Bibliothèque académique, ou Choix fait par une société de gens-de-lettres, de différens mémoires des académies françaises et étrangères, mis en ordre par A. Sérieys, Svesci 9-101811 |
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Stranica 6
... Provence en Italie ; que des Italiens mêmes , animés par leurs leçons , touchèrent la lyre provençale ; que la cour d'Azzon VII , marquis de Ferrare , issu de l'il- lustre maison d'Est , maison de tout temps si chérie ( 6 )
... Provence en Italie ; que des Italiens mêmes , animés par leurs leçons , touchèrent la lyre provençale ; que la cour d'Azzon VII , marquis de Ferrare , issu de l'il- lustre maison d'Est , maison de tout temps si chérie ( 6 )
Stranica 8
... Provençale . Mais par le vol supérieur qu'ils prirent , non - seulement ils laissèrent loin derrière eux les faibles es- sais de leurs compatriotes , mais ils éclipsèrent totalement la gloire des Troubadours qui ne reparaissent plus ...
... Provençale . Mais par le vol supérieur qu'ils prirent , non - seulement ils laissèrent loin derrière eux les faibles es- sais de leurs compatriotes , mais ils éclipsèrent totalement la gloire des Troubadours qui ne reparaissent plus ...
Stranica 14
... provençale qui l'offusquait , il fallut un de ces hommes dont la nature est peu prodigue , mais qu'elle élève comme un de ces météores lu- mineux , lorsqu'elle veut offrir de nouveaux spectacles au monde , et fixer de nouvelles époques ...
... provençale qui l'offusquait , il fallut un de ces hommes dont la nature est peu prodigue , mais qu'elle élève comme un de ces météores lu- mineux , lorsqu'elle veut offrir de nouveaux spectacles au monde , et fixer de nouvelles époques ...
Stranica 106
... - gatoire , au jardin d'Eden . C'est un océan de mystères où Dante ne prouve que trop ce que je me suis proposé de démontrer ; combien la science gáte la poésie . SUR LA LANGUE ET LA POÉSIE PROVENÇALE , ET SUR ( 106 )
... - gatoire , au jardin d'Eden . C'est un océan de mystères où Dante ne prouve que trop ce que je me suis proposé de démontrer ; combien la science gáte la poésie . SUR LA LANGUE ET LA POÉSIE PROVENÇALE , ET SUR ( 106 )
Stranica 107
Bibliothèque Antoine Sérieys. SUR LA LANGUE ET LA POÉSIE PROVENÇALE , ET SUR L'ORIGIne des jeux flEURAUX DE TOULOUSE ; Par CASENEUVE ( 1 ) . ENCORE que selon les anciennes divisions . des Gaules , la ville de Toulouse se trouve dans la ...
Bibliothèque Antoine Sérieys. SUR LA LANGUE ET LA POÉSIE PROVENÇALE , ET SUR L'ORIGIne des jeux flEURAUX DE TOULOUSE ; Par CASENEUVE ( 1 ) . ENCORE que selon les anciennes divisions . des Gaules , la ville de Toulouse se trouve dans la ...
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Stranica 197 - La belle antiquité fut toujours vénérable , Mais je ne crus jamais qu'elle fût adorable. Je vois les anciens, sans plier les genoux ; Ils sont grands, il est vrai, mais hommes comme nous ; Et l'on peut comparer, sans craindre d'être injuste, Le siècle de Louis au beau siècle d'Auguste.
Stranica 261 - Rien n'est beau que le vrai : le vrai seul est aimable ; II doit régner partout , et même dans la fable : De toute fiction l'adroite fausseté Ne tend qu'à faire aux yeux briller la vérité.
Stranica 204 - Voudrais-je, de la terre inutile fardeau. Trop avare d'un sang reçu d'une déesse, Attendre chez mon père une obscure vieillesse, Et, toujours de la gloire évitant le sentier, Ne laisser aucun nom et mourir tout entier?
Stranica 83 - Eclate par soi-même, et moi par ma grandeur. Si du côté des dieux je cherche l'avantage, Ronsard est leur mignon, et je suis leur image. Ta lyre qui ravit par de si doux accords, T'asservit les esprits dont je n'ai que les corps ; Elle t'en rend le maître, et te sait introduire Où le plus fier tyran ne peut avoir d'empire. Nous pourrions, après cette citation, faire ce dont s'avisa Voltaire, à rencontre du sieur de Prades, qui s...
Stranica 202 - Toutefois, je l'avoue, en ce comble de gloire, Du Dieu que j'ai quitté l'importune mémoire Jette encore en mon âme un reste de terreur, Et c'est ce qui redouble et nourrit ma fureur.
Stranica 203 - Je vois monter nos cohortes La flamme et le fer en main ; Et sur les monceaux de piques , De corps morts, de rocs, de briques, S'ouvrir un large chemin.
Stranica 199 - O voyage bien différent de celui qu'elle avait fait sur la même mer, lorsque venant prendre possession du sceptre de la Grande-Bretagne, elle voyait, pour ainsi dire, les ondes se courber sous elle, et soumettre toutes leurs vagues...
Stranica 203 - J'aime mieux un ruisseau qui, sur la molle arène, Dans un pré plein de fleurs lentement se promène, Qu'un torrent débordé qui, d'un cours orageux, Roule, plein de gravier, sur un terrain fangeux.
Stranica 202 - Elle s'en va de fleurs dépouiller le rivage : Elle peint les festins, les danses et les ris ; Vante un baiser cueilli sur les lèvres d'Iris, Qui mollement résiste, et, par un doux caprice, Quelquefois le refuse afin qu'on le ravisse.
Stranica 208 - Tous les plaisirs couroient au devant de ses vœux. La faim aux animaux ne faisoit point la guerre : Le blé, pour se donner, sans peine ouvrant la terre, N'attendoit point qu'un bœuf pressé de l'aiguillon Traçât à pas tardifs un pénible sillon : La vigne offroit partout des grappes toujours pleines, Et des ruisseaux de lait serpentoient dans les plaines.