An VIII-1809E. Plon, Nourrit et cie, 1897 |
Ostala izdanja - Prikaži sve
Uobičajeni izrazi i fraze
affaires d'Espagne AFIV AMBASSADEUR A SAINT-PÉTERSBOURG Anglais août armée arrêter arrivé aura Autrichiens avez Baron Du CASSE Bayonne Brest Burgos Camp de Boulogne CAULAINCOURT CHAMPAGNY choses CITOYEN commandant COMTE FOUCHÉ Comte VANDAL Corfou Correspondance courrier désarmer désire division doit donner envoie Erfurt escadre Espagne Espagnols êtes faites-le fasse ferez connaître février finances Flessingue Galice GÉNÉRAL CAULAINCOURT GÉNÉRAL CLARKE général Junot général Miollis gouvernement guerre Hollande hommes Ibid intention J'ai reçu JOSEPH NAPOLÉON journaux jours juillet l'Angleterre l'armée l'Autriche l'empereur laisser Madrid Majesté maréchal marine Mémoires du prince mesures millions MINISTRE DES RELATIONS Miollis mois Naples Napoléon et Alexandre officiers ordre paix passer POLICE GÉNÉRALE Portugal Préjean prendre prince de Ponte-Corvo PRINCE EUGÈNE PRINCE EUGÈNE NAPOLÉON Prusse reçois votre lettre régiments RELATIONS EXTÉRIEURES reste ridicule rien ROCQUAIN Romanzoff Russie s'il Saint-Cloud SAINT-PÉTERSBOURG sais Schönbrunn septembre sera seront sieur TALLEYRAND troupes trouverez ci-joint vaisseaux Valladolid VICE-ROI D'ITALIE Vienne vois WESTPHALIE
Popularni odlomci
Stranica 39 - L'illustre Jeanne d'Arc a prouvé qu'il n'est pas de miracle que le génie français ne puisse produire dans les circonstances où l'indépendance nationale est menacée.
Stranica 192 - Bitche ou dans quelque château fort; mais comme il s'est jeté dans mes bras, qu'il m'a promis de ne rien faire sans mon ordre, et que tout va en Espagne comme je le désire, j'ai pris le parti de l'envoyer dans une campagne en l'environnant de plaisirs et de surveillance. Que ceci dure le mois de mai et une partie de juin, les affaires d'Espagne auront pris une tournure, et je verrai alors le parti que je prendrai.
Stranica 381 - Vous devez comprendre que je ne me sépare pas de mes prédécesseurs, et que depuis Clovis jusqu'au Comité de salut public , je me tiens solidaire de tout , et que le mal qu'on dit de gaieté de cœur contre les gouvernements qui m'ont précédé , je le tiens comme dit dans l'intention de m'offenser.
Stranica 131 - Lucien veut l'appeler près de lui, pourvu que ce ne soit pas jamais en France qu'il veuille vivre avec elle, non comme avec une princesse sa femme, et dans telle intimité qu'il lui plaira, je n'y mettrai point d'obstacle, car c'est la politique seule qui m'intéresse; après cela je ne veux point contrarier ses goûts ni ses passions. Voilà mes propositions.
Stranica 170 - Si vous avez voulu montrer à l'Europe votre indépendance, vous avez choisi là une sotte occasion. Ces prêtres sont des gens contre lesquels je me fâche pour vous. Vous pouvez bien être roi de Naples, mais j'ai droit de commander un peu où j'ai 40,000 hommes. Attendez que vous n'ayez plus de troupes françaises dans votre royaume pour donner des ordres contradictoires aux miens, et je ne vous conseille pas de le faire souvent. Rien, je vous le répète, ne pouvait m'être plus désagréable...
Stranica 383 - Cadore, par l'entremise de son ministre ; mais elle peut être certaine qu'au premier paquebot, au premier bâtiment qui sera introduit en Hollande, je rétablirai la défense des douanes ; qu'à la première insulte qui sera faite à mon pavillon, je ferai saisir à main armée et pendre au grand mât l'officier hollandais qui se permettra d'insulter mon aigle. VM trouvera en moi un frère...
Stranica 258 - Saint-Cyr les jeunes gens appartenant à ces familles , âgés de plus de seize ans et de moins de » dix-huit. Si l'on fait quelque objection, il n'ya pas d'autre réponse à faire sinon que cela est mon bon plaisir. La génération future ne doit > point souffrir des haines et des petites passions de la génération pré
Stranica 210 - Cette liaison avec cet individu ne peut être qu'au détriment de la France. Vous ferez connaître que jusqu'à cette heure, on ne l'avait regardée que comme une folle, mais que, aujourd'hui, elle commence à entrer dans une coterie contraire à la tranquillité publique.
Stranica 131 - Mon frère, j'ai vu Lucien à Mantoue, j'ai causé avec lui pendant plusieurs heures; il vous aura sans doute mandé la disposition dans laquelle il est parti. Ses pensées et sa langue sont si loin de la mienne que j'ai eu peine à saisir ce qu'il voulait; il me semble qu'il m'a dit qu'il voulait envoyer sa fille aînée à Paris près de sa grand'mère. S'il est toujours dans ces dispositions, je désire en être sur-le-champ instruit...