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porte le nom de PILLON, licencié en droit

canon.

L'abbé de Cordemoy publia en 1681 le Récit de la Conférence du Diable avec Luther, fait par Luther même, avec des Remarques sur cette Conference. L'abbé Lenglet du Fresnoy l'a réimprimé à la fin du premier volume de son Recueil de Dissertations sur les Apparitions.

Je n'ai pu voir sans étonnement, dans la dernière page des différentes éditions du tome quatorzième des Essais de Morale, contenant la vie de Nicole, que l'abbé Goujet confondait le Récit de la Conférence du Diable avec Luther, publié par l'abbé de Cordemoy, avec le volume anonyme de 1673. Ce dernier ouvrage est certainement de Paul Bruzeau, prêtre de la communauté de SaintGervais. J'en ai la preuve dans une note ancienne déposée sur mon exemplaire; elle contient ces mots : Ex dono auctoris domini Bruzeau. Je lis aussi dans le catalogue manuscrit de l'abbé Goujet que la Conférence du Diable passait pour être de ce même M. Bruzeau; mais la suite de sa remarque prouve qu'il la confondait avec le Récit de l'abbé de Cordemoy: il présente cet abbé comme éditeur de la Conférence de 1673.

Dans la seconde partie de la Conférence, qui est contre Claude, on venge l'auteur des Préjugés légitimes (Nicole), contre une proposition que ce ministre imputait faussement à l'auteur des Préjugés. Cette seconde partie ayant été réimprimée à la suite des Préjugés légitimes de Nicole, on a cru que cet habile controversiste était aussi l'auteur de la Conférence du Diable avec Luther. C'est ce qui aura déterminé l'abbé Goujet à prouver que ce bruit était destitué de fondement.

La première édition de la Conférence de 1673 est encore recherchée des curieux, surtout lorsque les exemplaires contiennent en regard du titre une planche gravée qui représente Luther dans son lit, avec ces mots au haut de la planche : Luther, disciple du Diable. Le diable, au pied du lit, a le doigt sur un livre ouvert devant Luther, et il sort de sa bouche une bandelette qui va à l'oreille droite de Luther; on y lit ces mots: La messe est une idolatrie. Aux pieds de Luther est écrit: Le disciple n'est pas plus savant que son maître. Un autre diable au chevet s'accroche à l'épaule gauche de Luther, et lui souffle dans l'oreille. On trouve au bas de la planche cinq lignes qui en expliquent le sujet.

J'ai vu un exemplaire enrichi de la figure; il est intitulé Réfutation de la Réponse faite par M. Eréiter, ministre luthérien, à

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un ecclésiastique qui avait soutenu que Luther avait appris du Diable à combattre la messe, ou la Conférence du Diable avec Luther, etc.; Paris, 1673. L'ouvrage a donc paru sous deux titres différens la même année. M. le comte de Boutourlin possédait un exemplaire du dernier genre. Voyez le Catalogue de sa belle Bibliothèque, Paris, 1805, in-8, no 260.

Paul Bruzeau et le sieur Pillon ne figurent dans aucun de nos dictionnaires historiques; j'ai déjà réparé cet oubli, quant à Bruzeau, dans mon Examen critique de ces dictionnaires.

Ambroise Lallouette m'apprend, dans son Histoire des traductions françaises de l'Écriture sainte, page 100, que l'abbé Pillon, habile sur les controverses, demeurait dans le Marais, proche les Capucins, c'est-à-dire dans le même quartier que Bruzeau. Ces deux controversistes ont pu travailler ensemble à la Conférence de Luther avec le Diable.

On a encore de l'abbé Pillon: Exposition de la Doctrine catholique sur seize points, etc.; par le sieur PILLON, ecclésiastique. Paris, Pralard, 1690, in-12. Voyez l'extrait de cet ouvrage dans le Journal des Savans, année 1699.

2653. Conférence d'un Anglais et d'un Allemand sur les lettres de Filtz· Moritz (l'abbé Margon) (par l'abbé BRIGAUD, Lyonnais). Cambrai, 1722, in-12. Voyez l'article Margon.

2654. Conférences de CASSIEN, traduites en français par le sieur DE SALIGNY (Antoine LE MAISTRe de SACY). Paris, Savreux, 1665, 2 vol. in-8.

2655. Conférences de la mère Angélique de Saint-Jean (ARNAULD), abbesse de Port-Royal, sur les constitutions du monastère de Port-Royal du Saint-Sacrement (avec le texte des constitutions) (publiées par dom CLEMENCET). Utrecht (Paris), 1760, 3 vol. in-12.

2656. Conférences de Metz, entre un Juif, un Protestant et deux Docteurs de Sorbonne (par le P. HOUBIGANT, de l'Oratoire). Leyde, 1750, in-8, avec un avis de l'éditeur.

2657. Conférences des nouvelles Ordonnances de Louis XIV avec celles des rois, ses prédécesseurs, par Philippe BORNIER; nouvelle édition, augmentée par M*** (Ch. A. BourDOT DE RICHEBOURG). Paris, 1719, 1729, 2 vol. in-4.

2658. Conférences du Diocèse de Luçon (par Louis, DUPUY et DUBOS). Paris, Dezallier, 1684 et années suivantes, 16 vol. in-12.

2659. Conférences ecclésiastiques, par DUGUET (rédigées par le P. LENET, chanoine régulier). Cologne, 1742, 2 vol. in-4.

2660. Conférences ecclésiastiques de Paris sur le mariage, imprimées par ordre du cardinal de Noailles (faites à Saint-Nicolas du Chardonnet par l'abbé BOUCHER, et rédigées par le P. LE SEMELIER, de la Doctrine chrétienne). Paris, 1712, 4 vol. in-12. Ibid., 1715, 1728, 1735, 5 vol. in-12.

2661. Conférences ecclésiastiques de

Paris sur l'usure et la restitution (par le P. LE SEMELIER). Paris, Estienne, 1718, 4 vol. in-12. 2662. Conférences ecclésiastiques du Diocèse de la Rochelle, imprimées par l'ordre de M. l'évêque de la Rochelle (par DE LA BROSSE, doyen du chapitre, ou DE LA FREZILLIÈRE, évêque de la Rochelle). Rouen, Vaultier, 1704, in-12. 2663. Conférences ecclésiastiques du Diocèse de Lodève (par Jean-Georges DE SOUILLAC). Paris, 1749, 5 vol. in-12.

2664. Conférences ecclésiastiques sur plusieurs points de la morale chrétienne, ouvrage posthume de l'auteur des Conférences de Paris sur le mariage, etc. (le P. LE SEMELIER,

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doctrinaire; publié par LE Roy, exoratorien). Paris, frères Estienne, 1755, 6 vol. in-12.

2665. Confession catholique du sieur

DE SANCY (par T. A. D'AUBIGNÉ). Amsterdam, 1593, in-12, et in-8, avec les notes de LE DUCHAT et de GODEFROY, dans le tome 4 du Journal de Henri III, Paris, 1744. 2666. Confession (la) d'Augsbourg (composée en grande partie par LuTHER, et augmentée par MELANCHTON), présentée autrefois à l'empereur Charles-Quint, l'an 1530, par les princes et les états protestans; nouvellement traduite de l'allemand et du latin en français (par JeanBalthazar RITTER). (Vers 1680), petit in-12.

Ritter, ministre luthérien de l'Église de Francfort, inséra cette traduction dans des Heures chrétiennes qu'il publia vers 1680, et dont il donna cinq éditions. Cette traduction a été souvent réimprimée, même depuis la mort du traducteur.

2667. Confession de foi des Églises de la Suisse réformée, traduite du latin en françois (par Élie BERTRAND, pasteur à Berne). Berne, 1760, in-4.

2668. Confession de l'année 1785 (par J. LAVALLÉE). Paris, 1786, in-18. V. T.

2669. Confession des Hommes célèbres de France, écrite par

eux-mêmes

et mise en français moderne (par LE SUIRE). Paris, 1798, in-12. V. T. 2670. Confession (la) du comte Grifolin (de Rivarol), facétie en dialogue, par M. DE MARIBAROU (DE CUBIÈRéimRES). (1788), petit in-12. primée dans le tome 5 des OEuvres de Rivarol. Paris, Collin, 1808, 6 vol. in-8.

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2671. Confession générale de M. Nec

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ker et de l'Assemblée nationale, avec des prières analogues aux circonstances, corrigées et augmentées par M. BAILLI (sic) et M. le marquis DE LA FAYETTE. (12 février) 1790, in-8 de 86 pages, avec un frontispice gravé dont l'explication est au verso du titre.

Le chevalier DE LAIZER, membre du

district des Minimes, auteur de ce pamphlet, fut arrêté pour cela le 27 février, par un commissaire au Châtelet. Par délibération du même jour, le district des Minimes réclama contre cette arrestation arbitraire, et demanda qu'il fût mis dans les vingt-quatre heures entre les mains de la justice.

(Article communiqué par M. Pillet, directeur de la Biographie universelle.)

2672. Confession générale du chevalier de Wilfort (par HUBERT d'Orléans). Leipsick, 1758, in-12.

Voyez le Catalogue de Huet-Froberville, no 860.

***

2673. Confessions (les) de la baronne de rédigées par M. le C. D*** (DE NOEUFVILLE-MONTADOR). Amsterdam (Paris), 1743, 2 parties in-12.

2674. Confessions d'Emmanuel FIGA RO, écrites par lui-même et publiées par une religieuse (par Jean LanTEIRES). Paris (Lausanne), 1787, in-8. V. T.

2675. Confessions de madame *** (madame DE FOURQUEUX), principes de morale pour se conduire dans le monde (avec une préface de SUARD). Paris, Maradan, 1817,

2 vol. in-12.

2676. Confessions (les) de mademoi

selle de Mainville à son amie (par GALTIER DE SAINT-SYMPHORIEN, avocat). Paris, Dufour. 1768, 3 vol. in-12.

2677. Confessions (les) de S. AUGUSTIN abrégées, où l'on n'a mis que ce qui est le plus touchant et le plus

à la portée de tout le monde; traduction nouvelle. Paris, Charles Robustel, 1703, petit in-12. Souvent réimprimé.

Suivant l'extrait du privilége du Roi, cette traduction est du P***; le catalogue manuscrit de la Bibliothèque du Roi la donne à l'abbé TREUVE; le P. Baizé la croyait de M. HERSAN, ami de Rollin.

2678. Confessions (les) de S. AUGUSTIN, traduites en français (par dom MARTIN), avec le texte. Paris, 1741, 2 vol. in-8.

.2679. Confessions du chevalier de ***, pour servir à l'histoire secrète de deux époux malheureux de la ville de Marseille (par M. NOUVEL). 1786,

in-12.

***

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2680. Confessions (les) du comte de écrites lui-même à un ami (par DUCLOS). Amsterdam, 1742, in-12. Souvent réimprimé.

Je crois faire plaisir aux curieux en plaçant ici/des anecdotes sur Duclos, envoyées, peu après sa mort en 1772, au rédacteur d'une Gazette littéraire de l'Europe, qui s'imprimait à Amsterdam, chez Van Harrevelt, depuis l'année 1764, dans le format in-18, et dont le tome 120 parut au mois de mars 1784.

Ces anecdotes ont été reproduites par Fréron, dans son Année littéraire, 1773, t. I, et dans l'Esprit des Journaux, avril 1773.

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M. Duclos, qui vient de mourir, était << Breton. Venu à Paris pour s'avancer, com<< me la plupart des jeunes gens de province,

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il travaillait chez un avocat au conseil. Il «eut occasion de se faire connaître d'une société littéraire, mais dont les membres, << hommes de cour, plus amis du plaisir que « de la gloire, et d'ailleurs obligés à de « certaines bienséances extérieures, cher«< chaient un prête-nom pour faire passer leurs ouvrages: c'étaient MM. de M..............s (de Maurepas), de P... de V...e (de Pont de Vesle), de Caylus, de Surgères, de V......n (de Voisenon), etc. Comme on voulait dụ bien à M. Duclos, on mit sur son compte «< ce qu'on crut devoir lui faire honneur, « et cela réussit. Voici ce que nous a com‹muniqué à cet égard un homme d'esprit, qui tient les anecdotes des auteurs euxmêmes.

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Les Confessions du comte de ***, attri« buées à M. Duclos, ne sont point de lui. « L'Histoire espagnole est, mot pour mot, tirée d'un roman qu'avait fait M. de Roi« seu, capitaine de vaisseau, dont le manuscrit fut confié à M. Duclos par M. le comte de Caylus et M. le marquis de Surgères. L'Histoire de madame de Tonens est de la société de madame de Surgères et de M le comte de Caylus; M. Duclos en a supprimé la moitié. L'Homme subjugué, de la seconde partie, n'est revendiqué << par personne; ce morceau peut appartenir « à M. Duclos. L'Histoire de l'Anglaise et de l'Italienne est, mot à mot, de M. le comte << de Caylus. Toute l'Histoire de madame de «Selve est de madame de Surgères et de M. le comte de Caylus.

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M. Duclos n'est pas plus l'auteur de la Baronne de Luz, autre roman qu'on croit «de lui. Il est tout entier de madame de Surgères et de M. le comte de Caylus.

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Acajou, qui passe aussi pour être de « M. Duclos, est l'ouvrage de M. le comte de Tessin, de M. de Caylus et de M. l'abbé « de Voisenon: tous trois séparément en << avaient fait un sur les estampes, et M. l'abbé de Voisenon deux. C'est particulièrement de ces deux derniers que M. Duclos a extrait celui qu'on s'imagine lui appartenir. Il n'y a véritablement de lui dans cet ouvrage que l'épître dédicatoire au public. « Enfin l'Histoire de Louis XI lui est aussi « contestée. M. le Dran, premier commis « des affaires étrangères, qui vit encore, raconte que l'abbé le Grand, attaché au même département que lui, avait autrefois composé cette histoire en sept volumes; que le manuscrit du défunt fut rejeté par les héritiers, qui, n'en connaissant ni le mérite, ni la valeur, ni l'originalité, le ❤cédèrent aisément à M. Duclos, qui rédui« sit cette histoire et la donna ensuite au

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«Il était brusque, même bourru, mais << ami chaud. Zélé partisan de M. de la Chalotais, il avait pris fort à cœur les intérêts de ce magistrat; il le défendait avec << une véhémence si inconsidérée, que, dans « le temps de la fermentation la plus grande << de la cour et de la ville, à l'occasion des << troubles de Bretagne, M. le duc de ...... <craignant qu'il ne s'attirât quelque fâcheu<< se affaire, lui conseilla de s'expatrier et de voyager en Italie avec un seigneur qui par«tait pour ce pays. Cette absence lui fit beaucoup de bien: elle calma ses esprits «<< enflammés.

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« M. Duclos travaillait à une continuation « de l'Histoire de l'Académie; il en avait lu, dans une séance publique, quelques » morceaux qui n'en avaient pas donné une grande idée: on avait trouvé sa narration sèche, froide et puérile.

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« Il a été peu de jours alité; il passait <«< pour un philosophe encyclopédiste peu croyant. On ne parle point de sa mort, qui n'a eu rien de remarquable. A la fa<< veur de la brièveté de sa maladie, il paraît qu'il s'est échappé de ce monde sans bruit « et sans scandale. »

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2681. Confessions du comte DE C*** (DE CAGLIOSTRO), avec l'histoire de ses voyages en Russie, Turquie, Italie, et dans les pyramides d'Égypte. Caire, 1787. in-4 et in-8.

public sous son nom, se l'étant en effet.2682. Confessions (les) d'un Anglais,

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ou Mémoires de sir Charles Simpson (par le chevalier DE RUTLIGE). Paris, Regnault, 1786, 2 vol. in-12. 2683. Confessions (les) d'un Fat, par le chevalier DE LA B*** (DE BASTIDE). Paris, 1749, 2 part. in-12, 2684, Confiance (la) chrétienne, ap¬ payée sur quatre principes inébranlables (par dom GERBERON). 1703, in-12.

Voyez d'Argentré, Collectio Judiciorum, t. 3, p. 439.

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2685. Confidence (la) nécessaire (par N. E. RÉTIF DE LA BRETONNE). Amsterdam (Paris); 1769, 2 vol. in-12. V. T.

2686. Confidence philosophique (par Jacques VERNES); seconde édition, revue et augmentée. Genève, 1776, 2 vol. in-8.

La première édition parut en 1772, in-8. 2687. Confidences (les), comédie mêlée de chants, en deux actes et en prose, par A. J*** (A. JARS, capitaine du génie). Paris, Masson, an 10 (1803), in-8.

2688. Confidences (les) d'une jolie femme (par mademoiselle D'ALBERT). Amsterdam et Paris, veuve Duchesne, 1775, 4 vol. in-12.

2689. Confidences (les) réciproques,

ou Anecdotes de la société de la comtesse de B. (par DE CAYLUs). Londres, 1774, in-12. V. T.

Catalogue Bekenrode, no 2809. 2690. Confirmation (la) de la Discipline ecclésiastique, observée ez Églises réformées de France. 1566, in-8.

Attribuée à Antoine SADEEL, masque d'Antoine LA ROCHE DE CHANDIEU.

2691. Conformité de la conduite de l'Église de France, pour ramener les Protestans, avec celle de l'Église d'Afrique, pour ramener les Donatistes à l'Église catholique (par GoIBAUD-DUBOIS). Paris, Coignard, 1685, in-12.

Aucun de nos dictionnaires historiques ne range cet ouvrage parmi ceux de Dubois ; il est néanmoins facile de prouver qu'il en est l'auteur.

To Le privilége du Roi a été accordé dès 1682 à la personne qui a traduit les lettres de S. Augustin sur l'édition des Bénédictins. On sait que cette personne est GoibaudDubois.

2o Le traducteur dit, dans le discours préliminaire, que le clergé a regardé comme avantageuse l'impression séparée des deux

lettres insérées dans le présent volume, tirées de la collection donnée au public en 1684. Ceci doit encore s'entendre de Dubois.

D'ailleurs le docteur Arnauld, dans ses lettres, attribue cet ouvrage à notre Dubois.

2692. Conformité de la créance de l'Église catholique avec la créance de l'Église primitive, et Différence de la créance de l'Église protestante d'avec l'une et l'autre (par l'abbé DE FLAMARE et BASNAGE). Rouen, 1701, 2 vol. in-12.

2693. Conformité de la Foi avec la Raison, ou Défense de la Religion contre les difficultés répandues dans le Dictionnaire de Bayle (par Isaac JAQUELOT). Amsterdam, Desbordes, 1705, in-8.

2694. Conformité des cérémonies chinoises avec l'idolâtrie grecque et romaine, pour servir de confirmation à l'apologie des Dominicains missionnaires de la Chine, par un religieux docteur et professeur en théologie (le P. ALEXANDRE, dominicain). Cologne, 1700, in-12.

2695. Conformité des coutumes des Indiens orientaux avec celles des Juifs, par DE LA C. (DE LA CREQUINIÈRE). Bruxelles, 1704, in-12. 2696. Conformité (la) des destinées et Axiamire ou la Princesse infortunée (par SAINT-HYACINTHE). Paris, veuve Pissot, 1736, in-12.

2697. Conformité des Églises de France avec celles d'Asie et de Syrie, dans leurs différens avec Rome (par N. FAYDIT). Liége, 1689, in-12. V. T. 2698. Conformités des cérémonies modernes avec les anciennes, où l'on prouve, par des autorités incontestables, que les cérémonies de l'Église romaine sont empruntées des Payens (par Pierre MUSSARD). Genève, de

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