et demande qu'un député ne puisse passer au ministère pendant la durée d'une session, V, 172.. BLOCUS continental des iles Britanniques, XIX, 323 et suiv., 331, 467. BLONDEL, de la Convention. — Déclare Louis coupable, vote l'appel au peuple, la détention, le sursis, X, 448, 459, 488, 504. BLUCHER, général prussien, passe le Rhin, et fait une proclamation aux Français de la rive gauche, XX, 461. BLUTEL, de la Convention. - Déclare Louis coupable, vote l'appel au peuple, la détention, le sursis, X, 454, 462, 484, 510. BO, de la Convention. Déclare Louis coupable, rejette l'appel au peuple, vote la mort sans sursis, X, 449, 463, 488, 504. BODIN, de la Convention. Déclare Louis coupable, rejette l'appel au peuple, vote la détention, le sursis, X, 451, 464, 473, 507. BOHAN, de la Convention. Déclare Louis coupable, vote l'appel au peuple, la mort, le sursis, X, 450, 460, 493, 506, BOILEAU, de la Convention. Dénonce Marat, X, 50. Déclare Louis coupable, rejette l'appel au peuple, vote la mort sans sursis, 454, 467, 486, 511. BOILEAU, membre de la Commission des douze. —Est décrété d'accusation le 2 juin 1793, XII, 131. Se soumet au décret, 133. BOISGELIN (DE), archevêque d'Aix, de l'Assemblée constituante. - Elu président, I, 187. Communique à l'assemblée lus félicitations que la société de la Révolution de Londres adresse aux représentans de la nation française, 11, 6. BOISROT, de l'Assemblée législative. Le dix août, avant l'en gagement, il demande que le roi soit invité à se rendre dans l'assemblée, IX, 289. BOISSET, de la Convention. Déclare Louis coupable, rejette l'appel au peuple, vote la mort sans sursis, X, 450, 464, 492, 505. BOISSIEU, de la Convention. Déclare Louis coupable, rejette l'appel au peuple, vote la détention, rejette le sursis, X, 451, 464, 473, 507. Combat les BOISSY D'ANGLAS, de l'Assemblée constituante. argumens qui tendent à établir que les cendres de J.-J. Rousseau sont la propriété de M. Girardin, V, 130. De la Convention, déclare Louis coupable, vote l'appel au peuple, la détention, le sursis, X, 448, 459, 487, 504. —Fait un rapport sur la situation intérieure et extérieure de la république, XV, 39. - Dénonce les manœuvres du gouvernement anglais, 40 et suiv. S'élève contre Pitt, 44. Défend le gouvernement républicain des inculpations de l'aristocratie, 47. Nomme les puissances qui se sont détachées de la coalition, 49, 50, 51. Parle de la politique de la Russie, 62 et suiv. S'occupe de l'intérieur, 56. Des royalistes, ibid. Des hommes faibles, 58. Des terroristes, 59. Des moyens à employer par le gouvernement, 6o. - Rédige et compose le discours préliminaire au projet de constitution de l'an 3, 109. actucl de la convention délivrée de la tyrannie décemvirale, 110. -- Peint l'état De la - Rappelle la conduite de l'assemblée constituante, 113. convention, 114. Parle des moyens employés pour faire accepter la constitution démagogique de 1793, 116. Vante la révolution du 9 thermidor, 117. Fronde la constitution de 1793, ouvrage de Saint-Just et de Hérault-Séchelles, 119 et suiv. Pose les principes d'une bonne constitution, 125. Indique les conditions de l'éligibilité, 126, 128. Déclare que les étrangers ne peuvent jouir des droits politiques, 127. - Parle du seul moyen de faire respecter les lois, 129. Des dangers d'une assemblée législative unique, 131. Du conseil des cinq-cents et du conseil des anciens, 133. De la durée des pouvoirs des législateurs, 135. Des moyens d'empêcher l'établissement d'une puissance oppressive, 136. - Du pouvoir exécutif, 137.. Du directoire et de ses attributions, 138 et suiv. De l'administration intérieure de la république, 140. Du pouvoir judiciaire, 143. De la justice criminelle, 144. De l'impossibilité d'établir des jurés en matière civile, 147.. De l'organisation des tribunaux, 148. — Du mode électoral, 149. - Des moyens de perfectionner la constitution, 150. De la nécessité de changer la rédaction de quelques articles de la déclaration des droits, 151. - De la garantie de la liberté individuelle, 152. — De l'instruction, 153 et suiv. - Fait un rapport à la convention sur la police des cultes, 220. - Indique les forts de l'assemblée constituante, et ses fausses mesures sur cette matière, 223. De la marche à suivre à l'égard des cultes, 226. - Fait adopter le décret qui prohibe toute pratique extérieure d'un culte quelconque, 229. Du Conseil des cinq-cents, ouvre le premier la discussion sur la liberté de la presse, XVI, 33.. -Est condamné à la déportation au 18 fructidor, 272. Accusé par Bailleul d'avoir protégé les conspirateurs, 410. Et les émigrés, 415. Est rappelé par arrêté des consuls, XVII, 110. BOLLET, de la Convention. Déclare Louis coupable, rejette l'ap pel au peuple, vote la mort sans sursis, X, 453, 466, 509. BOLOT, de la Convention. - Déclare Louis coupable, rejette l'appel au peuple, vote la mort avec sursis, X, 453, 466, 482, 510. BONAPARTE, ou BUONAPARTE. Est nommé par Barras son commandant en second dans la journée du 13 vendémiaire, XV,81. Fait rendre la liberté, par ses victoires, à Lafayette, LatourMaubourg et Bureaux-Puzy, XVI, 8. - Dicte la paix à l'Autriche, 381. Revient d'Egypte au 18 vendémiaire an 8, 434. -Motifs qu'il a cus, suivant Briot (voyez ce nom), pour faire le traité de Campo-Formio, 461. Craintes qu'il inspire à Pitt, qui, pour s'en délivrer, suggère l'expédition d'Egypte, 462. Causes qui ont pu le déterminer à se mettre à la tête de cette expédition, 467. Raison de l'enthousiasme qu'il excite après son retour, XVII, 3. Ce fut de Carnot, et non de Barras, qu'il obtint le commandement de l'armée d'Italie, 4. - H It a créé l'éloquence militaire, ibid. est rappelé en France par son frère Lucien, membre des cinq-cents, d'accord avec Syeyes, 5. Son retour d'Egypte est le seul effet de. sa volonté, et n'a pas été concerté avec l'Angleterre, 6. —Il arrive à Paris le 24 vendémiaire, 10.- - Enthousiasme du peuple, ibid., 11. Tous les partis lui font des propositions, ibid., 13. - Il aurait voulu établir une dictature, ibid. -Assiste un moment à la fête que lui donnent les deux conseils, 15. Est chargé par le conseil 105. - 1 --- - Id. des anciens de l'exécution du décret qui ordonne la translation à Saint-Cloud du corps législatif, 19. Prend diverses dispositions, 21. - Prête serment devant les anciens, ibid. Publie un ordre du jour, une adresse à la garde nationale, aux soldats, 22, 23.Harangue les troupes au Champ-de-Mars, ibid., 24. Fait donner à Barras sa démission, 26. Veut l'obtenir de Gohier et Moulins Les fait garder à vue dans leurs appartemens, 28. 27: Arrivé à Saint-Cloud, confère avec Syeyes et Roger-Ducos, 29.-Refusé d'employer Augereau, 30. -Est introduit dans la salle des anciens, 34. Déclare, dans le discours qu'il leur adresse, que la constitution ne peut sauver la patrie, et qu'il faut établir un nouvel ordre de choses, 40. Se présente à la salle où sont les cing-cents; est accueilli par les cris: A bas le dictateur! Hors de la loi et rejoint précipitamment ses soldats qui étaient restés à la porte, 54. — Tombe de cheval, 62. -Harangue ses soldats, 65. Le conseil des cinqcents, réuni de nouveau le soir au nombre d'environ trente membres, décrète qu'il a bien mérité de la patrie, 71. - Il est nommé premier consul de la république, 71, 88. - Prête serment en cette qualité, 93. Et successivement devant les anciens, 94. - Fait le même jour, à onze heures du soir, une proclamation aux Français, 96. Réflexions sur les événemens du 18 brumaire; sur la politique et la conduite postérieure de Bonaparte, 101 et suiv. Il fait rapporter le décret de bannissement contre les députés proscrits, 104, - Fait - Rappelle les prêtres déportés par le directoire, ibid. transporter hors de France les émigrés naufragés à Calais, comme n'étant pas dans le cas des lois, 106. Fait une proclamation aux Français le jour de son installation constitutionnelle, 127. aux soldats, 128. — Institue des armes d'honneur, 129. Communique au roi d'Angleterre sa nomination au consulat, 130.-Annonce aux Français qu'il commandera en personne l'armée de réserve, s'il y a reprise d'hostilités, 160. - Répond à la députation chargée de lui apporter le vœu du tribunat, 166. Part pour l'armée, 168. Arrive à Milan; fait une proclamation aux soldats, 171. — bataille de Marengo, 172. - Rentre à Paris, et reçoit les félicitations de tous les corps constitués, 177. — Pose la première pierre des façades de la place Bellecour à Lyon, ibid. — Assiste à la fête de la Concorde et de l'anniversaire du 14 juillet, et répond aux officiers qui présentent les drapeaux ennemis, 178. - Répond aux envoyés des départemens qui ont assisté à la fête de la fondation de la république, et annonce que les préliminaires de la paix sont signés, 202. Conspiration du 18 vendémiaire dirigée contre sa personne, 137. - Attentat du 3 nivose, ibid. Il répond au président du tribunat et aux maires de Paris, sur les félicitations qu'ils lui adressent, 350, 352. Soumet à la délibération du conseil d'état la proposition de son ministre Fouché, tendante à mettre en surveillance, hors du territoire de la république, un certain nombre d'individus, 354. Proclame le sénatus-consulte rendu à cette occasion, 355. Répond à la députation du corps législatif qui le félicite sur le traité de Luneville, 366. Aux députés belges, 367. Ecrit aux membres du Conseil général du département de la Seine au sujet du monument en son honneur que ce conseil avait voté, 376. Est élu président de la république italienne. Fait un discours aux membres de la consulte, 379. Répond aux félicitations du corps législatif, 378. Id. à Grégoire, orateur de la commission, à l'ouverture de la session de l'an 10, 393. Donne, par une note, des explications , Sa ré Par sur le mot sujets, employé dans le traité de paix conclu avec la Russie, 395. Relation, écrite par lui-même, des événemens du 13 vendémiaire, et des circonstances qui accompagnèrent son retour d'Italie, 398 à 425. Dates et pièces relatives à cette relation, 425. Sa nomination au généralat de l'armée d'Angleterre, 426. — Discussion au cinq-cents sur la proposition de Malibrand, tendante à lui accorder une récompense nationale, 427. — Procès-verbal de la séance extraordinaire du directoire, contenant la réception qu'il reçut, 428. - Discours lui adresse Talleyrand, 430. que ponse, 432. Réplique de Barras, président du directoire, ibid. et suiv. Réflexions sur la politique de Bonaparte; sa conduite envers les Français, et la direction qu'il donne à leurs esprits, XVIII, XI, XII, XIII, XIV, 1, 2, 3, 4. Sommaires des créations ou établissemens de Bonaparte, en l'an 10, 4 et suiv. Concordat avec le pape, ibid., proclamation aux Français, 5. Instruction publique, 7. Légion d'honneur, 9.- Consulat à vie, 10. ticularités, 12. Fêtes du 14 juillet et du 1er vendémiaire, 14, 15. Il communique au tribunat et au corps législatif le traité d'Amiens, 218. — Reçoit les félicitations du tribunat, 222. — Répond à son orateur Siméon, 223. Est réélu premier consul pour dix ans 224. Ecrit au sénat pour exprimer le désir que le peuple soit consulté, 225, 226. Répond à l'orateur de la commission du tribunat, nommée pour lui présenter les votes individuels des tribuns, 233. - A l'orateur de la commission du corps législatif, 235. -Est proclamé par le sénat consul à vie, conformément au vœu national, constaté par le recensement des votes, 251. Entend le discours prononcé par Barthélemy, président du sénat, et y répond, 252, 253. Est harangué au 15 août par Marcorelle, au nom des membres présens du corps législatif, 271. Répond à Marcorelle, 273. — A Challan, président du tribunat, 274: Acquiert le droit de faire grâce, d'après le sénatus-consulte organique de la constitution, 268. Répond au sénat, etc., sur le vœu de repousser l'aggression de l'Angleterre qui viole le traité d'Amiens, 313. - Nomme le président et les questeurs du corps législatif, conformément au sénatus-consulte de frimaire an 12, 319. Reçoit une députation du corps législatif, conduite par Fontanes, pour le féliciter sur l'état florissant de la république en l'an 12, 330. Est complimenté par le sénat en corps sur la découverte de la conspiration de Georges et Pichegru, 335. Id. par le tribunat, ibid. - Par le corps législatif, 336. Répond aux divers discours, 337. - Erection de sa statue dans le lieu des séances du corps législatif, 359. Discours de Fontanes à cette occasion; réponse, 364. — Il reçoit une adresse du sénat à l'occasion de la découverte des manoeuvres de l'Anglais Drake à Munich, et est invité à établir un gouvernement héréditaire, 370. Répond par un message, 372. Reçoit une nouvelle communication du sénat qui propose le gouvernement impérial héréditaire, 374.-Discussion au tribunat; discours de Siméon, de Carrion-Nisas, en faveur de l'hérédité, 377, 382, 388. - Discours en sens contraire de Carnot, 403. - Répliques à Carnot de Grenier, Carrion-Nisas, Chabot de l'Allier, Arnould, 408 à 420. Motion d'ordre de Curée, 425. Vou du tribunat, 437. Adresse du président du corps législatif, 441. Discours de Cambacérès, 443; de Lacepède, 456. Présentation du sénatus-consulte, 461'; félicitations à l'impératrice Joséphine, 463. L'empereur nomme archichancelier le consul Cambacérès, et architrésorier le consul Réflexions corps con Recensement. Il ouvre la Lebrun, ibid. Sénatus-consulte organique, 464. sur Bonaparte, XIX, 17.- Servile docilité de tous les stitués, 20.- -Sa sollicitude pour le bonheur du peuple, 23. — Institution des prix décennaux, 24. Son sacre de la main du pape Pie VII, 26. — Fêtes du couronnement, et distribution des aigles 28. Reçoit les félicitations du tribunat en corps; discours de Fabre de l'Aude, président, 37. Sa réponse, 38. Reçoit le serment individuel des membres du sénat, 39. Est harangué par le président François de Neufchâteau, ibid. à 48. des votes sur la question de l'hérédité, 49. Discours de François de Neufchâteau, 57. Réponse de l'empereur, 67. session du corps législatif de l'an 13, 68. Reçoit une adresse du corps législatif dont les membres s'intitulent très-fidèles sujets ; 78. Sa réponse, 80. Sa statue est inaugurée dans le lieu des séances du corps législatif; discours de Viénot-Vaublanc, So. De Fontanes, 86. Il communique au sénat l'état de ses relations avec l'Angleterre, 96 à 109. Donne audience aux membres de la consulte de la république italienne, 110. — Donne la principauté de Piombino à sa sœur Eliza, 113. - Reçoit un rapport de Talleyrand sur la réunion de la couronne d'Italie à la couronne impériale, ibid. Reçoit le statut qui le nomme roi d'Italie, 119. ronné à Milan, 127.. Est harangué par le doge de Gênes, qui, au nom de sa république, demande la réunion à l'empire français, 128. Répond au doge, 129. Sur la demande des Luequois érige leur pays en principauté en faveur du prince et de la princesse de Piombino; répond au gonfalonnier, 136, 137. - Annonce au sénat la rupture avec l'Autriche et la Russie, 138. - Part pour l'armée, 162. -Fait une proclamation aux soldats, 164. Envoie des drapeaux ennemis à la ville de Paris, 165. — Harangue les soldats avant la prise d'Ulm, ibid. — Envoie des drapeaux au sénat, Se rend maître d'Ulm et d'une armée autrichienne, 167. — Décrète en faveur de son armée que le mois de vendémiaire an 14 sera compté comme une campagne, 172. - Gagne la bataille d'Austerlitz, 175. - A une entrevue avec l'empereur d'Allemagne, -Envoie 45 drapeaux à l'archevêque de Paris pour les faire déposer à Notre-Dame, 185. Fait diverses proclamations à ses armées, 173, 175, 183, 187, 188. A la ville de Vienne, 189. Conclut Ja paix, 190. Ecrit au sénat pour lui annoncer cette paix, et le mariage du prince Eugène, 217. — Id. pour lui annoncer l'adoption de ce prince et son droit d'hérédité à la couronne d'Italie, 218. De retour à Paris, reçoit le sénat et le tribunat en audience solen nelle; discours des présidens, 220, 222. Entend le rapport de son ministre des cultes sur l'institution de deux fêtes, la Saint-Napoléon et l'anniversaire du concordat, et l'anniversaire du couronnement et de la bataille d'Austerlitz, 223. - Id. de son ministre de l'intérieur sur la nouvelle destination du Panthéon, et la restauration de l'église de Saint-Denis, 227. -Ouvre la session de 1806, 228. Reçoit une adresse du corps législatif sur la situation de l'empire, 254. Communique au sénat les dispositions qu'il a faites du royaume de Naples, des duchés de Berg et de Clèves, des principautés de Guastalla, de Neufchâtel, de l'érection de duchés grands fiefs de l'empire, du royaume de Hollande, 287 et suiv.-Voyez JoSEPH et LOUIS BONAPARTE, MURAT, GUASTALLA, NEUFCHATEL. Fait nommer son oncle, le cardinal Fesch, coadjuteur de l'électeur de Ratisbonne, 293.- Crée Talleyrand prince de Bénevent, et Berna |