Messéniennes: Chants populaires et poésies diversesCharpentier, 1852 - Broj stranica: 251 |
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Adieu amant amour ANTIGONE baïonnette beau bords bras brille brise bruit Casimir Delavigne cendre chants char charme chérie ciel cieux cœur comte Ferrand Corneille couronne cri de gloire débris deuil Dieu dieux divin douleur doux drapeaux éclat éloquence enfants expire féconde feux fille flambeau flétrie fleurs flots foule frémir front gémit glaive Grecs guerriers HÉCUBE héros heureux immortel insulte ISMÈNE Ithôme jeune jeux jeux de Rome jour l'onde lauriers lois lord Byron main marbre marchons Melpomène MESSÉNIENNE monuments mort mortel mourir muse neuf Sœurs Neustrie nobles ombre pâle passé patrie peuple pieds pleurs poëte Polonais POLYXÈNE Priam Qu'en roulant qu'un rameaux rivage rivaux rois romain Rome roulant le tambour s'élance sacrés saint sang sanglants sceptre seul sœur soldats soleil splendeur tambour répète temple terre tombe tombeau tremble trépas triomphe triste TROYENNE tyrans ULYSSE vainqueurs vallons Venise victoire Vierge Vierge Marie vieux Vive la liberté voilà voix yeux
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Stranica 34 - A qui réserve-t-on ces apprêts meurtriers? Pour qui ces torches qu'on excite ? L'airain sacré tremble et s'agite... D'où vient ce bruit lugubre? Où courent ces guerriers Dont la foule à longs flots roule et se précipite? La joie éclate sur leurs traits, Sans doute l'honneur les enflamme ; Ils vont pour un assaut former leurs rangs épais? Non, ces guerriers sont des Anglais Qui vont voir mourir une femme.
Stranica 143 - Nul plaisir ne le peut distraire De son ennui, Et, fuyant la main qui l'attire, Avec tristesse il semble dire :
Stranica 37 - Puissent croître avec eux ta gloire et sa puissance ! Que sur l'airain funèbre on grave des combats, Des étendards Anglais fuyant devant tes pas, Dieu vengeant par tes mains la plus juste des causes. Venez, jeunes beautés ; venez, braves soldats ; Semez sur son tombeau les lauriers et les roses...
Stranica 17 - Ils ne sont plus, laissez en paix leur cendre : Par d'injustes clameurs ces braves outragés A se justifier n'ont pas voulu descendre ; Mais un seul jour les a vengés : Ils sont tous morts pour vous défendre. Malheur à vous si vos yeux inhumains N'ont point de pleurs pour la patrie ! Sans force contre vos chagrins, Contre le mal commun votre âme est aguerrie ; Tremblez, la mort peut-être étend sur vous ses mains ! Que dis-je?
Stranica 35 - Du Christ avec ardeur Jeanne baisait l'image; Ses longs cheveux épars flottaient au gré des vents : Au pied de l'échafaud, sans changer de visage, Elle s'avançait à pas lents. Tranquille elle y monta ; quand, debout sur le faite, Elle vit ce bûcher...
Stranica 36 - Après quelques instants d'un horrible silence, Tout à coup le feu brille, il s'irrite, il s'élance .... Le cœur de la guerrière alors s'est ranimé : A travers les vapeurs d'une fumée ardente , Jeanne, encor menaçante *, Montre aux Anglais son bras à demi consumé.
Stranica 51 - J'arrêtais vers le soir, dans un bois d'oliviers, Un vieux pâtre de Thessalie. ' Des dieux de ce vallon contez-moi les secrets. Berger, quelle déesse habite ces fontaines ? Voyez-vous quelquefois les nymphes des forêts Entr'ouvrir l'écorce des chênes.' Bacchus vient-il encor féconder vos coteaux ? Ce gazon, que rougit le sang d'un sacrifice, Est-ce un autel aux dieux des champs et des troupeaux, Est-ce le tombeau d'Eurydice?
Stranica 51 - O campagnes d'Athène, ô Grèce infortunée, Où sont pour t'affranchir tes guerriers et tes dieux ? Doux pays, que de fois ma muse en espérance Se plut à voyager sous ton ciel toujours pur! De ta paisible mer, où Vénus prit naissance, Tantôt du haut des monts je contemplais l'azur, Tantôt, cachant au jour ma tête ensevelie Sous tes bosquets hospitaliers, J'arrêtais vers le soir, dans un bois d'oliviers, Un vieux pâtre de Thessalie. ' Des dieux de ce vallon contez-moi les secrets. Berger,...
Stranica 36 - Tu ne reverras plus tes riantes montagnes. Le temple, le hameau, les champs de Vaucouleurs, Et ta chaumière et tes compagnes, Et ton père expirant sous le poids des douleurs.
Stranica 90 - La terre ! . . . ô doux spectacle ! ô transports ! ô merveille ! 0 généreux sanglots qu'il ne peut retenir ! Que dira Ferdinand, l'Europe, l'avenir? Il la donne à son roi , cette terre féconde ; Son roi va le payer des maux qu'il a soufferts : Des trésors, des honneurs en échange d'un monde, Un trône, ah! c'était peu! . . . que reçut-il? des fers.