créature, bienfaisante pour qui l'approche; elle répand avec une douce profusion ses parfums autour d'elle.
Stranica 334 - S'il arrive jamais que le poëme sacré auquel a mis la main le ciel et la terre, et qui m'a fait maigrir pendant bien des années, surmonte la cruauté qui me retient hors du beau bercail où je dormais, agneau ennemi des loups qui lui font la guerre, avec une autre voix, avec une autre chevelure, je reviendrai, poete; et sur les fonts de mon baptême je prendrai la couronne.
Stranica cv - ... de lui, on le croirait entièrement séparé de la nature, voilà que soudain, l'embrassant d'un regard, il en reproduit, avec sa parole flexible et brève, riche de reliefs et de couleurs, les plus ravissants aspects, les plus délicates nuances, les accidents les plus fugitifs...
Stranica 370 - Et si d'aucuns demande porquoy chïs' livres est écrit en romans, selon le patois de France, puisque nous somes Italiens, je diroé que c'est pour deux raisons : l'une est porceque nous somes en France , l'autre si est porceque françois est plus délitaubles langages et plus communs que moult d'autres.