Traité de la Nature humaine (traduit par le Baron D'HOLBACH). Neuchâtel (Paris), 1787, 2 vol. in-8°. 5184. Œuvres Politiques de Jacques HARRINGTON, ayec sa Vie, par TOLAND, traduites de l'anglais (par M. HENRY). Paris, Leclère, 1789, 3 vol. in-8°.

5185. Œuvres Politiques du Comte DE HERTZBERG ( publiées par M. DE MAYER). Paris, Maradan; 1795, 3 vol. in-8°.

5186. Œuvres Politiques, Littéraires et Dramatiques

de GUSTAVE III, Roi de Suède (publiées par M. DéCHAUX). Stockolm et Paris, Levrault, 1805, 5 vol. in-8°.

5187. Œuvres Posthumes de Monsieur de *** (DE GLATIGNY, Avocat-Général de la Cour des Monnoies de Lyon), contenant ses Harangues au Palais et ses Discours académiques. Lyon, frères Duplain, 1757, in-12. 5188. Quvres Posthumes de M. DE GRIMALDY, premier

Médecin du Roi de Sardaigne, avec une Dissertation physique sur les sujets qui entrent dans la composition de ses remèdes, par M*** (É. JOURDAN DE PELLERIN), Éditeur de ces Œuvres Posthumes. Paris, Durand, 1745, in-12.

5189. Cuvres (les) Posthumes de M. DE LA FONTAINE (publiées par Mademoiselle ULRICH). Paris, Pohier, 1696, in-12.

5190. Quvres Posthumes de M. DE MAUCROIX ( conte

nant entre autres articles, la traduction des quatre Philippiques de DEMOSTHÈNES, par l'Abbé d'OLIVET). Paris, Jacques Estienne, 1710, in-12.

Les manuscrits de l'Abbé de Maucroix ayant été confiés à

l'Abbé d'Olivet, celui-ci les trouva si imparfaits, qu'il ne conserva pas une de ses phrases, pas un seul de ses tours. 5191. Œuvres Posthumes de M. l'Abbé RACINE (publiées par D. CLÉMENCET ). Avignon, 1759, in-12.

5192. Œuvres Posthumes de M. le Chevalier De Meré (publiées avec un Éloge de l'Auteur, par l'Abbé NaDAL). Faris, J. et Michel Guignard, 1700, in-8.o; La Haye, Uytwerf, 1701, in-12.

5193. Œuvres Posthumes de M. le P. DE N. (le Prince DE NENI), contenant la réforme du Conseil des Domaines et Finances des Pays-Bas, etc. Neuchâtel, Fauche, 1784, in-8°.

5194. Euvres Posthumes de M. TURGOT. Lausanne 1787, in-8°. V. le n°. 72 de ce Dictionnaire.

5195. Office (l') de l'Église, en latin et en français, par Jean DUMONT, (Isaac LE MAITRE DE SACY). Paris P. le Petit, 1650, in-12.

5196. Offices (les) de CICERON, traduites en français sur la nouvelle édition latine de Grævius, avec des Notes et des sommaires des chapitres, par le traducteur des Lettres de S. Augustin (Phil. GOISBAUD DUBOIS). Paris, J. B. Coignard, 1692, in-8°.

5197. Officieux (l'), Comédie en 3 actes et en prose (par le Marquis DE LA SALLE). Paris, Duchesne, 1780, in-8°.

5198. Olinde, par l'Auteur des Mémoires du Vicomte de Barjac ( le Marquis DE LUCHET). 1784, 2 vol. petit in-12.

5199. Olympiques (les) de PINDARE, traduites en frau

çais, avec des Remarques historiques (par DE Sozzi). Paris, Guérin et Delatour, 1754, in-12.

$200. On ne s'y attendoit pas, ou les Époux réunis, Comédie proverbe en un acte et en prose (par M. LAUS DE BOISSY). Paris, Grangé, 1778, in-8°.

5201. Onanisme (l'), ou Discours philosophique et mo→ ral sur la Luxure artificielle (par DU TOIT-MAMERINI), Lausanne, 1760, in-8°.

5202. Opéra (l') de Province, nouvelle Parodie d'Armide, en deux actes, en vers, mêlée de vaudevilles (par MM. DE PIIS, DESPREZ et RESNIER }. Paris, Vente, 1777, in-8°.

5203. Ophélie, Roman traduit de l'anglais (par Madame BELOT). Amsterdam, 1765, in-12.

520. Opinion d'une Femme sur les Femmes, par F. R. (Mademoiselle RAOUL). Paris, Giguet, an 1x-1801, in-12 de 72 p.

5205. Opinions publiques du citoyen Sieyes ( par M. OELSNER), Paris, 1800, in-8°.

5206. Optique (l'), ou le Chinois à Memphis (par M. DE SAINT-PERAVI). Londres, (Paris), 1763, 2 par

ties in-12.

5207. Opuscule, ou Essai tendant à rectifier des préjugés nuisibles, par un Ami du genre humain (PoorDS), Londres, David Fowler, 1791, petit in-8°.

5208. Opuscules Chymiques de MARGRAF (publiés par DEMACHY). Paris, 1762, 2 vol. in-12.

$209. Opuscules de feu M. ROLLIN, avec son Éloge par

DE BOZE (publiées avec des notes par Rob. ESTIENne, Libraire). Paris, frères Estienne, 1771, 2 vol. in-12. La traduction du discours pour l'établissement du cours gratuit d'instruction est de M. Louis-Théodore HÉRISSANT. 5210. Opuscules de M. F.*** (FRÉRON), contenant des Critiques de quelques ouvrages de littérature. Amster dam, Arkstée et Merkus, 1753, 3 vol. in-12.

On trouve dans le 2.e volume, le Parallele de la Henriade et du Lutrin (par l'Abbé Batteux). Le 3.⚫ contient l'Extrait de l'Esprit des Lois, chapitre par chapitre (par DE FORBONBAIS).

5211. Opuscules de S. Jean CHRYSOSTOME, traduits du grec en français (par l'Abbé DE BELLEGARDE ). Paris, Pralard, 1691, in-8°.

5212. Opuscules Philosophiques et Littéraires, la plupart posthumes et inédits (avec des notices historiques, par MM. SUARD et BOURLET DE VAUXCELLES). Paris, Chevet, 1796, in-8°.

5213. Opuscules sur la Langue française, par divers Académiciens (les Abbés DANGEAU, DE CHOISY et D'OLIVET, HUET et PATRU; recueillis et publiés par D'OLIVET). Paris, Bernard Brunet, 1754, in-12.

5214. Oracle (l') des nouveaux Philosophes ( par l'Abbé GUYON). Berne, 1759 et 1760, 2 vol. in-8°.

5215. Oracle (l') Poétique, par F. F. (F. FILHOL), Tolose, Jean Maffré, 1619, in-8°.

5216. Oraison funèbre d'Adrien Maurice, Duc de Noailles, Pair et Maréchal, prononcée dans l'Église de SaintMartin de la ville de Brives, le 30 mai, 1767, par M. l'Abbé D*** ( DE Lubersac, qui a publié depuis un

Irecours aur Les Monumens publics, 1776, in-fol. ). Braves & Para, Saillant, 176-, in-fol.

5:17. Oraison funebre de Jean d'Angenes, en 1624 (par Jal MANCHAT). Chartres, 1625, in-8°.

5:18. Oraison funebre de M. de Verdun, prononcée le 27 mars 1920, par un Religieux de la Maison des Jacobins (e P. LE PAIGE). Paris, Alliot, 1627, in-8°.

52:a. Oraison fanebre du Président de Bellièvre, promoncée à THˆtel-Dieu de Paris, le 17 avril 1657 (par le P. Pierre LALEMANT, Génovéfain ); 3. édition. Paris. Mabre Cramoisy, 1671, in-12.

5220. Oraisons choisies de CICERON, traduites en français (par Estienne PHILIPPE). Paris, Barbou, 1725, 2 vol.

in-12.

Frérom a publié, dans le 3. vol. de l'Année littéraire, 1754. une intéressante Notice sur Estienne Philippe, qu'il avcit connu particulièrement.

■ I j÷ignoit, dit le Journaliste, une modestie extrême à une passion ardente pour l'étude. Il ne se souciait que d'apprendre et non de se produire. Ses amis lui faisoient souvent la guerre de ce qu'il ne donnoit rien au public. Je me souviens qu'un jour, comme on lui reprochoit le silence, même sur ce qu'on savoit qu'il avoit fait, il avoua qu'il avoit traduit un assez grand nombre de harangues de Cicéron, et que quelqu'un à qui il les avoit abandonnées, les avoit fait imprimer vers l'année 1720, en trois ou quatre volumes in-12; mais que n'en étant pas content, il étoit bien aise qu'on les oubliat».

« La sagesse et l'habileté d'Estienne Philippe lui ouvrirent l'entrée du college de Louis-le-Grand, et les Jésuites le jugèrent digne de présider à l'éducation de quelques-uns de leurs pensionnaires. Ils eurent en lui autant de confiance qu'ils