510. - Re -Dans la révision de l'acte constitutionnel, ses dires sur les biens destinés aux dépenses du culte, et sur les cas d'abdication de la royauté, VI, 33, 173. S'oppose à ce que le malheur d'être fils d'un banqueroutier soit un motif d'exclusion pour être électeur ou éligible, 62: ROCHEGUDE, de la Convention. Déclare Louis coupable, vote l'appel au peuple, la détention, le sursis, X, 454, 462, 485, ROEDERER, de l'Assemblée constituante. — Regarde comme injurieuse la motion tendante à proclamer nationale la religion catholique, II, 47.-S'oppose à ce que l'on décrète constitutionnellement que dans les cérémonies publiques le président de l'assemblée nationale sera placé à la droite du roi sans aucun intermédiaire, 150. proche au côté droit de n'avoir pas, dans la séance du 19 avril 1791, donné un seul applaudissement au roi, III, 80. - Vote pour les jurés en toutes matières, 334. Fait les rapports et présente les projets de loi sur la vente et fabrication du tabac, IV, 401, 428, 440 et suiv.-Son dire pour la suppression des ordres de chevalerie, V, 41, 51. Demande que la députation chargée de présenter la constitution au roi soit composée d'un député par département, 74. Dans la Ne veut pas que l'on gêne la liberté des clubs, 108. révision de l'acte constitutionnel, opinion sur l'essence du pouvoir exécutif et sur les bases du système administratif, VI, 37, 45; discours pour le maintien du décret qui exclut les représentans du peuple de tout emploi à la disposition du pouvoir exécutif, 127; dires et répliques sur différens points de la révision, 21, 35, 155, 166, 168, 169, 171, 176. Rejette la condition du marc d'argent pour les éligibles, 72; la préfère ensuite à un autre mode proposé dans la révision, 84. -Procureur général syndic du département de Paris, rend compte à l'assemblée législative des monvemens du peuple au vingt juin, IX, 68. — Le lendemain de cet événement, se livre à de fausses terreurs, et revient en faire l'ayeu à l'assemblée, 97. Au dix août, est cité, 286, 287, 288; fait son rapport sur les rassemblemens, 291; observations qu'il publie sur quelques circonstances de cette journée, 305. Conseiller d'état, expose devant le corps législatif les motifs du projet de loi tendant à la nouvelle division du territoire en arrondissemens, et à l'établissement des préfectures, XVII, 142 et suiv. - Justifie le nouveau système d'instruction publique de n'avoir point mis la religion parmi ses bases, XVIII, 8. Expose au corps législatif les motifs du projet de loi portant création d'une légion d'honneur, 182, 183. — Défend le projet devant le même corps au nom du gouvernement, 206. De l'intention et du but du projet de loi, 207 et suiv. De l'objection prise de ce qu'un sénateur est appelé dans le conseil d'administration de la légion, 209. Du reproche fait à l'institution de blesser l'égalité, 210.-D'avoir mêlé le civil avec le militaire, 211.— De la tendance prétendue de l'institution à devenir héréditaire, 212. Elle est au contraire un obstacle à la formation de tout privilége, 214. Il expose au corps législatif les motifs du traité de paix d'Amiens, 220. Fait l'éloge de Joseph Bonaparte, 221. — Organe de la commission chargée de l'examen du recensement des votes sur la question de l'hérédité de la dignité impériale, fait un rapport au sénat, XIX, 51 à 56, ROGER-DUCOS, de la Convention. Déclare Louis coupable, rejette -- 88. l'appel au peuple, vote la mort sans sursis, X, 451, 465, 473, 507. Remplace au directoire la Réveillère-Lépeaux, XVI, 432.- Est dévoué à Syeyes à l'époque du 18 brumaire, XVII, 8, 11. —L'accompagne à Saint-Cloud après que le corps législatif y a été transféré, 26. Est nommé consul provisoire de la république, 71, Prête serment en cette qualité, 93. - Et successivement devant les anciens, 94. Est nommé sénateur, 140. ROI, ROYAUTÉ, FAMILLE ROYALE. Comment le roi doit être reçu au corps législatif, V, 83 et 137. Voy. CONSTITUTIONS, pour ce qui concerne la royauté constitutionnelle; FÉDÉRATION, pour quelques devoirs et prérogatives du roi et de sa famille; RÉSIDENCE, pour des obligations du roi, et pour l'idée qu'on doit se faire de la royauté; POUVOIR JUDICIAIRE, pour l'influence du roi sur les juges, etc.; DEPART, etc., pour l'inviolabilité royale; REPRÉSENTANT, pour savoir si le roi est représentant du peuple; ABDICATION; GARDE DU ROI - De la famille royale, des titres et droits politiques de ses membres; orateurs: Goupil, Duport, Thouret, d'Orléans, Dupont (de Nemours), Bonneville, Dandré, Sillery, Guillaume, Chapelier, Robespierre, Demeunier, Merlin, Camus, Monero, VI, 193 à 225. etc. De la royauté et du roi, de la famille royale; articles constitutionnels de 1791, 297, 301. Discussion pour savoir si les titres de sire et de majesté doivent être conservés au roi constitutionnel; orateurs Grangeneuve, Couthon, Guadet, Vosgien, Vergniaud, Cambon, etc. L'assemblée législative supprime ces titres, puis rapporte son décret en maintenant l'ancien cérémonial, VIII, 23 à 36. Les membres de l'assemblée législative font le serment de combattre les rois et la royauté; proclamation analogue, présentée par Guadet, IX, 375, 378. La convention abolit la royauté, et décrète la peine de mort contre quiconque proposerait ou tenterait de la rétablir, X, 22, 234. —Procès de Louis XVI, 148 et suiv. (Voir la table des titres en tête du tome X.) Du bannissement de tous les Bourbons, proposition, débats, 293 et 294; Voy. BOURBONS. ROI (de Seine-et-Oise), de la Convention. - Déclare Louis coupable, rejette l'appel au peuple, vote la mort avec sursis, X, 454, 467, 483, 510. ROLAND DE LA PLATIÈRE. — En mars 1793, est appelé au ministère de l'intérieur, VIII, 393. - En juin de la même année, reçoit de Louis xvi l'ordre de cesser ses fonctions; l'assemblée législative décrète qu'il emporte les regrets de la nation; ses lettres à l'assemblée et au roi, IX, 48 et suiv. - Après l'affaire du dix aout, est appelé au ministère par l'assemblée nationale, 301 et 302. - Rapport sur l'esprit public en France après l'abolition de la royauté, X, 24. -Demande une loi contre les agitateurs, 27. Rapport sur la situation de Paris après le dix août et les journées de septembre, 62. Cité, 130. Découvre l'armoire de fer, 237. Violemment accusé par Robespierre d'avoir conspiré avec les girondins pour le rétablissement de la royauté, XI, 364. Eloge de son caractère par Guadet, 407. Est accusé par Saint-Just, dans son rapport à la convention du 8 juillet 1793, d'avoir fomenté les troubles de Lyon. XII, 153. ROME. suiv. Réunion des états romains à l'empire français, XX, 97 et ROMME, de la Convention. - Déclare Louis coupable, rejette l'appel au - peuple, vote la mort sans sursis, X, 453, 466, 481, 509. Ouvre la discussion sur la déclaration des droits de l'homme dans la séance du 17 avril 1793, XII, 285.- Fait un rapport à la convention sur l'ère républicaine, XIII, 83. Rédige l'instruction mise à la suite du décret organique de l'ère nouvelle, 99. - Des motifs qui ont déterminé le décrct, ibid. De l'ère de la république, 100. Du commencement de l'ère et de l'année, ibid. De la longueur de l'année, 102. De la franciade ou année bissextile, 104. De la division et subdivision de l'année, 105. - De la décade, 106. - Du jour, 107. De l'exécution et de l'usage du calendrier républicain, 108. - De l'épacte ou âge de la lune, 110. - De la concordance de l'ancien et du nouveau calendrier, ibid. nouvelles montres et horloges, 112,- - Du jour de la décade, 113. Est condamné à mort par une commission militaire après le triomphe des thermidoriens, XV, 19. – Se frappe d'un couteau et meurt immédiatement de ses blessures, 20. Général russe, Des ROSTOPCHIN, et gouverneur de Moscou, y fait mettre le feu en se retirant, XX, 254, 255. ROUAULT, de la Convention. Déclare Louis coupable, rejette l'appel au peuple, vote la détention, le sursis, X, 452, 465, 477, 508. ROUBAUD, de la Convention. Déclare Louis coupable, rejette l'appel au peuple, vote la mort sans sursis, X, 454, 467, 485, 511. ROUGIER-LABERGERIE, de l'Assemblée législative. Veut une loi contre l'émigration, VIII, 182. ROUJOUX, de l'Assemblée législative. Réclame des mesures contre les émigrans, VIII, 182, 206. ROUSSEAU (J.-J.). —L'assemblée constituante, sur la proposition d'Eymar, décrète qu'une statue sera élevée à l'auteur du Contrat social, et, sur la proposition de Barrère, elle fait à sa veuve une pension, II, 193 et suiv. Deux députations, l'une des gens de lettres, et l'autre des habitans de Montmorency, réclament pour J.-J. Rousseau les honneurs décernés aux grands hommes; réponse du président, Victor de Broglie; discours d'Eymard, qui appuie la demande des pétitionnaires; Charles Lameth, Boissy d'Anglas, Beaumetz, Mathieu Montmorency soutiennent la discussion relative à la propriété des cendres de Rousseau, réclamée pour M. de Girardin; rapport fait par Demeunier, et décision de l'assemblée constituante qui maintient à M. de Girardin la propriété des restes de Rousseau, V, 124 à 134. ROUSSEL, de la Convention. -Déclare Louis coupable, vote l'appel au peuple, la détention, le sursis, X, 452, 461′, 476, 508. ROUX (de la Haute-Marne), de la Convention. Déclare Louis coupable, rejette l'appel au peuple, vote la mort sans sursis, X, 452, 465, 476, 508. 505. ROUX-FAZILLAC, de la Convention. Déclare Louis coupable, rejette l'appel au peuple, vote la mort sans sursis, X, 450, 464, 492, ROUYER, de l'Assemblée législative. Demande que liberté commence au 14 juillet 1789, VIII, 17. — De la Convention, fait dresser la liste des non votans dans le procès du roi; déclare Louis coupable, vote l'appel au peuple, la mort sans sursis, X, 441, 450, 461, 471, 506. ROUZET, de la Convention. Dans le procès de Louis, veut qu'on respecte son inviolabilité, et présente un projet de décret en conséquence vote l'appel au peuple, la réclusion, le sursis, X, 202, 376, 447, 460, 470, 506, ROVÈRE, de la Convention. - Déclare Louis coupable, rejette l'appel au peuple, vote la mort sans sursis, X; 449, 463, 489, 504. ROYALISTES.-Force et accroissement du parti royaliste avant le 18 fructidor, XVI, 226. - Il domine dans les deux conseils, 257. Manœuvres des royalistes, 258. Défaite du parti, 260, 261. Un grand nombre sont déportés, 272. Ils s'étaient organisés sous le nom de société des fils légitimes, 279, 408. - Et de société des amis de l'ordre, 407. Détail de toutes leurs tentatives à l'époque de fructidor, 407 et suiv. ROYAUME (EXPOSÉ DE LA SITUATION DU), par le ministre de l'intérieur, abbé de Montesquiou, à la chambre des députés, XX, 571 à 590. Voy. MONTESQUIOU. ROYER, de la Convention. Déclare Louis coupable, vote l'appel au peuple, la détention, le sursis, X, 448, 459, 486, 503. RUAMPS, de la Convention. Reconnaît Louis coupable, rejette l'appel au peuple, vote la mort sans sursis, X, 449, 463, 490, 505. RUDEL, de la Convention. Déclare Louis coupable, rejette l'ap RUELLE, de la Convention. - pel au peuple, vote la mort sans sursis, X, 453, 466, 481, 509. Déclare Louis coupable, rejette l'appel au peuple, vote la mort sans sursis, X, 451, 464, 473, 506. RUHAULT, de la Convention. Déclare Louis coupable, rejette l'appel au peuple, vote la détention, le sursis, X, 454, 467, 484, 510. RUHL, de l'Assemblée législative. · Dénonce la conduite hostile des émigrés sur le Rhin, VIII, 250. — Elu à la Convention, président d'âge à la première séance, X, 17. Absent par commission pendant le procès du roi, 441, 459, 482, 509. RUSSIE. Dispositions de cette cour envers la république française, XI, 232. Serment exigé des français résidans en Russie, par ukase de février 1793, ibid. Traité de paix avec la Russie, conclu par le premier consul; discussion à laquelle il donne lieu, XVII, 394 et suiv. Guerrc de Russie, sommaire historique, XX, 226. Précis des événemens militaires, 246 et suiv. Bataille de la Moskowa, 250. Incendie de Moscou, 254. - Bataille de la Bérésina, 260. Retraite des Français, 265. - S. SAINT-AIGNAN, ministre plénipotentiaire de France en 1813, communique à l'empereur les conditions que les alliés lui imposent, XX, 458. - Mauvaise foi de ces derniers, 459. SAINT-JUST, de la Convention. Opinion pour que Louis xvi soit jugé; discours sur la même question; déclare Louis coupable, rejette l'appel au peuple, vote la mort sans sursis, X, 183, 364, 448, 463, 486, 504 Pendant le procès s'oppose au bannissement de tous les Bourbons, 293. Prononce un long discours dans la séance du 24 avril 1793, sur la constitution à donner à la France, XII, 296. Considérations générales, 297. — La constitution doit être garantie des abus du pouvoir, 299. Les lois doivent convenir au peuple pour lequel elles sont faites, ibid. De la nature de la législation, 300.-Plan général de la constitution suivant ses vues, 301, 302, 303. - Il fait, au nom du comité de salut public, un rapport à la convention dans la séance du 8 juillet sur les 32 membres de la convention détenus, 144. Accuse Buzot et Gorsas de tendre secrètement la main à la Vendée, 145. — Dit que Brissot a été le Monck de la France, 147. Que tous les détenus avant le dix août ont montré beaucoup d'attachement pour la monarchie, 148. — Qu'on voulait que Pétion logeât aux Tuileries, et que le peuple fût découvert devant lui pour conserver l'ombre de la royauté, 149. Que Buzot a créé l'anarchie en feignant de la combattre, 150. — [] rappelle tous les faits imputés aux girondins, 151. vet, Barbaroux, le ministre Roland, 153. — Brissot, Barbaroux Inculpe LouPétion, 155 et suiv. -Parle d'une affiche incendiaire répandue dans Paris, 159. Prétend que Valazé est l'auteur de cette affiche, 161. Parle des troubles qui eurent lieu dans plusieurs villes, 164. Inculpe la commission des douze, 165. Parle de la conspiration qui devait éclater les 1 et 2 juin, 166. été appelé par les révoltés de la Corse, 167. -Accuse Vergniaud d'avoir Invite la convention à distinguer parmi les accusés les vrais coupables de ceux qui n'ont été que trompés, 170, 172. — Propose de déclarer traîtres à la patrie Buzot, Barbaroux, Gorsas, Lanjuinais, Salle, Louvet, Bergoeing, Biroteau et Pétion; de déclarer qu'il y a lieu à accusation contre Gensonné, Guadet, Vergniaud, Mollevault et Gardien; de faire grâce aux autres, et de rappeler Bertrand Lahosdinière, 172- Fait un rapport à la convention, au nom du comité de salut public, sur la nécessité de déclarer le gouvernement révolutionnaire jusqu'à la paix, XIII, 118. Ses objections contre le gouvernement existant, et le conseil exécutif des ministres, 119, 120. agens du gouvernement, fournisseurs et autres, 121. Déprédations des Nécessité d'établir l'économie, 123. De l'état du commerce, 124. l'impossibité d'établir la constitution dans la situation présente, 125. Des devoirs des représentans en mission auprès des armées, 127. - De la nécessité d'épurer l'administration des armées, 128. -Fait décréter le gouvernement révolutionnaire, 130. sur la nécessité de retenir les personnes reconnues ennemies de la Fait un rapport révolution, XIV, 33 et suiv. Blâme fortement l'indulgence, 39, Excite à la plus grande rigueur envers les ennemis du peuple, 40. - De |